Les prix des obligations sont indiqués en pourcentage de la valeur nominale de l'obligation excluant les intérêts accrus; par exemple si une obligation nominale à coupons fixe se transige à 101,59, alors le prix de l'obligation est 101,59% ou 1,01059 fois la valeur de cette obligation à maturité.
Le cours de l'obligation : il correspond au prix auquel s'échange l'obligation sur le marché secondaire (lien avec dico). Il est généralement exprimé en pourcentage du nominal de façon à faciliter la comparaison entre différentes obligations qui présenteraient des caractéristiques différentes.
Le taux de rendement indique combien vous rapporte une obligation. Sa version la plus simple est calculée à l'aide de la formule suivante : rendement = montant des versements d'intérêts/cours. Donc, dès que le cours change, le rendement change aussi.
Leur rendement fixe est sans doute le principal atout des obligations. Dans la plupart des cas, l'investisseur qui achète une obligation connaît le rendement qui lui sera attribué chaque année. Ce principe possède toutefois un certain nombre d'exceptions.
La rémunération annuelle des obligations
Les obligations sont assorties d'un intérêt payé chaque année : le coupon. L'intérêt d'une obligation sera proposé en fonction de la durée de l'emprunt obligatoire et des conditions du marché au moment de l'émission.
Lorsque vous prêtez de l'argent à quelqu'un, il existe toujours un risque que ce dernier ne vous rembourse pas. Ce risque s'applique aux obligations. C'est ce que l'on appelle le risque débiteur ou le risque de défaut. Ce risque est naturellement fonction de la qualité de l'émetteur.
Voici celles qui pèsent le plus en 2022 : Bitcoin, Ethereum, Cardano, Solana, Avalanche, Terra, Polkadot, Cronos, Binance (BNB).
Obligations : est-ce le bon moment pour investir ? Malgré un début d'année 2022 éprouvant, les marchés obligataires offrent un point d'entrée intéressant aux investisseurs. Les cours actuels intègrent déjà une grande partie des hausses des taux à venir de la Réserve fédérale (Fed).
les obligations notées entre AAA (la meilleure note) et BBB- sont appelées Investment Grade (IG). Elles sont considérées comme étant de bonne qualité.
Les obligations sont cotées sur Euronext en pourcentage de leur valeur nominale. Par exemple, dans le cas d'une obligation d'une valeur nominale de 500 € qui cote 99 %, cela signifie que sa valeur de marché est de 500 € x 99 % = 495 €.
Les meilleurs placements à privilégier en 2022 sont l'immobilier et l'assurance « nouvelle génération », les crypto monnaies, la location meublée, les fonds structurés, le private equity, le metaverse, l'investissement dans les secteurs innovants et les SCPI résilientes.
Comme les actions, les obligations s'achètent soit lors de leur émission par les emprunteurs (marché primaire), soit directement sur les marchés boursiers (marché secondaire). Il faut dans les deux cas passer un ordre de bourse via un intermédiaire agréé, qui inscrira ensuite les titres sur votre compte titres.
Vous pouvez vendre vos obligations sur les marchés financiers avant leur échéance, en vous adressant à votre intermédiaire, à la condition de trouver un acquéreur.
Le prix de l'obligation est donc obtenu en faisant la somme des flux de coupon (cpn) et du remboursement (C), actualisés chacun au taux de rendement i sur la période t, qui est, pour chaque flux, la durée (en années) entre la date d'achat et la date de tombée du flux.
La valeur nominale d'une Obligation Assimilable du Trésor à l'émission est toujours de 1 € et elle est toujours remboursée au pair, soit à 1 % à l'échéance. Toutefois, dès l'émission, le cours de l'OAT fluctue selon l'évolution des taux d'intérêt.
Vous l'aurez compris, une obligation est moins risquée qu'une action, car la société qui emprunte s'engage à vous rembourser la valeur nominale. Vous avez donc l'assurance de revoir votre argent, à moins qu'il y ait faillite, ce qui est peu probable.
On peut acheter des obligations émises par un État (dites « souveraines » par traduction littérale du terme anglais « sovereign risk ») ou une entité publique de type région, Banque Européenne d'Investissement, etc. Pour les obligations d'État, on parle en France d'OAT (Obligations assimilable du Trésor).
Il existe plusieurs critères à prendre en compte pour savoir si c'est le bon moment de vendre : Le taux d'intérêt : si le taux d'intérêt de l'obligation est plus élevé alors la vente de l'obligation pourra permettre de recevoir un bénéfice par rapport à son prix d'achat.
Les obligations constituent un placement à moyen/long terme. Vous pouvez investir en direct ou via des fonds et Sicav, par exemple au sein d'un compte-titres ou de l'épargne salariale. Mais ce type de placements n'est pas sans risque.
#1 L'or, la valeur refuge par excellence
Selon une enquête réalisée en novembre 2020 par OpinionWay pour AuCOFFRE.com, 66% des Français estiment que l'or ne risque pas de perdre sa valeur dans le contexte de crise sanitaire et économique actuel.
La faute aux banques centrales
Tout cela a amené les taux directeurs à des minimums historiques, entre 0 et 0,25 % aux États-Unis, à 0 dans la zone euro et à -0,10 % au Japon. centrales. achetant des actifs financiers, essentiellement des obligations. Cela a fait chuter les taux d'intérêt sur les marchés obligataires.
Si la qualité de l'émetteur se dégrade, alors le risque de défaut augmente et avec lui celui d'une perte en capital. Par conséquent, le prix de l'obligation diminuera afin que son rendement augmente pour tenir compte de ce risque de faillite accru.
La solution la plus simple est de passer par l'achat de parts de Société Civile de Placement Immobilier (SCPI) , en acquérant des titres de patrimoine immobilier liés aux entreprises. Vigilance et prudence sont de mise, car le risque de défaut des sociétés est réel pendant la crise et la valeur des parts peut baisser.
Avec une inflation officielle de 2% (mais officieusement plutot supérieure à 4%), il faut donc limiter tout placement qui ne rapporte pas au moins 4%. Les livrets (A, LDD, comptes sur livrets,…) sont donc à utiliser uniquement pour votre épargne de précaution et à un horizon court terme.