Le propre de l'homme est une expression d'usage courant qui désigne les spécificités de l'espèce humaine par rapport aux autres espèces animales.
“Le propre de l'humanité, son incroyable force, c'est son imaginaire”
Une autre particularité de l'Homme repose dans son mode de locomotion : la bipédie. Alors que d'autres animaux, notamment parmi les grands singes, y recourent à l'occasion, notre espèce a acquis au cours de l'évolution l'aptitude de se tenir bien droit et se déplace sur ses deux membres postérieurs.
Avec Aristote, Descartes, on s'accorde sur le fait que la raison est le propre de l'homme.
Le travail est indispensable à la vie de l'homme, elle lui permet de produire les biens matériels subvenant à ses besoins naturels. Le travail devient donc une nécessité pour l'homme. Elle est une activité sociale qui permet à l'homme de mieux s'intégrer à la société. Travailler fait partie de la nature de l'homme.
Essence et existence
Chez Heidegger, l'essence de l'homme consiste à se comprendre en tant qu'être-là, i.e. en tant qu'existence. Dans le premier cas, dont Descartes est un représentant, l'abstraction essentielle de l'existence donne l'essence, et inversement dans le second, comme chez Sartre.
La force de l'Homme réside dans son habileté et sa flexibilité plutôt que dans sa rudité et cruauté.
Aristote donne comme définition essentielle de l'homme qu'il est « un animal politique » en plus d'être « un animal rationnel ». Ce qui signifie trois choses : la nature et la fin ou perfection de l'homme se trouve dans la construction d'une vie avec ses semblables.
Qu'est-ce que l'homme selon Descartes ? La réponse à cette question est donnée explicitement dans la Sixième Méditation. Un homme, y lit-on, est un « compositus ex mente et corpore » (AT VII, 82), un être composé constitué d'un esprit et d'un corps.
« Rire est le propre de l'homme. » Pourquoi ? Le rire naît d'une prise de distance, d'une intelligence spécifique à l'humain, seul animal capable d'apprécier une situation et de s'en moquer.
L'exposition aux polluants peut également affecter le cerveau, entraînant des retards de développement, des problèmes de comportement et même une baisse du QI chez les enfants. Chez les personnes âgées, les polluants sont associés aux maladies d'Alzheimer et de Parkinson.
L'homme a besoin de comprendre pour gérer efficacement la demande. Il a besoin de se sentir utile et compétent. Un mode de communication clair permet à l'homme de bien nous comprendre et de ne pas se sentir impuissant face à nos remarques ou nos questions qu'il va forcément mal interpréter.
Il y a donc 4 dimensions de l'individu : Physique - Emotionnelle - Intellectuelle - Spirituelle.
L'Humanité est un quotidien français fondé en 1904 par Jean Jaurès.
Le langage, vu comme une entité complexe, est considéré comme le propre de l'homme. En revanche, si l'on choisit de décomposer le langage en une somme de propriétés (complémentaires mais) distinctes, il devient possible d'établir des parallèles avec l'animal.
Comme substantif, il est simplement défini, dans le Petit Robert par exemple, comme « ce qui est humain ; l'homme et ce qui appartient à l'homme », avec comme exemple « réduire le monde à l'humain », puis comme « être humain » (l'humain, c'est l'être humain, c'est-à-dire l'homme).
Marx insiste sur le « matérialisme social » qui fait (réalise) l'Homme, c'est-à-dire toutes les relations sociales qui le construisent (la famille, les rapports hiérarchiques, la réalisation (objet) de son travail au sein de la société et les formulations qu'il en donne, etc.).
La méthode de Descartes, reposant sur l'intuition rationnelle et la déduction, ne serait rien sans le doute : – Le doute cartésien n'est pas sceptique, mais méthodique. Nécessaire pour balayer les fausses opinions et parvenir à l'évidence, il consiste à suspendre provisoirement tout ce qui n'est pas certain.
Marx, de son côté, explique que la nature de l'être humain ne peut être prédéfinie et qu'elle dépend de son milieu matériel. Parmi tous les attributs que Descartes a trouvés, seule la pensée lui appartient car elle peut être détachée de lui. Selon lui, en cessant de penser, l'on cesse d'exister.
« L'homme est par nature un animal politique. » – Aristote.
Lorsque Freud écrit "le moi n'est pas maître dans sa propre maison", il dénonce l'impact qu'ont tout ces éléments contenus dans l'inconscient, et la non-maîtrise de la conscience. Nous expliquerons cette citation en deux parties. Premièrement nous étudierons la nature de la conscience, la formation du "Moi".
C'est Aristote qui, dans La Politique, le premier a qualifié l'homme de “Zoon Politikon”. Voici l'explication de cette citation.
La valeur d'un homme tient dans sa capacité à donner et non dans sa capacité à recevoir. La valeur d'un homme ne se mesure pas à son argent, son statut ou ses possessions. La valeur d'un homme réside dans sa personnalité, sa sagesse, sa créativité, son courage, son indépendance et sa maturité.
Rousseau avait tort : les hommes sont naturellement violents. Mais contrairement aux apparences, ils sont aussi de plus en plus civilisés ! Rousseau avait tort, l'homme est naturellement méchant. C'est ainsi que s'ouvre un article récent de Nature (1) portant sur l'étude des comportements violents chez l'homme.