— qui a donné son nom à la ponctuation — termine une phrase ; le point-virgule ( ; ), marque une pause moyenne, normalement précédé d'une espace fine insécable (cf. usage selon le pays), et ; la virgule ( , ), marque la pause la plus faible.
La ponctuation rythme la phrase, suggère les intonations, traduit les nuances de la pensée et facilite la lecture. Elle n'a cependant pas qu'une valeur mélodique : elle répond de fait autant à un besoin de logique qu'à un besoin de rythme.
Le point d'exclamation est un signe de ponctuation qui exprime l'exclamation. On le place après un mot, une locution ou une phrase exprimant un sentiment tel que la joie, la surprise, l'indignation, l'étonnement, l'ironie, etc.
Les guillemets servent à isoler des mots ou des phrases. Ils s'apparentent à l'italique, avec lequel ils entrent d'ailleurs en concurrence pour un bon nombre de fonctions, comme lorsqu'il faut reproduire des titres d'ouvrages ou faire ressortir des mots qu'on emploie dans un sens spécial.
La ponctuation blanche, c'est tout ce qui est de l'ordre de la disposition des mots sur la page : espaces, alinéas, saut de paragraphes, etc.
Le point d'interrogation termine une proposition ou une phrase interrogative. Cette phrase ou cette proposition peut être exprimée de diverses manières : Par la construction syntaxique interrogative : Venez-vous ?
Parfois, le point d'interrogation est le seul signe qui indique qu'il s'agit bien d'une question. Mais attention : Il ne faut pas mettre de point d'interrogation après une interrogation indirecte (voir le chapitre consacré à l'interrogation indirecte). Exemple : Je me demande où ils sont allés.
Un point d'interrogation, qui fut aussi appelé point interrogatif, est un signe de ponctuation qui se met à la fin d'une phrase interrogative, à la place du point.
Les parenthèses sont composées de la parenthèse ouvrante « ( » et de la parenthèse fermante « ) ». Ce signe sert surtout à isoler, dans le corps d'une phrase ou d'un paragraphe, des explications ou des éléments d'information utiles à la compréhension du texte, mais non essentiels.
Le point-virgule est le signe de ponctuation par lequel on peut donner à la phrase une certaine ampleur, autrement que par la molle et paresseuse succession de virgules. Le point-virgule confère à la phrase une rigueur sans excès, il en module le ton, et fait ainsi entendre la voix de l'auteur.
La virgule, signe de ponctuation marquant une pause légère, figure peu dans les phrases qui respectent l'ordre normal des mots : sujet, verbe, complément direct, complément indirect, complément circonstanciel. C'est ainsi qu'elle ne sépare pas en principe le verbe de son sujet ni le verbe de son complément.
La ponctuation grammaticale, marquée par le point, la virgule et le point-virgule, a une valeur syntaxique : elle sépare les éléments du discours et indique les rapports logiques qui existent entre eux.
On emploie le point-virgule pour séparer des propositions qui ont de l'analogie et une certaine étendue. Exemple : La charité n'est point téméraire ni précipitée ; elle ne se réjouit point du mal qui arrive aux autres ; elle se félicite au contraire de tout le bien que Dieu leur envoie.
Lorsqu'on cite un fragment de phrase ou une phrase incomplète et que cette citation est incorporée à une phrase principale, on encadre de guillemets les mots qui appartiennent à la citation.
Bonsoir, Il est de tradition de placer une virgule, et non un point, après Bonjour.
Le point d'interrogation ? se met à la fin de la phrase qui exprime une demande : Où vas-tu ? Le point d'exclamation ! se met après une interjection ou à la fin d'une phrase exprimant admiration, douleur, joie, etc. : Quelle surprise !
Les points de suspension servent principalement à : Signaler une interruption, notamment dans une énumération. Ils servent en outre à marquer une réticence, et peuvent exprimer les sentiments les plus divers, comme la crainte, l'étonnement, la confusion : J'ai lu des rapports, des comptes rendus, des procès-verbaux…
Les deux points séparent toujours des éléments qui sont unis par un lien logique étroit. Ce signe est également appelé les deux-points, le double point et, plus particulièrement dans la langue de la typographie, le deux-points.
Bonsoir, Marjo. Répéter les points d'interrogation est un procédé expressif de renforcement. On souligne le vif étonnement ou la grande perplexité de celui qui pose la question. On peut faire la même chose avec les points d'exclamation.
Les deux-points sont un signe de ponctuation constitué de deux points disposés verticalement et dont la fonction est d'insérer, généralement en fin de phrase, un énoncé juxtaposé à ce qui précède, un discours direct ou une série d'éléments constituant une énumération.
Lorsque le texte entre parenthèses constitue une phrase indépendante, la parenthèse ouvrante est, selon le cas, précédée d'un point, d'un point abréviatif, d'un point d'interrogation, d'un point d'exclamation ou des points de suspension : Ainsi je vous rappellerai dimanche soir.
Les guillemets sont le procédé le plus répandu dans l'usage pour les citations. La raison en est sans doute qu'un texte encadré de guillemets se lit plus facilement qu'un texte en italique.