Un modèle logique de données (MLD) est la représentation des données d'un système d'information. Les données sont représentées en prenant en compte le modèle technologique qui sera utilisée pour leur gestion.
Lorsque le MLD est défini, il est possible de connaître la liste exhaustive des tables qu'il faut créer dans une base de données relationnelle. De façon plus détaillée, le modèle logique de données permet donc de saisir avec exactitude les besoins d'information, les règles et politiques qui régissent l'entreprise.
Un modèle data logique établit la structure des éléments de données et les relations entre elles. Il est indépendant de la base de données physique qui détaille la manière dont les données seront mises en œuvre. Le modèle data logique sert de plan directeur pour les données utilisées.
Le niveau conceptuel, il s'agit du MCD (Modèle Conceptuel des Données) Le niveau logique, il s'agit du MLD (Modèle Logique des Données) Le niveau physique, il s'agit du MPD (Modèle Physique des Données)
La différence entre un modèle conceptuel de données (MCD) et un modèle logique de données (MLD) relève du niveau d'abstraction à l'image d'une carte de géographie et d'un plan de ville.
Un modèle logique de données (MLD) est la représentation des données d'un système d'information. Les données sont représentées en prenant en compte le modèle technologique qui sera utilisée pour leur gestion. Plusieurs modèles technologiques existent et sont utilisables : Le modèle relationnel de E. J. Codd (MLD-R)
Le MCD fournit une description graphique pour représenter des modèles de données sous la forme de diagrammes pouvant contenir des entités ou des associations. Il peut être utilisé pour décrire les besoins en information ou par exemple le genre d'information nécessaire à l'élaboration du cahier des charges.
Il faut réaliser un modèle physique de données relationnel (MPD-R) pour : Représenter fidèlement la structure de données de tout ou partie d'un système d'information dans la vision du modèle relationnel de E.J. Codd en intégrant les spécificités du SGBD-R cible.
Les grands principes du raisonnement logique sont les suivants : Principe de non-contradiction : Ce principe stipule qu'une proposition ne peut pas être vraie et fausse en même temps, dans le même contexte et au même moment. Par exemple, il est impossible que "Il pleut" soit à la fois vrai et faux en même temps.
Les stoïciens transposent le principe d'identité de l'ontologie à la logique : « Si le premier, alors le premier », « Si a, alors a ». Et ils font de ce principe la loi fondamentale de la logique.
l'expression de ce que l'on pense être vrai, formulée dans une phrase énonciative; la justification rationnelle, fondée sur des principes, des faits ou des analogies, de ce qu'on prétend vrai -- qui s'exprime pour sa part dans un raisonnement.
Le modèle conceptuel des traitements permet de traiter la dynamique du système d'information, c'est-à-dire les opérations qui sont réalisées en fonction d'événements.
MERISE est une méthode de conception, de développement et de réalisation de projets informatiques. Le but de cette méthode est d'arriver à concevoir un système d'information. La méthode MERISE est basée sur la séparation des données et des traitements à effectuer en plusieurs modèles conceptuels et physiques.
Le MCT est le miroir du MCD. Le MCD se focalise sur les données alors que le MCT se focalise sur les réponses à donner lorsqu'un événement survient.
Cycle d'abstraction : niveaux conceptuels, d'organisation, logique et physique/opérationnel (du plus abstrait au plus concret) .
Pour être utile à une évaluation, tout modèle logique doit comporter une série d'éléments standards comme les intrants, les activités, les extrants et les résultats du programme (y compris les trois types de résultats immédiats, intermédiaires et ultime), entre lesquels il existe un lien logique.
Le gros avantage de cette méthode est qu'elle permet de cadrer le projet informatique et de « discuter » en se comprenant entre utilisateurs et informaticiens. Créée dans les années 70 sur commande de l'État français et destinée aux gros projets informatiques de l'époque, la méthode a perduré jusqu'à aujourd'hui.
Le MCD se construit sur la base de 2 éléments centraux : les entités et les associations. C'est pourquoi il est courant de parler de modèle entité/association.
Les relations▲ Le modèle logique de données (MLD) est composé uniquement de ce que l'on appelle des relations. Ces relations sont à la fois issues des entités du MCD, mais aussi d'associations, dans certains cas. Ces relations nous permettront par la suite de créer nos tables au niveau physique.
Dans la méthode Merise, le modèle physique des données (MPD) consiste à implanter une base de données dans un SGBDR. Le langage utilisé pour ce type d'opération est le SQL. On peut également faire usage d'un AGL (PowerAMC, WinDesign, etc. ) qui permet de générer automatiquement la base de données.
avec MERISE/objet, puis MERISE/2 destinée à s'adapter au client-serveur (L'architecture client/serveur désigne un mode de communication entre plusieurs ordinateurs d'un...). Merise était un courant majeur des réflexions sur une " Euro Méthode " qui n'a pas réussi à percer.