En France, le salut se fait toujours en portant la main à la tempe quand le militaire est dans une tenue comportant une coiffe à moins d'être en armes. Saluer en portant la main au visage avec une arme sur soi revient à contredire le salut lui-même, initialement institué pour montrer l'absence d'arme.
Le garde-à-vous est une position adoptée par les militaires sur l'injonction « Garde à vous ! » ou dans certains contextes précis. Elle consiste à se tenir debout, droit, les bras le long du corps, les talons joints, la tête haute, immobile. Le protocole varie selon les pays et les unités.
Et cette origine c'est l'Antiquité. A l'époque, lorsque deux guerriers se rencontrent, pour montrer qu'ils ne sont pas armés, ils échangent un signe de la main droite ouverte. C'est un signe de paix, qui évolue au.
En guise de salut, chez les militaires, on ne se sert pas la main et on ne se fait pas la bise : on utilise la main droite, doigts serrés et paume visible, portée à hauteur de la tempe. Un geste formel, par lequel un militaire exprime son respect à un supérieur, qui lui rend par le même mouvement.
En France, la règle veut que les navires de commerce de nationalité française saluent obligatoirement les bâtiments de la Marine nationale en abaissant trois fois leur pavillon ; le navire de guerre répond en abaissant une fois le sien.
Mais depuis cette époque, chaque armée et chaque nation a adopté leur propre salut militaire. Le salut militaire se résume à amener la main droite vers la coiffure suivant le prolongement de l'avant-bras. Le salut se fait avec un geste vif et décidé en ayant la tête bien levée tout en regardant la personne à saluer.
– s'il s'agit d'un officier : idem en disant « Fixe », « Mes respects mon... » (s'adresser à l'officier le plus gradé) ; – s'il s'agit d'un sous-officier : idem en disant « Garde-à-vous », puis « Mes respects mon... ». Quelque soit le rang du militaire, dire«Garde-à-vous» lorsqu'il sort de la pièce.
Si il est en service, que vous connaissez son grade et que vous vous adressez a lui a titre (ou dans un cadre) professionnel, Bonjour Lieutenant c'est pas mal. Si c'est dans un cadre privé, ou s'il n'est pas en service ou que vous ne connaissez pas son grade, Bonjour Monsieur c'est bien aussi.
Mes respects (formule utilisée dans l'armée par un subordonné qui salue un officier) : mes respects, mon colonel.
a) Apporter son concours sans défaillance ; b) S'instruire pour tenir son poste avec compétence et contribuer à la valeur collective de sa formation ; c) S'entraîner en vue d'être efficace dans l'action ; d) Se préparer physiquement et[...]
Lorsqu'un officier est un homme, on s'adresse à lui en faisant précéder son grade de « mon », « mon colonel » par exemple ; en revanche on appelle un officier féminin directement par son grade.
Un militaire n'effectue pas de salut en portant la main à sa tempe, lorsqu'il est en armes. Cela serait contradictoire avec l'origine du geste signifiant « je ne suis pas armé ». Dans ce cas-là, il effectue un « coup de bouc » : un relevé sec du menton en regardant la personne dans les yeux.
Il s'agit de l'abréviation de « monsieur le général » et non de l'adjectif possessif « mon » ! Cette formule de politesse doit être utilisée par les militaires subalternes lorsqu'ils s'adressent à un supérieur.
militaire adj. Relatif à l'armée, à son organisation, qui lui est propre. militaire n. Personne qui fait partie des forces armées.
À la fin d'une cérémonie patriotique, les autorités et personnalités présentes vont saluer les porte-drapeaux. Elles leur serrent la main et les remercient pour leur dévouement.
Quand un subordonné s'adresse à un lieutenant-colonel masculin, il l'appelle : « Mon colonel ». Sauf dans la Marine où il l'appelle : « Commandant ». L'usage veut que quand il s'adresse à une femme lieutenant-colonel, il l'appelle “colonel“, "Mon" étant le diminutif de "Monsieur".
" Mais une femme jeune, surtout si elle s'adresse à un officier supérieur ou général, pourra fort bien dire " Monsieur le colonel ", Monsieur le général " ou simplement " Monsieur ".
Le titre est la désignation officielle pour s'adresser à un grade donné. Dans certains cas, comme pour les majors, le grade et le titre sont identiques. Par exemple, un major nommé Paul Duque s'adressera à lui en disant "Major Duque". Pour certains grades, comme le lieutenant-colonel, le titre est différent.
Bonjour Monsieur, Aucune obligation de salutation. Votre liberté vous autorise à dire ou ne pas dire bonjour.
Mon général (peut-être abréviation ancienne de Monsieur le général), formule par laquelle tout militaire s'adresse à un officier de ce grade ; une femme dira simplement Général, et un civil pourra faire de même ; Monsieur le général peut être employé dans la correspondance, en formule d'appel ou de courtoisie.
La politesse veut qu'un civil emploie le "mon" en s'adressant à un officier, une femme doit employer seulement le grade ex : bonjour colonel.
Le salut militaire suisse se fait comme celui de la marine britannique avec la paume de la main pointant vers l'épaule, le bout des doigts pointant vers la tempe. Les soldats suisses sont tenus de saluer tout militaire de rang supérieur. Le soldat doit indiquer le grade du supérieur, son rang et son nom.
À une autorité de l'administration
Employez des formules telles que : …l'assurance de mes sentiments les plus respectueux. …l'expression de ma très haute considération. …l'assurance de mes sentiments les plus distingués.