Littéraire. Peine, sévère en général, qui frappe un coupable, punit une faute : Infliger un châtiment.
CHÂTIMENT, subst. masc. Punition sévère donnée à celui qui a commis une faute, pour le corriger. Infliger, subir un châtiment; un châtiment léger, sévère, rigoureux; des châtiments corporels.
Littéraire. Peine sévère. Synonyme : condamnation, correction, expiation, peine, pénitence, punition, répression, sanction.
– Littéraire : châtiment. Contraire : absolution, pardon, remise, rémission.
peine, punition, sanction[Hyper.]
Un châtiment divin est une punition surnaturelle d'une personne, d'un groupe d'individu ou de tout le monde par une divinité, en réponse à certains actes.
Les punitions sont des réponses immédiates aux faits d'indiscipline et sont prononcées directement par le professeur, le personnel de direction, d'éducation ou de surveillance. Elles s'inscrivent dans une démarche éducative partagée par l'ensemble des équipes et de la communauté éducative.
Châtiment, peine, sanction.
Synonyme : défiance, doute, incertitude, incrédulité, méfiance.
1. Sentiment exagéré de sa propre valeur, estime excessive de soi-même, qui porte à se mettre au-dessus des autres : Être bouffi d'orgueil. 2. Sentiment de dignité, fierté légitime, amour-propre : Cacher sa misère par orgueil.
Essai par lequel on éprouve la résistance, la qualité de quelque chose ; test, critère : Soumettre une voiture à l'épreuve d'un rallye dans le désert. 2. Interrogation, exercice, composition faisant partie d'un examen, d'un concours : Les épreuves théoriques et les épreuves pratiques du permis de conduire.
Souffrance morale, douleur, tristesse, malheur, abattement. Avoir de la peine.
Tuer quelqu'un brutalement (d'un coup de feu) : Une rafale de mitraillette l'a foudroyé sur le trottoir. 3. Anéantir quelqu'un, briser sa résistance morale ou physique ; terrasser : La nouvelle de la mort de son fils la foudroya.
“ Une punition positive, c'est une punition qui a du sens et qui cherche à faire passer un message, souligne Charline Tremblay, hypnothérapeute et praticienne en psychologie positive, spécialiste des enfants. Elle doit être source d'apprentissage et non de « dressage ».
puni, punie
puni n. Personne frappée d'une punition.
la dimension répressive qui concrétise le pouvoir du fort (l'adulte) sur le faible (l'enfant) : on est alors dans le registre de la punition, la dimension réparatrice qui est justifiée par des règles connues par tous (adultes et enfants) et acceptées par avance : on est alors dans le registre de la sanction.
Le punir ne fera que renforcer son mauvais comportement, et là encore, on entre dans un cercle vicieux ! Si au contraire on écoute et on reconnaît sa souffrance, qu'on lui redonne confiance, qu'on reconnaît sa part de responsabilité dans la situation, alors son comportement pourra s'améliorer de manière durable…
La punition altère la confiance en soi de l'enfant
Si nous punissons ceux qui ne sont pas admis, qui ne se conforment pas, alors l'enfant se sentira rejeté et non accepté tel qu'il est.
Le but de la punition n'est pas de rétablir un équilibre, une égalité ou un ordre juste, mais de réactiver une autorité, que ce soit celle du roi, celle des lois ou même celle des parents. La punition est alors nécessaire, non pas pour rendre justice mais dans la constitution d'une relation d'autorité.