Selon ces données, en privilégiant l'arrière de l'avion et les places du milieu, les chances de survie sont donc plus élevées (taux de mortalité calculé à 28 %). "Sans grande surprise, ces places sont plus sûres que celles situées côté hublot ou couloir.
Sur 20 accidents survenus depuis 1971 (avec des morts et des survivants), les autorités américaines ont ainsi constaté que les passagers assis à l'arrière de l'avion avaient eu 69 % de chances de rester en vie, tandis que ce chiffre descendait à 49 % pour ceux assis à l'avant de l'appareil.
Néanmoins, une enquête du magazine américain Time qui a examiné 35 ans de données sur les accidents d'avion a révélé que les sièges arrière centraux d'un avion présentaient le taux de mortalité le plus faible : 28 %, contre 44 % pour les sièges de l'allée centrale. C'est également logique.
Selon une enquête du Time, les sièges les plus sûrs pour votre sécurité se situent au milieu et à l'arrière de l'appareil. Pour affirmer cela, le magazine américain a analysé 35 ans de données sur les accidents d'avion.
Sur les vols long-courriers, la disposition varie. La meilleure option est généralement une rangée en 2-3-2. Cela garantit une place côté couloir ou hublot, que vous choisissiez le côté gauche ou droit de l'avion.
Si votre peur réside sur le risque de crash de l'avion, la meilleure place sera alors située à l'arrière car les chances de survie sont plus élevées. Évitez cette place si vous avez peur des turbulences car c'est l'endroit de l'appareil où on les ressent le plus.
À proximité des toilettes : c'est une zone bruyante. À l'arrière de l'avion : c'est la zone où l'on ressent le plus les turbulences.
En effet, selon une étude du magazine américain Popular Mechanics, qui a examiné des dizaines de crashs d'avions commerciaux aux États-Unis depuis 1971, les passagers assis à l'arrière ont 40% de chances en plus d'y réchapper par rapport aux passagers situés dans les premières rangées à l'avant.
Le taux d'accidents aériens s'établit en moyenne dans le monde à 1 accident par million d'heures de vol (soit 2 accidents par million de vols) avec des fortes disparités (0,7 accident par million d'heures de vol en Europe, 0,4 aux États-Unis, plus de 13 en Afrique).
En nombre de crashs, c'est le 707/720 de Boeing qui l'emporte avec 105 catastrophes, devant le DC9 et le DC8 (62 chacun), le Boeing 727 (57) et le Boeing 737- 1/200 (48).
80% des accidents ont lieu pendant les 3 premières minutes du vol et les 8 dernières minutes du vol, relaxez-vous entre-temps !
Prenez une inspiration de quelques secondes, expirez le double de secondes. Recommencez cet exercice jusqu'à ce que vous ressentiez un retour à la normal. Polariser toute son attention sur la respiration permet au cerveau d'éclipser les causes de son angoisse».
La meilleure chose à faire pour diminuer votre état anxieux et calmer le stress du départ est de vous organiser en amont. Faites en sorte de boucler votre valise avec au moins une journée d'avance, pour ne plus vous en soucier. Si vous le pouvez, enregistrez vos bagages sur internet la veille du vol.
La logique du passager est alors assez simple : plus il rentre tôt dans l'avion, plus ses chances de garder son bagage avec lui augmentent.
Le fuselage de l'avion fait barrage à l'électricité. Même chose en cas de tempêtes, pluies diluviennes et ouragans, les avions sont construits afin de faire face à ces conditions météorologiques même si le risque zéro n'existe pas.
Il s'agit d'une variation assez brusque de l'intensité et de la direction du vent. Les turbulences générées directement par l'avion sont un autre type d'incident qui peut survenir en vol. Cela se produit lorsque de grandes masses d'air entrent en collision avec les extrémités des ailes de l'avion.
Ainsi, quand l'avion est confronté à un courant descendant, il perd subitement quelques dizaines de mètres d'altitude, ce qui peut provoquer chez les passagers une sensation de chute. C'est ce que l'on appel plus communément des « trous d'air ».
Les personnes souffrant de peur de l'avion ou aérophobie ressentent une anxiété anticipatoire à partir du moment où un voyage en avion est planifié. Cette anxiété anticipatoire s'accroit au fur et à mesure que la date du voyage s'approche pour devenir intense dans les quelques heures précédant le vol.
Rester positif en prenant du recul sur la situation et en se concentrant sur les aspects positifs de sa vie et sur chaque effort qui aide à surmonter sa peur ; Lâcher prise en évitant de vouloir contrôler à tout prix sa peur et en prenant conscience qu'il est impossible de tout prévoir ni d'avoir la main sur tout.
Généralement l'angoisse est liée à l'idée du décollage proche à laquelle s'ajoute un sentiment de claustrophobie. Sentiment souvent d'autant plus important lorsqu'il s'agit d'avions de tailles réduites comme les 737, DC 9 ou A 320 à deux rangées de sièges.
L'atmosphère moins riche en oxygène peut déclencher des maux de tête, des vertiges ou des nausées. Ces signes apparaissent quelques heures après l'atterrissage et peuvent persister plusieurs jours. Ils disparaissent généralement d'eux-mêmes avec le repos.
Les benzodiazépines sont les principales substances utilisées pour traiter l'anxiété aiguë (effet dit anxiolytique, voire sédatif). Le médicament agit après une seule prise, en 5 à 15 minutes environ, selon la dose absorbée et la sensibilité du patient.
Les individus souffrant de phobie de l'avion ressentent une anxiété d'anticipation du voyage dès lors qu'ils prennent connaissance d'un voyage planifié. Cette anxiété est de plus en plus importante à mesure que le jour du départ se rapproche, et atteint son paroxysme les heures qui précèdent le vol.