La croix de multiplication « × » est un symbole mathématique utilisé principalement comme signe de multiplication, introduit en 1631 par William Oughtred dans Clavis mathematicæ.
La soustraction est l'une des opérations basiques de l'arithmétique. La soustraction combine deux ou plusieurs grandeurs du même type, appelées opérandes, pour donner un seul nombre, appelé la différence. Soustraire signifie diminuer en comptant. Le signe de soustraction est le symbole « − ».
À quoi sert la multiplication ? Elle permet de calculer plus rapidement une addition répétée d'un même nombre et donc de résoudre des problèmes plus rapidement.
Pour multiplier un nombre par 100, on écrit deux|2 zéros à la droite du nombre. Donc, pour multiplier un nombre par 300, on le multiplie par trois|3 et on écrit deux|2 zéros à la droite du résultat. Complète. Pour multiplier un nombre par 10, on écrit un zéro|0 à la droite du nombre.
La multiplication correspond à une addition répétée plusieurs fois. Elle permet de simplifier les calculs. Par exemple, [3+3+3+3+3=5times3] La multiplication est commutative, donc on a 3x5=5x3. Dans notre exemple, on dira que 3 est multiplié par 5 ou encore qu'on effectue 5 fois 3.
La division peut avoir deux sens : celui de partage et celui de groupement.
Comment effectuer ces multiplications facilement et sans poser d'opérations ? La table de 5 est facile à retenir. Tous les multiples de 5 se terminent par 0 ou 5. Quand on multiplie un nombre par 5, le résultat se finit donc toujours par 0 ou 5.
Quand on multiplie des nombres décimaux, on effectue d'abord l'opération comme s'il s'agissait de nombres entiers. Puis on place la virgule en suivant cette règle : le nombre de décimales du produit est égal à la somme des nombres de décimales de chacun des facteurs.
Définition : Le résultat d'une multiplication s'appelle un produit et les nombres que l'on multiplie entre eux s'appellent les facteurs.
La multiplication permet de calculer plus rapidement une addition répétée d'un même nombre.
Les signes plus (+) et moins (−) sont utilisés pour représenter les opérations d'addition et de soustraction dans une forme aujourd'hui reconnue internationalement. Ils peuvent avoir d'autres significations analogues, reconnues de manière généralement plus locale.
De même, seules les minuscules qui diffèrent du latin sont employées : α, β, γ, δ, ε, ζ, η, θ, λ, µ, ν, ξ, π, ρ, σ, τ, ϕ ou φ, χ, ψ, ω et plus rarement le kappa (κ), et le pi dorique (ϖ).
Règle. La règle des signes permet de connaître le signe du produit de deux nombres relatifs : si les deux nombres ont le même signe, alors leur produit est positif ; si les deux nombres ont des signes différents, alors leur produit est négatif.
la multiplication par 0 qui donne toujours 0 : 0 × a = a × 0 = 0. on dit que 0 est un élément absorbant pour la multiplication.
si on multiplie un nombre par 1000, on ajoute 3 zéros à ce nombre. Exemple : 57 × 1000 = 57 000.
Les noms numéraux multiplicatifs sont identiques à l'adjectif correspondant : double (2x), triple (3x), quadruple (4x), quintuple (5x), sextuple (6x), septuple (7x), octuple(8x), nonuple (9x), décuple (10x), centuple (100x).
Ainsi, quand on multiplie 8,56 par 10, on obtient 85,6 et non pas 8,560 ni 80,560 ni 80,56. règle : « Multiplier par 10, c'est ajouter un 0 à la fin de l'écriture du nombre. » Ici, l'élève met le zéro à la fin, après le dernier chiffre de l'écriture du nombre (donc après le 6), comme il l'a appris sur les entiers.
Principe pour les nombres entiers
Ces expressions se lisent respectivement « cinq multiplié par sept » (ou « 7 fois 5 ») et « sept multiplié par cinq » (ou « 5 fois 7 »).
En France, l'apprentissage des tables de multiplication commence vers 7 ans. Les tables de 2, 3, 4 et 5 sont au programme du CE1, les tables de 6, 7, 8, 9 et 10 sont enseignées au CE2, avant d'être revues dans les classes supérieures.
marcottage
Mode de multiplication des végétaux consistant à provoquer le développement des racines sur une portion herbacée ou ligneuse de jeunes rameaux, puis à séparer ces derniers du pied d'origine afin d'en obtenir une nouvelle plante.