Attendu que, car, comme, puisque, etc.
Indique la cause. Synonyme : attendu que, comme, étant donné que, dans la mesure où, du moment que, parce que, vu que.
Puisque introduit la justification de ce qui précède (= étant donné que, du moment que) : je viens puisqu'on m'y invite ; puisque vous êtes là, restez-y. Parce que introduit une explication ou l'énoncé d'une cause objective et répond à la question « pourquoi ? », exprimée ou non : je pars parce qu'on m'attend ailleurs.
Le principal synonyme de c'est pourquoi est c'est la raison pour laquelle . Il est un peu long, mais il marche à tous les coups. Il y a aussi voici pourquoi , voilà pourquoi , mais ceux-là ont une particularité : ils peuvent aussi introduire une cause.
Conjonction qui fait la liaison d'une cause et d'une conséquence intimement liées. Marque le motif et la cause, la raison évidente et introduit une justification impatiente.
Si le remplacement par « bien que » est possible, il faut écrire « quoique », en un seul mot. Dans le cas contraire, il s'agit de la locution « quoi que ». Quoiqu'on l'ait mis en garde, il continue à rouler trop vite. = Bien qu'on l'ait mis en garde, il continue à rouler trop vite.
2) Puisque
Marque la cause, connue ou évidente pour tous. Le plus souvent en début de phrase ! Exemple. Puisqu'il fait beau, nous resterons jusqu'à 20 heures.
Oui, d'accord, c'est entendu.
La formule il y a sert aussi de repère temporel, par exemple quand on dit il y a deux jours . Dans ce cas, on peut la remplacer par voilà , par ça fait , ou bien reformuler avec avant , auparavant (mais on n'a plus le jour présent comme repère) : deux jours avant , deux jours auparavant .
– Du coup : « La réunion a été annulée, on fait quoi du coup ? » Eh bien, on commence par remplacer cette expression un tantinet agaçante par ces nombreux équivalents : donc, de ce fait, en conséquence, par conséquent, voire subséquemment !
afin que, pour que, de crainte que, de peur que sont suivies du subjonctif. Conjonctions de subordination qui marquent la cause: parce que, puisque, comme, vu que, attendu que, du moment que, sous prétexte que sont suivies de l'indicatif.
− Être capable de faire quelque chose.
bien que, pendant que, quoique, tandis que.
Encore, en outre, de plus. Autant, dans la même mesure; de la même manière. De même, également.
Le verbe "être" est généralement utilisé pour exprimer un état, une attitude, une action. Tu es très sage en classe. Je suis malade ce matin. Le verbe avoir est généralement utilisé pour exprimer la possession.
Carrément ! Exemple : C'est vrai que vous êtes cuisinier ? Tout à fait.
Oui, bien sûr.
Définition de ok : « ok » est utilisé pour marquer l'accord du locuteur avec ce qui a été dit ou avec quelqu'un. Il est synonyme de (c'est) d'accord, bien, bon, oui, parfaitement. « Ok » est une locution adverbiale qu'on retrouve parfois écrite « O.K. », « OK », ou « okay ».
Pourtant, c'est faux : « malgré que » n'est pas correct. Ce n'est pas moi qui le dis, c'est l'académie française. Après malgré, on ne peut jamais dire « que ». On peut dire « bien que » – il y a plein de prépositions qu'on utilise avec « que » mais « malgré » n'est jamais suivi par « que ».
La virgule avant le mot puisque est obligatoire.
MAIS, OU, ET, DONC, OR, NI, CAR sont des conjonctions de coordination. Elles coordonnent ou lient deux mots ou deux propositions de nature ou de fonction identiques.