Chez la femme non ménopausée, le taux normal est compris entre 10 et 125µg/l.
Le taux normal de ferritine est compris entre 20 et 400 nanogrammes par millilitre (ng/ml) de sang (selon l'âge et le sexe du patient, et la technique de dosage utilisée). Une quantité de ferritine inférieure à 20 ng/ml chez la femme et 30 chez l'homme et la femme ménopausée révèle une carence en fer.
18 et 270 ug/L (microgrammes/litre) chez l'homme ; 18 et 160 ug/ml chez la femme (ces taux plus bas que chez l'homme s'expliquent par les règles qui font baisser les taux de fer tous les mois) ; 7 et 140 ug/ ml chez l'enfant.
Un taux de ferritine supérieur à 200 microgrammes par litre chez l'homme ou à 125 microgrammes par litre chez la femme (avant ménopause) doit être surveillé par un médecin.
La ferritine augmente avec l'âge et avec certaines pathologies liées à l'âge. 26 Une concentration entre 50 et 100 μg/l peut être retrouvée dans les deux cas. L'évaluation du fer colorable dans la moelle osseuse reste un indice important mais invasif.
Quels sont les résultats ? Le taux sérique normal de ferritine est variable selon les techniques de laboratoire utilisées. En moyenne, chez l'homme adulte et la femme ménopausée le taux est compris entre 20 et 200µg/l. Chez la femme non ménopausée, le taux normal est compris entre 10 et 125µg/l.
des MALADIES HÉPATIQUES
Les maladies hépatiques peuvent également entraîner une élévation du taux de ferritine dans le sang. Par exemple, la stéatose hépatique non alcoolique, communément appelée "foie gras", est une condition dans laquelle le foie accumule des graisses en excès.
L'excès de fer dans l'organisme entraine des symptômes généraux de type fatigue et perte de la libido, mais également des symptômes plus spécifiques comme des douleurs articulaires. Actuellement le traitement de la cette maladie repose sur des saignées réalisées tous les trois à six mois.
La menthe poivrée la diminue de 84%, le cacao de 71%, la verveine de 59%, le tilleul de 52% et la camomille de 47%. Ces boissons peuvent ainsi aider à limiter les apports en fer.
Lors d'une prise de sang, si la ferritine est trop élevée, cela peut avoir des conséquences néfastes pour la santé. Il est donc impératif de prendre l'hyperferritinémie au sérieux et de faire appel à un médecin en cas d'excès de fer dans le sang.
La valeur seuil est de 200 -275 μg/L (ng/mL) de ferritine (selon le sexe). Des taux de ferritine élevés se rencontrent également en présence des tumeurs suivantes : leucémie aiguë, maladie de Hodgkin et cancer du poumon, du colon, du foie et de la prostate.
Après la ménopause, il est fréquent de constater une augmentation de la résistance à l'insuline (RI) et du syndrome métabolique (SM), considérés comme facteurs favorisant l'inflammation chronique de bas grade.
Les fibres sont également recommandées chez les personnes souffrant d'hémochromatose. Comme le calcium, elles permettent de réduire l'absorption du fer dans l'organisme. On peut citer les produits céréaliers complets, les betteraves, les fruits rouges, le chocolat, les patates douces, les poivrons verts…
La ferritinémie baisse durant la grossesse et en cas d'exercice physique intensif et régulier. Les taux normaux sont les suivants : Femmes <50 ans : de 7 à 132 ng/ml. Femmes >50 ans : de 10 à 265 ng/ml.
"Le fer est le fer qui circule dans le sang de façon immédiate et qui est partagé avec les cellules en permanence et la ferritine est une protéine qui stocke les réserves en fer de l'organisme. "Lorsque le fer est bas et que la ferritine est encore normale, on ne s'inquiète pas.
La supplémentation en fer peut être à l'origine de quelques effets indésirables, tels que des nausées, une constipation ou des diarrhées voire des douleurs abdominales. Il est donc possible qu'il provoque des ballonnements avec une sensation de ventre gonflé chez certaines personnes.
Les viandes rouges, comme le bœuf, le foie, le porc et l'agneau sont particulièrement riches en fer. De même, les aliments riches en vitamine C tels que les agrumes, les poivrons ou les fruits rouges, favorisent l'absorption de fer et sont à éviter en cas d'excès.
La vitamine C et l'acide citrique favorisent l'absorption du fer, ce qui permet au citron de prévenir l'anémie. Riche en antioxydants, le citron contribue à réduire l'apparition de certains cancers.
Le citron stimule la production de bile et régénère les fonctions purificatrices du foie. Pour profiter au maximum de ses bienfaits pour le foie, on peut faire une cure de jus de citron de 10 à 15 jours, en le consommant chaque matin au réveil, avec un peu d'eau tiède (ou à température ambiante).
Traitement. Si le patient souffre d'une hémochromatose héréditaire, des saignées régulières constituent le traitement de référence pour ramener le taux de fer à la normale. Si la surcharge est due aux transfusions, des médicaments lui sont administrés pour extraire le fer.
Le traitement de l'anémie par carence en fer nécessite un apport médicamenteux prolongé en fer. Parallèlement, il est indispensable de traiter la cause du manque de fer. Un suivi biologique permet de contrôler la normalisation de la numération formule sanguine et de la ferritine.
Il a été observé que le thé vert réduirait l'absorption du fer d'environ 30 %, et le thé noir de 60 %. Toutefois, les thés plus légers, comme le thé blanc, contiendraient relativement moins de tanins. Un conseil : la consommation de thé noir en dehors des repas aura moins d'impact sur l'absorption du fer.
Une alimentation équilibrée est la clé pour gérer efficacement un taux de fer élevé. Il y a plusieurs légumes qui peuvent être consommés si vous cherchez à maintenir un régime pauvre en fer. Parmi ceux-ci, on compte le concombre, la laitue, le radis et la courgette.
Concernant les autres causes d'excès de fer, on peut agir sur le régime alimentaire. Celui-ci doit donc être limité en aliments riches en fer, tels que les viandes rouges, les abats, les crustacés et les sardines. On doit consommer avec modération thé et café, en privilégiant plutôt les laitages, protéines végétales.