Le verbe de parole est à l'intérieur des guillemets s'il est introduit au milieu de la phrase du locuteur. Exemple : « Quand partons-nous, demanda-t-il, et où ? » Ces verbes de parole servent à signaler que quelqu'un va parler.
Dans cet exemple, le verbe de parole d'énonciation utilisé est "dire".
Il est aussi possible d'introduire la première phrase par un verbe de parole (dire, demander, s'écrier, etc.)
Les principaux verbes introducteurs de pensée ou de parole sont : « dire », « déclarer », « demander », « murmurer », « parler », « appeler », « crier », « questionner », « s'exclamer », « déclamer ». Claire dit : « J'aimerais que tu viennes, cela me ferait plaisir. »
Le verbe introducteur sert à introduire un acte de parole, à rapporter des paroles dans un récit. Il précède ou suit une réplique dans un dialogue. Le verbe « dire » comporte plusieurs significations. Il devient ainsi un verbe dont le sens est vague.
Les guillemets s'utilisent à l'écrit pour introduire et conclure le discours direct, et les verbes introducteurs sont "dire", "s'exclamer", "parler", "demander", "s'écrier", "répondre", , etc..
Pour formuler ou exprimer une opinion vis-à-vis d'un sujet, d'un fait, par rapport à un objet ou à une idée, on peut utiliser les verbes suivants: penser, supposer, trouver, croire, se douter, estimer, être sûr, s'imaginer…
La construction du verbe introducteur varie selon le discours. Il rapporte les paroles telles qu'elles ont été prononcées. Il est reconnaissable car il porte les marques du dialogue (paroles encadrées par des guillemets). Le verbe introducteur de paroles peut être placé à trois endroits différents.
Les verbes transitifs et intransitifs. On différencie les verbes transitifs, qui requièrent un complément, des verbes intransitifs, qui n'en demandent pas. Parmi les verbes transitifs, on distingue les verbes selon qu'ils appellent un complément direct ou indirect, ou encore deux compléments.
introduire le dialogue par un verbe introducteur de parole suivi de deux points ; ouvrir le dialogue par des guillemets ; aller à la ligne chaque fois qu'un personnage différent prend la parole et placer un tiret devant ; fermer le dialogue par des guillemets après la dernière parole rapportée.
Dans une situation d'énonciation, l'émetteur (celui qui parle/celui qui écrit) peut être amené à rapporter des paroles prononcées par quelqu'un d'autre que lui. Pour celui, il lui faut alors utiliser un verbe introducteur de paroles. Par exemple : Maxime avait dit à sa mère : « Je ne mangerai pas à la maison ce soir. »
Les verbes suivants sont des Vpsy1: mépriser, aimer, adorer, admirer, détester, déplorer, supporter, redouter, regretter, estimer, apprécier… (id., p. 189).
Exemples en français : « courir », « manger », « chanter », « parler », « travailler », « partir », « dormir », « entendre », « tomber », « recevoir », « finir », etc. Du point de vue des fonctions syntaxiques, les verbes d'action sont ceux qui définissent un sujet et éventuellement un ou plusieurs objets.
La phrase verbale s'organise autour d'un verbe (conjugué à un mode personnel ou impersonnel), qui constitue le noyau de la phrase. Un requin a attaqué un plongeur. Une phrase non verbale s'organise autour d'un mot (nom, adjectif…) autre qu'un verbe. Une phrase nominale a pour noyau un nom.
Qu'est-ce qu'une phrase complexe ? Une phrase contenant deux ou plusieurs verbes conjugués est appelée phrase complexe.
Il existe plusieurs modes : les modes personnels : l'indicatif, l'impératif, le conditionnel et le subjonctif. Les modes personnels varient en fonction de la personne du sujet ; les modes impersonnels : l'infinitif, le participe, le gérondif.
Exemples en français : « avoir l'air », « consister », « demeurer », « devenir », « passer pour », « rester », « s'appeler », « sembler », « se trouver », « paraître », « être », « naitre », « mourir », etc.
Analyser un verbe, c'est donner son groupe, sa voix, son mode, son temps et sa personne. Un verbe n'appartient qu'à un seul groupe. Il existe aussi les modes impersonnels qui se conjuguent sans pronoms personnels : participe, infinitif. Le gérondif est toujours précédé de la préposition en.
Le verbe est le mot ou le groupe de mots qui change quand le temps de la phrase change. Pour trouver le ou les verbes d'une phrase, il faut changer le temps de la phrase. Ex. : Le monstre ferme son troisième œil et devient invisible. → Le monstre fermera son troisième œil et deviendra invisible.
Le safran s'achète cher. (On l'achète cher.) Les verbes subjectifs : le pronom est un élément totalement incorporé au verbe. Il s'agit surtout de verbes qui n'existent qu'à la forme pronominale : s'accouder, s'écrouler, se méfier, s'exclamer, s'écrier…
Ces petits verbes, on les appelle aussi « auxiliaires modaux » parce qu'ils sont souvent suivis d'un verbe à l'infinitif. Les verbes modaux français sont essentiels dans la vie quotidienne : grâce à eux, vous pouvez exprimer l'obligation, la possibilité, la permission et la volonté.
Il s'agit des verbes : être, avoir, aller, venir, faire, dire, prendre, pouvoir, voir, devoir, vouloir.