L'équilibre de la terreur est une stratégie d'armement commune aux États-Unis et à l'Union soviétique pendant la guerre froide. Cette doctrine, également appelée destruction mutuelle assurée, est une façon de dissuader l'adversaire d'utiliser l'arme nucléaire.
L'expression équilibre de la terreur a été créée par les Etats-Unis et la Russie pendant la période de la Guerre froide. Chaque pays possédant l'arme nucléaire, ils savaient que son utilisation les détruirait tous deux. L'équilibre de la force de frappe maintient la paix.
« L'équilibre de la terreur »
L'arme nucléaire est souvent présentée comme la garantie de la paix mondiale. « L'équilibre de la terreur » permettrait d'empêcher les conflits ouverts entre grandes puissances. C'est cet équilibre qui aurait permis d'éviter que la guerre froide ne dégénère en troisième guerre mondiale.
L'équilibre de la terreur est une stratégie d'armement commune aux États-Unis et à l'Union soviétique pendant la guerre froide. Cette doctrine, également appelée destruction mutuelle assurée, est une façon de dissuader l'adversaire d'utiliser l'arme nucléaire.
20 Si l'on se tient à la conception que nous appellerons classique, par « paix d'équilibre » il faut entendre l'état d'un système dans lequel les forces opposées se réduisent mutuellement à l'inaction.
1"La terreur n'est autre chose que la justice prompte, sévère, inflexible ; elle est donc une émanation de la vertu"1. Par ces mots, Robespierre justifiait le moyen révolutionnaire de la terreur tout en le circonscrivant fermement dans son principe.
La guerre froide se décompose en trois phases : La coexistence pacifique de 1947–1962. La détente de 1962– 1975. La guerre fraîche de 1975– 1985.
En outre il faut « couper l'herbe sous les pieds » des Enragés, puis des Exagérés, qui réclament des mesures économiques et sociales fortes en faveur des plus démunis et qui menacent de s'en prendre à la propriété privée, donc d'effrayer la bourgeoisie (autre pilier de la République).
Période de la Révolution française (1793-1794) pendant laquelle des mesures exceptionnelles sont mises en place pour arrêter et punir les opposants aux Montagnards.
La Terreur est décidée le 5 septembre 1793 par la Convention (assemblée qui dirige la Première République). Elle se termine le 28 juillet 1794 avec l'arrestation des Jacobins et la mort de Robespierre.
Les conséquences de la Terreur sont dramatiques et s'élèvent à 200 000 victimes civiles et à 35 000 à 45 000 personnes exécutées par les tribunaux révolutionnaires. Politiquement, les projets de république sociale et démocratique seront repris par les révolutionnaires de 1848 et par les communards de 1871.
La chute du Mur de Berlin, en novembre 1989, met un terme à la Guerre froide et à ses divisions héritées de la Seconde Guerre mondiale. La fin du glacis communiste emporte dans sa chute le monde bipolaire structuré autour de la rivalité entre les États-Unis et l'Union soviétique.
Pourquoi la guerre froide a eu lieu ? À la fin de la Seconde Guerre mondiale, les deux grands vainqueurs veulent dominer le monde : d'un côté, les États-Unis ; de l'autre, la Russie, appelée l'Union soviétique, à l'époque. Les deux camps veulent que leurs idées s'imposent partout.
Personnage controversé de la période révolutionnaire, Robespierre (1758-1794) est un acteur essentiel de cette période. Partisan d'une République sociale et égalitaire, il exerce à partir de la Terreur un pouvoir de plus en plus personnel et autoritaire.
Pour d'autres, Robespierre tenta de limiter les excès de la Terreur, et fut avant tout un défenseur de la paix, de la démocratie directe et de la justice sociale, un porte-parole des pauvres, et l'un des acteurs de la première abolition de l'esclavage en France.
Le règne de la Terreur, ou plus simplement la Terreur, fut une période culminante de violence sanctionnée par l'État pendant la Révolution française (1789-99), au cours de laquelle des milliers de "suspects" contre-révolutionnaires furent exécutés en public et tués en masse entre septembre 1793 et juillet 1794.
Pour certains, le discours du premier ministre britannique Winston Churchill du 5 mars 1946, au cours duquel il explique qu'« un rideau de fer est descendu sur le continent », marque le véritable début de la guerre froide. Pour d'autres, ce conflit larvé a débuté dès la fin de la seconde guerre mondiale, en 1945.
Le Pacte de Varsovie est brisé, et la fin de l'URSS entraine la constitution de la Communauté des Etats Indépendants (CEI) le 8 décembre 1991.
Pour empêcher les habitants des pays de l'Est de s'enfuir vers l'Ouest, Joseph Staline fait construire entre les deux zones une séparation faite de fils barbelés et entourée de champs de mines. Cette séparation est surveillée par des militaires armés.
Fin de la guerre froide ou nouvelle détente : 1985 - 1991.
L'affaiblissement de l'Union soviétique, la perestroïka conduite par Mikhaïl Gorbatchev, et la détermination des Allemands de l'Est qui organisaient de grandes manifestations, ont provoqué le 9 novembre 1989 la chute du mur de Berlin, suscitant l'admiration incrédule du « Monde libre » et ouvrant la voie à la ...
La crise la plus dangereuse de la guerre froide se déroule paradoxalement pendant une période d'apaisement des tensions qui ne met pas fin à la confrontation : la « coexistence pacifique ».
La Terreur prend fin avec la mort des principaux députés Montagnards dont Robespierre, figure de proue du gouvernement révolutionnaire, guillotiné le 28 juillet 1794. L'héritage de notre République, inaugurée dans la politique de "la Terreur", anime toujours autant de débats au sein de notre histoire politique.