Enfin, la dopamine guiderait bon nombre de nos comportements, en provoquant la sensation de plaisir… Ce dernier effet s'appuie sur un réseau de neurones nommé « circuit de la récompense ».
Quelles sont les hormones du bonheur ? Il en existe 4 principales : la dopamine ; la sérotonine ; l'endorphine et l'ocytocine.
L'hormone de l'amour est très facile à stimuler car il suffit de passer du temps avec les gens que l'on aime, l'ocytocine étant l'hormone de la tendresse et des relations sociales. Des relations amicales mais aussi des relations amoureuses et la façon la plus naturelle de libérer l'ocytocine est de faire l'amour.
Un sommeil profond et réparateur va booster la libération de dopamine, aussi appelé l'hormone du plaisir. Dans le détail, la dopamine agi directement sur le cerveau pour procurer un plaisir immédiat et une sensation de concentration. Nous vous conseillons donc de dormir entre 7 et 8 heures par nuit.
De plus, serrer l'être aimé dans nos bras élève le taux d'ocytocine dans notre sang et, plus il augmente, plus celui du cortisol baisse. Et cette hormone des amoureux reste dans le sang plusieurs heures après qu'elle a été secrétée.
Vient ensuite l'explosion d'endorphines au moment de l'orgasme, qui modifie radicalement l'état de conscience ordinaire : euphorie ou extase, ces molécules nous font décoller. Mais en même temps que les sens et la conscience s'affolent, nous produisons de l'ocytocine, l'hormone de l'attachement.
Recevoir et faire des câlins permet de secréter de l'ocytocine, l'hormone liée à l'amour, à l'empathie, à l'attachement,... Embrasser son enfant et le prendre dans ses bras favorise ces décharges d'ocytocine qui sont très importantes pour la régulation du stress.
La sérotonine est liée à la régulation de l'humeur, c'est l'hormone du bien-être. Elle est utilisée par tous les principaux organes du corps en plus du cerveau. Elle est impliquée dans la régulation du sommeil, de la satiété, des comportements, de l'anxiété ou encore de l'apprentissage.
La course, le vélo, la natation, les promenades en raquettes, ainsi que les sports en salle de type step, cardio rameur ou spinning sont tous très endorphinogènes.
Et pour les humains, ça se traduit au moment de la rencontre, des premiers temps de la relation par une explosion de testostérone, d'œstrogènes, mais aussi d'ocytocine (communément appelée hormone du bonheur) et de dopamine (une cousine proche de la précédente, hormone de la récompense).
Au cœur de l'envie d'entrer en relation avec l'autre se trouve un messager essentiel du cerveau : la dopamine, véritable hormone du désir. L'amour se déroule en plusieurs étapes, qui s'échelonnent dans le temps. Tout débute par l'attirance, cette alchimie subtile qui est le signe d'une rencontre réussie.
En réalité, c'est la dopamine et l'ocytocine qui concrétisent la véritable sensation de tomber en amour. Elles impliquent les mêmes douze zones cérébrales et on les retrouve dans le lien de couple et celui du parent-enfants. L'ocytocine a un rôle extrêmement important dans l'attachement envers l'autre.
- Au niveau neuro-hormonal : le rire augmente la synthèse des hormones de la série des endorphines qui ont une action anti douleur, diminuent l'anxiété et régularisent l'humeur. Le rire entraîne en particulier une augmentation de la synthèse de la sérotonine, neuromédiateur qui est diminué dans la dépression.
Le contact physique sous forme de câlins, de massages, et de caresses stimule la production d'ocytocine.
La sérotonine et le GABA sont les 2 principales molécules « messagères » entre les neurones (« neurotransmetteurs ») qui sont impliquées dans les états anxieux. Ce sont de fait les cibles communes des médicaments « anxiolytiques ».
Différences avec la dopamine
Comme la morphine, l'"endorphine" active les neurones dopaminergiques du "système de récompense", et la libération de dopamine qui en résulte est directement en lien avec la sensation de plaisir et de bien-être, voire l'euphorie, que l'une et l'autre induisent.
Ainsi, les sports d'endurance sont plus endorphinogènes que les autres pratiques : course à pied, vélo, natation, balades en raquettes, en ski de fond, sports en salle de type cardio training, aérobic, step…
La tristesse
Le système d'alarme de l'amygdale est activé et on sécrète du cortisol, l'hormone du stress. Mais la tristesse est un sentiment conscient. Elle nous aide à gérer le stress et à vivre avec l'expérience de la perte. Pendant le deuil, les zones du cerveau situées dans le lobe frontal sont activées.
La dopamine est sécrétée après satisfaction d'un besoin ou d'un désir et provoque une sensation de bien-être. Comment la stimuler ? – Faire une activité que l'on aime : pratiquer une activité sportive, écouter de la musique, se détendre (relaxation, méditation…), etc.
2/ Mangez des aliments riches en Tryptophane
À mettre dans votre assiette pour améliorer votre sommeil grâce au tryptophane : Riz complet, produits laitiers, œufs, viandes, poisson, fruits à coque (amandes, noix de cajou…), chocolat noir, banane, levure de bière… Cet acide aminé sert à fabriquer de la sérotonine.
L'essentiel. Un câlin est une bouffée d'air frais anti-stress : le contact humain abaisse la tension, ralentit le cœur et libère des endorphines. D'après une étude américaine, le câlin agit comme une barrière efficace contre les maladies hivernales.
Les câlins stimulent la production de l'« hormone du bonheur », l'ocytocine. Il a été prouvé qu'un câlin (bienveillant et désiré) de plus de 20 secondes est bénéfique pour notre corps. Il réduit la pression artérielle et apaise la respiration.
À travers le câlin, l'organisme libère aussi de la dopamine, un autre neurotransmetteur souvent qualifié d'hormone du bonheur : en créant une sensation de plaisir, la dopamine est directement impliquée dans l'action, la motivation et le déclenchement de bonnes vibrations intérieures, comme la musique.