La technologie connaît aujourd'hui des dérives et des conséquences sur l'Homme, son équilibre et son rapport au temps. Stress, anxiété, ou même la dépression sont les pathologies psychiques des temps modernes. L'Homme doit courir toujours plus vite et plus longtemps.
Ce que l'homme mesure, c'est le changement survenu en une heure, entre deux instants. Le temps est également une durée, il est lié à l'état psychologique de l'être humain : c'est le temps vécu par l'homme, le temps de l'attente, de l'ennui ou bien encore du souvenir.
Nous avons besoin des écosystèmes naturels pour les services dont nous sommes dépendants. Beaucoup de nos besoins essentiels comme la nourriture et les matériaux sont dérivés des plantes et animaux.
Le travail et la technique => activité humaine qui permettent à l'Homme de transformer la nature pour subvenir à ses besoins et désirer. En ce sens, il nous libère de la nature et nous permet de nous développer.
La société (ses lois, ses institutions) corrompt l'homme. Selon le philosophe genevois Jean-Jacques Rousseau : « l'homme naît bon, la société le corrompt ».
Dans la Genèse, la nature est présentée dans le récit de la Création, comme l'œuvre d'un Dieu créateur : « Au commencement, Dieu créa les cieux et la terre » (Gn 1. 1 [archive]).
La nature est un élément contraire au développement humain : l'homme ne peut se passer de culture,sans culture l'homme ne peut pas se développer car ses instincts provenant de la nature sont quasi-inexistant.
Pour Rousseau, l'homme naturel est animé de deux passions : l'amour de soi et la pitié. L'amour de soi, c'est l'instinct de conservation, ce qui fait que l'homme cherche à se préserver et à se conserver (à ne pas confondre avec l'amour propre qui, lui, se développe avec la société).
Ni ordre parfait, ni réservoir indéfini d'énergie, la nature est d'abord ce que l'homme y fait. La préserver ne doit pas se faire au détriment de l'homme, mais dans le sens de son propre développement. L'homme n'est ni maître, ni esclave de la nature.
Écrire un récit, prédire le retour d'une comète, lister une série de dates : chacune de ces actions est directement liée au temps. Pourtant, il y joue des rôles divers. Il peut être essentiellement un repère plus ou moins explicite, comme dans le récit ou la liste de dates.
Le temps, dont la nature est d'ailleurs pour nous une énigme, n'est en soi ni un allié ni un ennemi. Il est l'étoffe de notre existence dans la mesure où la manière d'être fondamentale de l'existant est de se projeter vers ce qui n'est pas encore en se souvenant de ce qui fut.
Car le temps, c'est la vie. Et la vie habite dans le coeur des hommes. Cette phrase de Michael Ende contient 15 mots. Il s'agit d'une citation courte.
La nature a tout de même donner la vie a l'homme et c'est la raison la plus pertinente qu'il soit pour affirmer que l'homme se doit de la respecter. En effet le respect de la nature est indispensable à la survie du genre humain car l'homme est capable et est en proie de courir à sa propre perte.
L'humain se détache et se place au-dessus de la Nature
Comme détachés donc. Simplement parce que nous avons réussi à modeler notre environnement et la Nature en partie selon nos souhaits, cela signifierait que nous avons tous les droits dessus, que nous valons mieux ?
L'homme s'autonomise et se substitue à la nature créatrice qu'il transforme. On peut donc affirmer que la technique est à l'origine de la culture humaine. L'homme occupe une place particulière dans le sens où pour reprendre les mots d'Aristote, il est non seulement un animal raisonnable « mais un animal politique ».
Qu'il se questionne ou non, l'homme cherche à procréer, travaille à la protection et l'éducation de sa descendance, veut se sentir utile, cherche à repousser la souffrance et la mort, et à accéder à une existence supérieure (sociale ou religieuse).
On peut ainsi dire que la société lutte contre la nature de l'homme n14, puisqu'elle inhibe sans cesse ses instincts. De plus, la société apprend à l'homme à suivre des règles, ce qui fait que toute spontanéité y est brimée. La société est donc un phénomène culturel qui transforme la nature de l'homme.
Comme substantif, il est simplement défini, dans le Petit Robert par exemple, comme « ce qui est humain ; l'homme et ce qui appartient à l'homme », avec comme exemple « réduire le monde à l'humain », puis comme « être humain » (l'humain, c'est l'être humain, c'est-à-dire l'homme).
Souvent, on assimile la liberté à la possibilité de faire tout ce que l'on veut sans limite naturelle ou conventionnelle. Ainsi, être libre signifie ne pas être soumis à une volonté autre, ni à une contrainte extérieure. L'esclave n'est pas libre, car tout ce qu'il peut faire dépend de la volonté de son maître.
Souvent, le monde animal nous paraît beaucoup plus libre que le monde des Hommes car il y a une absence de contrainte sociale. L'animal fait ce qui lui plait, c'est à dire il suit ses instincts, il n'a pas de barrière morale, il a une liberté physique lié à son indépendance (déf. : ne dépendre de personne pour vivre).
On peut admettre que l'homme, d'un point de vue biologique, peut vivre sans penser. Comme l'animal, l'homme a des besoins physiologiques qu'il doit satisfaire s'il veut se maintenir en vie. Pour vivre, l'homme doit s'alimenter, se vêtir, se loger ou trouver un abri.
Le philosophe Aristote, de l'Antiquité, a dit : « La nature a horreur du vide. » Aristote en est venu à cette conclusion en constatant que la nature exige que tout espace soit rempli de quelque chose, même si ce quelque chose est incolore et inodore.
Suivre la nature, pour un homme, c'est rentrer en soi-même pour rétablir volontairement ce qui constitue notre véritable « nature » : tel est le secret de la sagesse et du bonheur. 1) L'homme se rapproche de l'animal tout en s'en distinguant. L'animal est libre lorsqu'il n'est soumis qu'à son seul instinct.
Elle est le principe de développement des êtres vivants. Par extension, la nature d'une chose signifie aussi son essence, c'est-à-dire ce qu'elle est profondément, ce qui constitue son être indépendamment des accidents qui peuvent en modifier l'aspect.
La pollution, y compris l'utilisation de produits chimiques, de combustibles fossiles et de plastiques, perturbe les écosystèmes de la Terre et, ce faisant, nuit aux espèces et les force à modifier leurs habitudes.