La scolarisation des jeunes filles est un élément essentiel de leur accès à l'autonomie économique et un enjeu majeur de développement. Par l'éducation, elles gagnent en connaissances, ce qui influe par exemple sur la mortalité infantile car une fois mères, elles auront les bons gestes pour leurs enfants.
L'éducation est un puissant facteur de changement. Elle améliore la santé et les moyens de subsistance, contribue à la stabilité sociale et stimule la croissance économique à long terme. Elle est aussi essentielle à la réalisation de chacun des 17 objectifs de développement durable.
Pour les filles qui abandonnent prématurément l'école, les conséquences sont graves. Selon un rapport de la Banque mondiale, les pertes de productivité et de revenu tout au long de la vie pour les filles n'ayant pas effectué 12 ans d'études sont estimées entre 15 000 et 30 000 milliards de dollars à l'échelle mondiale.
Les résultats obtenus démontrent à suffisance le rôle clé de la scolarisation des filles comme condition indispensable requise pour obtenir un changement à moyen et long terme du comportement des parents en vue de l'amélioration de la situation des enfants en matière de santé et d'éducation.
En effet, les statistiques indiquent un taux brut de scolarisation de la jeune fille de 99,93 % en 2017-2018, contre 89,60 % en 2013-2014. Un autre aspect important est le maintien de la jeune fille dans le système scolaire jusqu'en classe de 3ème.
Pour éradiquer ce phénomène, les stratégies nécessaires seraient entre autre la mise en place d'une structure de récupération et d'accompagnement des jeunes filles déscolarisées ainsi que l'encouragement aux parents d'envoyer aussi leurs filles à l'école et en fin, valoriser les filles et les femmes qui ont étudié en ...
Première étape : donner aux filles des bases solides, par le biais d'actions de développement de la petite enfance. Les handicaps accumulés tôt dans l'existence sont difficiles à lever mais on peut éviter qu'ils n'apparaissent grâce à des programmes d'éducation destinés au jeune enfant.
Éduquer une fille c'est éduquer une nation, parce que la femme est le fondement de toute société. Nous savons que l'éducation est le plus puissant facteur de réduction de la pauvreté dans le monde, capable de mettre fin aux cycles intergénérationnels de désavantages et de booster des économies entières.
Action de scolariser, c'est-à-dire d'envoyer à l'école. Exemple : La scolarisation des enfants avant l'âge de trois ans est un sujet qui divise les parents de cette école. Etat d'une personne qui est scolarisée.
La non-scolarisation (en anglais : unschooling) est une méthode et une philosophie d'éducation qui emploie et soutient les activités librement motivées des enfants comme moyen premier d'apprentissage de la vie et des compétences.
En promouvant l'égalité des chances, l'école devrait assurer une plus grande égalité entre les hommes en fondant les différences sociales sur le seul mérite. L'éducation devrait aussi contribuer au développement économique en enrichissant les individus et en accélérant le progrès technique.
Le décrochage scolaire : les conséquences
Au niveau individuel, déjà, les élèves en situation de décrochage scolaire sont plus à même de développer des troubles du comportement et notamment des troubles au niveau psychologique et mental. L'isolement social et la dépression se retrouvent ainsi plus souvent ici.
L'école sert à instruire les élèves, à leur transmettre des connaissances. À l'école, on apprend à lire, écrire, compter et à comprendre l'histoire du monde, la géographie.
L'éducation est, étymologiquement l'action de « guider hors de », c'est-à-dire développer, faire produire. Il signifie maintenant plus couramment l'apprentissage et le développement des facultés intellectuelles, morales et physiques, les moyens et les résultats de cette activité de développement.
En plus d'instruire et de qualifier, l'école est un milieu de vie où les élèves interagissent et vivent plusieurs situations qui sont des occasions d'apprendre à vivre en société : amitiés, relations amoureuses, relations égalitaires.
Une meilleure santé
Des études ont démontré l'effet positif que l'éducation des filles avait sur leur santé et leur bien-être en général. Améliorer l'accès à l'école d'une fille diminue le risque qu'elle contracte le VIH et améliore la santé future des enfants et des mères.
L'instruction permet aux femmes de jouer un rôle économique accru au sein de leur famille et de leur communauté ; elles réinvestissent généralement 90 % de leurs revenus dans la famille. L'investissement dans l'éducation des filles contribue aussi à repousser l'âge auquel celles-ci se marient et procréent.
1. Former quelqu'un en développant et en épanouissant sa personnalité. 2. Développer une aptitude par des exercices appropriés : Éduquer la volonté.
Parmi les principales causes ayant retenu notre attention, constatons le problème familial, le statut socioéconomique, le milieu où vivent les enfants, les difficultés scolaires et le redoublement scolaire. Chacune de ces mauvaises situations peut devenir une cause majeure de l'abandon des études.
Gestion d'une passerelle d'accueil et d'orientation de jeunes déscolarisés. Accompagnement à la mise en place d'ateliers relais. Analyse des besoins d'un Établissement de Réinsertion Scolaire de proximité afin de proposer un projet de formation pour le personnel, la mise en œuvre d'actions éducatives complémentaires…
Les chromosomes XX sont pour le sexe féminin et XY pour le masculin. C'est le chromosome 23 qui détient les informations qui vont déterminer le sexe de l'enfant. Chaque cellule sexuelle contient la moitié des chromosomes (23). Ainsi, dans le cas de l'ovule, le chromosome 23 est un X.
L'action de la SCOFI, en partenariat avec des ONG, des responsables gouvernementaux, des leaders communautaires et des parents d'élèves, consiste à lancer un plaidoyer pour l'éducation des filles à travers des campagnes de sensibilisation. L'encart publicitaire est un des supports crées par la SCOFI.
Parce que nos méthodes d'enseignement ne sont pas adaptées au fonctionnement du cerveau et de la mémoire. Pour l'auteur, professeur de psychologie cognitive à l'Université de Virginie, nous pouvons aider les élèves à aimer l'école si nous comprenons comment fonctionne leur intelligence.