L'enjeu central de la stratégie européenne en la matière pourrait être résumé ainsi : développer l'intelligence artificielle, ainsi que ses potentialités sociales et économiques, tout en encadrant les risques qu'elle fait peser sur les droits fondamentaux des êtres humains.
L'approche de l'UE en matière d'intelligence artificielle est axée sur l'excellence et la confiance, visant à renforcer la recherche et les capacités industrielles tout en garantissant la sécurité et les droits fondamentaux.
L'IA est en réalité une discipline jeune d'une soixante d'années, qui réunit des sciences, théories et techniques (notamment logique mathématique, statistiques, probabilités, neurobiologie computationnelle et informatique) et dont le but est de parvenir à faire imiter par une machine les capacités cognitives d'un être ...
À l'avenir, une technologie prometteuse pourrait changer la donne : le traitement neuromorphique ou neuromorphic processing. Cette approche consiste à utiliser des circuits dédiés pour imiter la façon dont opèrent les cellules dynamiques du cerveau humain.
L'un des plus importants enjeux de l'intelligence artificielle se situe dans la recherche. Médecine, astronomie et nouvelles technologies au sens large pourraient tirer profit de l'automatisation de leurs processus.
Si l'intelligence artificielle peut engendrer une vague de croissance soutenue de la productivité, elle n'en modifiera pas moins profondément l'organisation des entreprises, le fonctionnement des marchés et le contenu des activités humaines.
L'IA, qui offre un moyen de produire des prévisions, des recommandations ou des décisions plus fiables à moindre coût, promet de générer des gains de productivité, d'améliorer le bien-être et d'aider à relever des défis complexes.
L'explosion du volume de données générées par l'humanité via les réseaux sociaux ou l'internet des objets, ainsi que la baisse du coût et l'augmentation de puissance des ordinateurs sont donc deux des facteurs clés de l'essor de l'IA.
L'IA crée de nouveaux emplois et de nouvelles industries.
À mesure que l'IA s'impose dans notre vie quotidienne, elle crée de nouveaux emplois et améliore les emplois existants. L'IA peut aider les gens à travailler plus intelligemment, et non plus durement ; elle peut les aider à travailler de nouvelles façons.
Mauvaise compréhension du contexte et des spécificités
De même pour les images, l'IA peut avoir du mal à saisir le contexte d'un visuel ou à comprendre son sens global, ce qui peut entraîner des erreurs dans les détails ou la composition de l'image générée.
Le déploiement de l'IA influe sur l'organisation du travail. Une fois en place, les outils permettent d'améliorer la gestion des informa- tions, la planification des activités et la coordination des acteurs. En tant que dispositif de coordination, l'IA peut aussi conduire à un plus grand isolement des travailleurs.
Nick Bostrom : « Le but ultime de l'intelligence artificielle doit être la disparition du travail » + VIDÉO. Philosophe et professeur à Oxford, Nick Bostrom est l'auteur de « Superintelligence », un essai alertant sur les risques d'une intelligence artificielle supérieure à l'homme.
Promouvoir la paix, la liberté et les droits de l'Homme
Créée au lendemain de la Seconde Guerre mondiale, l'Union européenne poursuit l'objectif principal de promouvoir la paix et le bien-être de ses peuples. L'ensemble des politiques européennes doivent concourir à son achèvement.
La politique énergétique, l'État de droit, l'immigration, les relations avec la Russie, les États-Unis et la Chine, et maintenant un scandale de corruption au cœur même des institutions européennes : L'UE est confrontée à de nombreux défis et se bat pour maintenir son unité et garder la confiance de ses citoyens.
L'aide humanitaire de l'UE vise à porter assistance et secours aux populations des pays tiers, victimes de catastrophes naturelles ou d'origine humaine. Elle repose sur les principes d'humanité, de neutralité, d'impartialité et d'indépendance.
Dans la géographie mondiale de l'intelligence artificielle, ce sont les États-Unis qui dominent largement la recherche et le développement.
La réponse est clairement « non », l'empathie restant hors de portée des IA actuelles. S'il s'agit d'un sujet d'innovation, les systèmes robotisés autonomes sont encore loin de remplacer une relation humaine en bonne et due forme. L'IA et l'humain fonctionnent – pour l'instant – main dans la main.
Les États-Unis sont les leaders incontestés du développement de l'IA, avec les grandes entreprises technologiques ayant leur siège social qui mènent la charge. Elles ont dépensé 248,9 milliards de dollars dans ce domaine.
L'intelligence artificielle (IA) est devenue un élément clé de la transformation numérique qui touche de nombreux secteurs d'activité. Elle permet aux entreprises de gagner en efficacité et en productivité en automatisant certaines tâches et en analysant de grandes quantités de données de manière rapide et précise.
Amélioration de l'intelligence artificielle : ANI, AGI et ASI. Il existe trois types d'IA : l'intelligence artificielle étroite (ANI), l'intelligence artificielle générale (AGI) et la superintelligence artificielle (ASI).
L'IA peut aider les entreprises à optimiser leurs processus internes, automatiser les tâches répétitives et réduire les erreurs humaines. Elle permet également d'analyser rapidement de grandes quantités de données pour faciliter la prise de décision et améliorer la performance globale de l'entreprise.
L'intelligence économique permet aux entreprises d'effectuer des actions d'influences, telles que le lobbying. Elle sert également à protéger l'entreprise contre tous les risques et les menaces liés à la sécurité, à la sûreté, à l'environnement et au management.
Selon Avivah Litan, analyste chez Gartner, certains des plus grands risques de l'IA générative concernent la confiance et la sécurité et incluent les hallucinations, les deepfakes, la confidentialité des données, les questions de droits d'auteur et les problèmes de cybersécurité.
Le GTP-3 a été décrit comme la percée la plus importante et la plus utile en matière d'intelligence artificielle depuis des années. Il semble être – bien qu'il soit encore dans sa version bêta – le modèle d'intelligence artificielle le plus puissant actuellement disponible.