L'ordre des mets sur une table française est aujourd'hui clair. Une fois terminé l'apéritif, on sert la soupe, ou les hors-d'œuvre froids ou/et les entrées chaudes, le plat de résistance, la salade, les fromages et les desserts.
La tradition veut que l'on ouvre les appétits au tout début en servant une recette d'entrée aux convives. Dans la plupart des cas, il faut servir 2 entrées. L'entrée froide en début, suivie de l'entrée chaude qui passe également avant le plat principal.
Le repas gastronomique doit respecter un schéma bien arrêté : il commence par un apéritif et se termine par un digestif, avec entre les deux au moins quatre plats, à savoir une entrée, du poisson et/ou de la viande avec des légumes, du fromage et un dessert.
Traditionnellement, en France, le déjeuner et le dîner se composent d'une entrée, d'un plat principal (ou plat de résistance) comprenant une source de protéines (viandes, poisson, œufs), éventuellement de fromage et d'un dessert.
Il est important pour son développement et son éveil de passer à 4 repas par jour : petit-déjeuner, déjeuner, goûter et dîner.
Dans le menu complet, le restaurant propose quatre options ou plus de plats et de garnitures. Les dîneurs doivent choisir deux des plats proposés qu'ils souhaitent déguster et seront accompagnés de la salade de leur préférence, d'un service de boissons et de pain.
Déterminer le nombre de services
Au Québec, on opte souvent pour trois services, mais pour une soirée plus élaborée et pour plus de plaisir, nous vous conseillons d'y aller pour cinq services : un potage, une entrée, un plat principal, un fromage ou une salade digestive et un dessert.
Une bonne présentation du menu est structurée par le logo de votre restaurant, la liste des plats avec leurs descriptions et informations obligatoires, puis plus d'informations sur l'histoire de l'établissement.
Salade croquante en costume de nos régions. Un trésor. Malle au trésor fermier. Ecrin de délice fermier.
On sert les dames en premier, en débutant par la personne la plus âgée, puis sa cadette, pour finir par la maîtresse de maison. L'homme à droite de la maîtresse de maison est alors servi, puis tous les autres convives masculins, en terminant par le maître des lieux.
Pour servir des plats préparés dans une assiette, le service sera effectué à la droite du client. Le service sur la droite est plus pratique pour les serveurs. En fait, la plupart des serveurs sont droitiers. De plus, les plats doivent être placés délicatement en faisant le moins de bruit possible.
L'eau et le vin
Le maître ou la maîtresse de maison doit veiller à ce que les verres ne soient jamais vides. On remplit le verre à eau aux trois quarts, et le verre à vin aux deux tiers, ou moins si le verre est très grand. On ne sert pas de vin avec la soupe.
De la viande, des légumes, des légumineuses, des céréales... il y a tout ce qu'il nous faut dans un couscous. Très équilibré, ce plat berbère, désormais inscrit au patrimoine immatériel de l'Unesco, a de nombreux avantages santé. Le couscous, c'est la santé !
Menu classique : entrée, plat (viande, poisson ou œuf) et sa garniture (légumes ou féculents), fromage ou produit laitier et dessert. Menu végétarien : entrée, plat (poisson, œuf, autres produits protidiques) et sa garniture (légumes ou féculents), fromage ou produit laitier et dessert.
Le repas idéal est en fait celui qui comblera les besoins en nutriments essentiels à votre corps, tels que les fibres, les protéines, les glucides, ou encore les vitamines.
Depuis des décennies, nos journées s'organisent autour des trois repas quotidiens : petit-déjeuner, déjeuner et dîner.
Déjeuner / petit déjeuner / dîner / souper. À Paris et dans beaucoup de régions de France, le déjeuner est aujourd'hui le repas pris à la mi-journée, en général entre midi et quatorze heures. Le repas du matin, pris avant la journée de travail, est le petit déjeuner. Le repas du soir est le dîner.
En France, dans l'usage standard, c'est généralement le terme dîner qui désigne le repas du soir, alors que souper désigne plutôt un repas léger pris en fin de soirée; il s'agit là d'une évolution sémantique survenue vers la fin du XVIIIe siècle.