Les individus sont en moyenne plus averses à un risque de perte qu'à un risque de gain de même montant, c'est l'aversion à la perte. Ainsi, si face à un choix risqué conduisant à des gains, les individus affichent une forte aversion au risque.
Le filtre de la distorsion
Le processus de distorsion déforme la perception que nous avons d'une information de façon à la faire correspondre à nos croyances, un peu comme ces miroirs déformants des fêtes foraines.
En tant que produit d'un système social donné, le risque résulte toujours d'un travail spécifique d'individus et de groupes sociaux qui marquent tout autant l'espace de leurs représentations et de leurs actions qu'ils sont marqués par l'espace, ses configurations, ses limites et ses valorisations différentielles.
Le risque consiste en la perception d'une incertitude, relative aux conséquences potentiellement négatives qui sont associées à une alternative. On peut donc le définir comme la possibilité de subir des pertes à l'occasion de l'achat d'un produit ou à l'occasion de la consommation d'un produit.
L'exposition au risque est la première variable permettant de classer les risques par ordre de priorité. Selon les critères qui servent à déterminer cette priorité, il sera question d'exposition élevée, moyenne ou faible.
les risques naturels : avalanche, feu de forêt, inondation, mouvement de terrain, cyclone, tempête, séisme et éruption volcanique. les risques technologiques : d'origine anthropique, ils regroupent les risques industriels, nucléaires, biologiques, rupture de barrage…
Le danger est la capacité à créer un dommage. C'est est un des éléments qui conditionne le risque, qui est quant à lui la combinaison d'un danger et de l'exposition à ce danger. Ainsi, un risque peut être faible voire nul, même en présence d'un grand danger.
Les dangers biologiques d'origine alimentaire incluent des micro-organismes tels que certaines bactéries, virus, moisissures et parasites. Ces organismes sont souvent associés aux humains et produits crus entrant dans la chaîne de fabrication alimentaire.
Le prix psychologique est également appelé prix d'acceptabilité. Il est purement théorique et permet - avec d'autres données - de déterminer le prix qu'une majorité de consommateurs juge acceptable et juste pour le service ou le produit proposé.
Au regard de la littérature étudiée, la stratégie de personnalisation apporte une plus grande satisfaction du consommateur et des profits plus importants pour le professionnel via une fidélisation de la clientèle. Le rôle stratégique de la personnalisation est en effet de fidéliser les consommateurs.
Le processus de perception comporte plusieurs étapes : la sensation : les sens réagissent aux stimuli (vision, odorat, ouïe, toucher, goût…) et collectent ainsi des informations du monde extérieur, l'attention : c'est la concentration mentale portée par l'individu sur un objet déterminé ; elle n'est pas automatique.
La perception joue donc un rôle considérable dans la façon d'appréhender la réalité et les relations aux autres. Afin d'améliorer sa perception de la réalité, et de limiter les risques d'erreur, il est important de croiser les sources d'information, et de croiser les interprétations de ces sources.
Ces éléments sont étudiés depuis une vingtaine d'années. Certains d'entre eux influencent sa perception comme l'effroyabilité, la non-familiarité ; le nombre de personnes exposées, d'autres son acceptabilité comme les perceptions individuelles, les facteurs sociaux, l'éthique et l'équité.
Une histoire de limites
En effet, dans l'esprit du consommateur, un prix trop bas induirait automatiquement un doute sur la qualité du produit concerné et le décrédibiliserait sur le marché et ce, au profit de la concurrence.
La stratégie d'écrémage consiste à fixer un prix élevé par rapport à la moyenne des prix des produits comparables afin de maximiser les profits. Le mot écrémage fait référence à la sélection des consommateurs opérée mécaniquement par la fixation d'un prix élevé.
Lorsque vous continuez à lire le prix de gauche à droite, vous arrivez ensuite aux centimes. Là encore, avec le chiffre 99, l'impression de bonne affaire fait son effet ! La différence de prix est presque inexistante, mais vous avez le sentiment de payer le produit moins cher.
La méthode des 5 M est un schéma en forme de poisson qui analyse les liens de cause à effet d'un problème donné : ses arêtes représentent les causes, et la tête, l'effet, le problème final, l'objectif.
Quels sont les types de dangers? Les dangers sont couramment catégorisés : dangers biologiques – bactéries, virus, insectes, plantes, oiseaux, autres animaux, humains. dangers chimiques – en fonction des propriétés physiques, chimiques et toxiques d'une substance ou d'un produit chimique.
En principe, l'identification du risque commence par une analyse des points forts et faibles, c'est-à-dire une analyse SWOT (Strenghts = forces, Weaknesses = faiblesses, Opportunities = opportunités, Threats = dangers).
Une évaluation des risques consiste en une inspection approfondie du lieu de travail en vue d'identifier entre autres les éléments, situations et procédés qui peuvent causer un préjudice, en particulier à des personnes.
L'incertitude statistique est "le caractère stochastique ou l'erreur provenant de diverses sources, tels qu'ils sont décrits par la méthodologie statistique". La consultation technique définit le risque comme "la probabilité que survienne quelque chose de fâcheux".
Pour réduire notre vulnérabilité, il est important de développer une culture du risque : prendre conscience des risques, les connaître et les garder en mémoire ; apprendre à les prévenir et éviter de s'exposer ; savoir réagir en cas d'alerte et se mettre en sécurité.
On parle des « risques sociaux » qui engendrent une baisse des revenus ou une hausse des dépenses, susceptibles de compromettre la sécurité économique de leur foyer. La protection sociale vise la retraite, la santé, la prévoyance, la dépendance, l'action sociale (aide et allocations familiales pour les bas revenus).
risque zéro l.m.
Risque considéré comme nul. Celui qui entreprend ou suscite une action considère qu'il prend un risque nul lorsqu'il espère ne prendre aucun risque en accomplissant cette action.