Les marsupiaux sont des mammifères uniques en leur genre. Certains d'entre eux se reproduisent avec différentes femelles pendant de longues heures et finissent par mourir d'épuisement.
La femelle mante, assoiffée de sang, arrache sans pitié la tête du pauvre mâle lors de l'accouplement. Oui, oui. C'est documenté, ça arrive. Ça s'appelle du cannibalisme sexuel, et la mante n'est pas la seule affamée à faire ça.
La pieuvre est incontestablement une mère dévouée. Des chercheurs ont observé une femelle veillant sur ses petits pendant près de quatre ans et demi. Elle meurt après l'éclosion. Une pieuvre femelle défend ses œufs jusqu'à la mort – au sens strict.
La parthénogenèse est courante chez les petits invertébrés tels que les abeilles, les guêpes, les fourmis et les pucerons, qui alternent entre reproduction sexuée et reproduction asexuée, mais l'on trouve des cas de parthénogenèse chez d'autres espèces, comme les reptiles, les poissons et dans une moindre mesure ...
Bien que populaire, le cannibalisme sexuel est plutôt rare dans le monde animal. La plupart des exemples se retrouvent parmi les Araignées, les Mantes religieuses, mais aussi chez quelques Scorpions, Hyménoptères, Amphipodes, Isopodes et Serpents.
Une ratte peut se reproduire toute l'année et avoir 4 à 7 portées de 6 à 12 petits.
Le moustique : incontestablement le plus dangereux
Le moustique est véritablement l'ennemi numéro 1 de l'homme car il tue à lui seul près de 750 000 personnes dans le monde chaque année. Ce n'est pas tant l'animal en soi qui tue que les virus qu'il transmet en piquant ses victimes.
Faire un bébé toute seule, c'est possible. C'est notamment le cas des espèces comme les phasmes, les requins-marteaux ou encore les dindons, qui n'ont pas obligatoirement besoin de mâles pour se reproduire. Cela s'appelle la parthénogenèse.
En fait, l'infanticide a été documenté chez de très nombreuses espèces depuis les primates (chimpanzés, gorilles), les carnivores (putois, lions), les zèbres, jusqu'aux écureuils terrestres américains, grenouilles, crapauds, grands dauphins et aux corneilles, aux goélands etc.
Les infanticides sont courants chez les lions asiatiques, mais les femelles ont mis au point une stratégie pour protéger leurs lionceaux. Une lionne asiatique se repose avec ses deux lionceaux dans le parc national et sanctuaire faunique de Gir.
Comme cet animal fascinant, certaines espèces passent au travers de la mort. C'est par exemple le cas d'une méduse - la turritopsis nutricula qui elle ne meurt jamais.
Non, il y a une spécificité d'espèce, les spermatozoïdes des autres mammifères ne peuvent pas féconder les ovules humains.
C'est pourquoi, la reproduction entre nos deux espèces n'est pas envisageable. Si une expérience tentait de féconder in vitro un ovule de chimpanzé et un spermatozoïde humain ou l'inverse, personne ne peut dire ce que cela produirait.
Chiens et chats ne peuvent pas se reproduire ensemble ; c'est pour cela qu'il s'agit de deux espèces différentes. Les tigres et les lions se ressemblent mais ce sont deux espèces différentes, car, dans les cas exceptionnels où ils ont des petits ensemble, ces petits sont stériles.
Les animaux sauvages blessés ou morts peuvent être porteurs de maladies transmissibles à l'humain. Par conséquent, il est important d'éviter de s'en approcher ou de les manipuler.
Opossum « faisant le mort», en libérant alors aussi des sécrétions anales. Hypsiboas crepitans en état de thanatose.
Le requin du Groenland est probablement l'animal vertébré ayant la plus grande longévité.
Chez certaines espèces du Sud-Est asiatique, la mort du mâle se fait pendant l'accouplement. Quant à la femelle, elle meurt généralement après avoir pondu ses œufs. Pour certains petits, le corps de leur mère constitue le premier repas. Ils mangent ses restes avant de partir eux-mêmes en chasse.
La mante religieuse est surtout connue pour sa réputation de dévoreuse de mâle après l'accouplement.
Est-ce que la mante religieuse est dangereuse pour l'homme ? Tigre de l'herbe, cheval du diable, ou Prie Dieu... les surnoms de la mante religieuse ne sont pas très rassurants. Et pourtant, ce grand insecte n'est pas un prédateur puisqu'il ne s'attaque pas à l'homme, sauf s'il se sent menacé et qu'il ne peut pas fuir.
Chez une espèce d'araignée qui pratique le cannibalisme sexuel, le mâle va faire le mort pour éviter d'être mangé. Chez d'autres espèces, les mâles endorment les femelles, tandis que d'autres recherchent et s'accouplent avec des femelles qui sont déjà occupées à manger leurs partenaires sexuels antérieurs.
Chez l'hippocampe, le mâle en gestation
Enfin, c'est l'hippocampe qui bat les records d'implication : il existe une trentaine d'espèces et c'est toujours le mâle qui va être en gestation - enceinte, donc.
Chez les araignées, les femelles se délectent parfois des mâles qui s'approchent trop près pour copuler. Les survivants devraient prendre leurs jambes à leur cou, ou plutôt leurs pattes à leur céphalothorax.