Anticoagulants (anti-inflammatoires non stéroïdiens, aspirine, Coumadin, héparine) Antidépresseurs. Antipsychotiques. Corticostéroïdes.
Si c'est le médicament de premier choix pour soulager les douleurs, lutter contre la fièvre et le rhume, il est moins efficace dans le traitement des douleurs d'origine inflammatoire, telles que celles de l'arthrose ou des règles.
On ne prend jamais d'aspirine durant ses règles car elle augmente le flux menstruel. « Je déconseille aussi les médicaments avec codéine, à risque de dépendance, et les anti-inflammatoires qui ont été prescrits dans un autre contexte, car ils ne sont pas forcément adaptés », note le Dr Charvet.
La dysménorrhée primaire est traitée de manière simple avec certains anti-inflammatoires (par exemple Brufen®, Irfen®, Mefenacid®, etc.). Ils diminuent la production des prostaglandines et sont donc généralement très efficaces.
Or, le Duphaston est un médicament dont la molécule est une hormone proche de la progestérone : sa prise imite donc l'effet de la progestérone. Le Docteur Martin Winckler, gynécologue reconnu, souligne à juste titre que cette hormone ne provoque pas d'ovulation, puisqu'elle est sécrétée après.
Vos règles se déclenchent après un rapport
En effet, les contractions vaginales et utérines provoquées par l'orgasme peuvent faciliter l'expulsion du sang des menstruations, et vous pouvez donc avoir vos règles suite à une relation sexuelle. Cela est tout à fait normal et il n'y a pas de raison de s'inquiéter.
Si vous souhaitez raccourcir vos règles naturellement, optez pour la contraception hormonale, comme les pilules contraceptives, les patchs, les implants ou les stérilets hormonaux. Ces dernières contiennent de la progestérone et/ou des oestrogènes qui peuvent aider à réguler les règles.
On parle de dysménorrhée. Heureusement des traitements existent et suffisent généralement à calmer la douleur. Classiquement, tous les antidouleurs à base de paracétamol (Doliprane, Efferalgan) sont efficaces. On évitera l'aspirine (sauf en cas de faibles pertes), qui fait saigner davantage.
Mais prendre de l'ibuprofène peut décaler les règles d'un jour ou deux au maximum et les effets peuvent être différents d'une femme à l'autre. Il n' y a pas de garantie que cela marche pour tout le monde.
L'infusion au fenouil
Le fenouil a également un effet anti-spasmodique, qui peut soulager les crampes liées aux règles. On peut associer le fenouil à l'anis, à la menthe poivrée ou encore à la verveine.
Si la dysménorrhée s'aggrave et que les douleurs sont de plus en plus fortes au fil du temps, une cause sous-jacente est recherchée : une malformation du vagin ou de l'utérus ; une endométriose de l'adolescente.
Au moment des règles, l'utérus produit des substances inflammatoires nommées prostaglandines. Celles-ci provoquent des contractions musculaires facilitant l'expulsion du sang. Ce sont ces contractions qui causent une forte douleur, sous forme de crampes. la dysménorrhée secondaire est plus rare (10% des cas).
Au moment des règles, l'utérus produit des substances inflammatoires nommées prostaglandines, provoquant des contractions musculaires pouvant être douloureuses, sans qu'une maladie particulière ne soit responsable.
Oligosol est un médicament sans ordonnance à base d'oligo-éléments comme le zinc et le cuivre. Les oligo-éléments vont renforcer l'organisme en période de changement, ici hormonal.
Les plantes : la bourse à pasteur, la menthe, les feuilles de framboisier, la racine d'angélique et la sauge consommées sous forme de tisane ont la réputation de réduire le flux menstruel, voire de le stopper le temps de quelques heures.
Effets hématologiques : L'ibuprofène peut temporairement inhiber la fonction plaquettaire (agrégation des plaquettes sanguines), augmentant ainsi le temps de saignement et le risque d'hémorragie.
En effet, pratiquer une activité sportive permet de libérer le flux menstruel plus rapidement et ainsi raccourcir la durée des règles. Et ce n'est pas le seul avantage. Faire du sport pendant ses règles peut même soulager certaines douleurs. Pratiquer une activité sexuelle peut également raccourcir la durée des règles.
La douleur est plus intense environ 24 heures après le début des règles et se poursuit pendant 2 à 3 jours.
Une autre option est l'activité physique régulière, qui aide à détendre les muscles de l'utérus. De nombreuses femmes sont des inconditionnelles des tisanes contenant de la racine de valériane et de la camomille. Les infusions de feuilles de framboise et d'ortie ralentiraient également le flux menstruel.
Le stérilet Mirena est un dispositif intra-uterin qui est placé à l'intérieur de l'utérus. Il contient une hormone: un progestatif, qui a un effet contraceptif. Celle-ci, puisqu'elle est émise en continue provoque dans bien des cas, l'arrêt des menstruations.
Boire de l'eau permet d'éliminer le sel et les toxines présents et de limiter la rétention. Une bonne hydratation diminue les bouffées de chaleur en contrebalançant la transpiration ainsi créée et permettre d'éviter une trop grosse perte d'eau. Hydratis est spécialisé dans l'hydratation du corps.
Rhumes, grippes et infections ont donc une voie royale pour attaquer le corps qui est ainsi privé de sa principale ligne de défense. Autre effet du manque de sexe chez les femmes, les parois du vagin s'amincissent et la lubrification est réduite, notamment pour les femmes en ménopause.
Durant cette période, le cerveau sécrète de la FSH, une hormone qui favorise la sécrétion d'œstrogènes et la maturation future de l'ovule. Ce changement hormonal peut provoquer chez la femme une envie de faire l'amour plus importante.
Ce n'est pas exactement le sexe qui affecte le moment de tes règles, mais le sexe peut te stimuler, ce qui cause des changements hormonaux. Les mécanismes du sexe ne changent rien en soi, mais si tu es stimulée (même sans arriver à l'orgasme), tes hormones s'excitent et cela peut temporairement retarder tes règles.
Généralement, la nuit vous êtes allongée la plupart du temps. Le sang ne peut donc pas s'écouler facilement par gravité et il s'accumule au niveau du vagin avant de sortir par trop-plein.