L'ibuprofène, un anti-inflammatoire non stéroïdien.
La morphine est l'antalgique puissant de référence aujourd'hui, même si d'autres molécules dérivées de la morphine ont été développées depuis.
Quatre AINS sont vendus sans ordonnance : l'ibuprofène (Motrin, Advil et autres marques), le naproxène (Aleve, Motrimax), le diclofenac (Voltaren Emulgel) et l'acide acétylsalicylique (AAS, Aspirine et autres marques).
En attendant la fin de la pénurie, il est possible de remplacer le Doliprane par d'autres médicaments. Le Dafalgan ou l'Efferalgan, fabriqués par UPSA, peuvent faire l'affaire. Ce sont deux antalgiques contenant uniquement du paracétamol.
Cette substance opioïde est intéressante pour soulager les douleurs modérées à intenses qu'elles soient chroniques ou aiguës. On peut, par exemple, l'utiliser en cas de lombalgie ou de lumbago (douleur dans le bas du dos) ou de zona en phase aiguë.
En effet, le tramadol sans association est le plus puissant des antalgiques opioïdes de niveau II , et son conditionnement permet des doses importantes (jusqu'à 400 mg par jour).
Les anti-inflammatoires stéroïdiens, eux, sont des corticoïdes, dérivés du cortisol et de la cortisone, et ont un effet plus puissant. " Parmi les anti-inflammatoires stéroïdiens, on trouve le prednisone, prednisolone, méthylprednisolone ,ou encore, avec un effet plus prolongé, le bêtaméthasone ou le dexaméthasone.
À la différence de l'aspirine et de l'ibuprofène, le paracétamol n'est pas anti-inflammatoire. Il soulage donc moins bien que ces deux médicaments les douleurs de ce type. Par contre, il a l'avantage de ne pas irriter l'estomac. Il est commercialisé sous divers noms: Doliprane, Dafalgan, Efferalgan, etc.
Enfin, la substance la plus conseillée est le paracétamol puisqu'il présente «le meilleur rapport bénéfice/risque». Le magazine rapporte que les marques Dafalgan et Doliprane 500 et 1 000 mg sont les produits les moins dangereux et les plus efficaces.
Quand la douleur persiste, ces réactions s'épuisent, et le stress se chronicise : les troubles du caractère, la fatigue, la perte d'envie, la perte d'énergie s'installent. L'inactivité physique, le retrait de la vie professionnelle et sociale, la perte de contact avec ses amis dépriment la personne souffrante.
Mieux vaut utiliser la codéine quand un antalgique de palier 2 est envisagé. Le tramadol (Topalgic° ou autre) est un opioïde faible couramment utilisé malgré sa balance bénéfices-risques défavorable. L'antalgique de palier 2 (pour des douleurs modérées à intenses) de premier choix est la codéine, malgré ses limites.
Le paracétamol, à l'instar de l'ibuprofène par exemple, s'il possède comme lui une action analgésique et anti-pyrétique, n'a pas d'effet en revanche sur la réaction d'inflammation ni sur l'agrégation plaquettaire.
Les antalgiques : du paracétamol à la morphine ; Certains antidépresseurs et antiépileptiques, pour traiter les douleurs d'origine neuropathiques ; Les co-antalgiques, pour renforcer ou compléter l'efficacité du traitement.
Un bain à l'eau tiède, les compresses chaudes et les bouillottes contribuent à apaiser les douleurs et spasmes musculaires et la raideur articulaire. Demandez au médecin de vous fournir des directives sur l'utilisation de la chaleur.
Le tramadol provoque fréquemment des troubles digestifs, comme les nausées et la constipation, des vertiges, la bouche sèche, une somnolence. La revue Prescrire soulignait le risque de troubles du rythme cardiaque et d'hypoglycémie, particulièrement dangereuse chez les personnes âgées.
Les anti-inflammatoires non stéroïdiens (Ibuprofène®, Voltarene®, Diclofénac®…)
Il n'est généralement pas nécessaire de dépasser 3 g de paracétamol par jour, soit 6 comprimés par jour. Cependant, en cas de douleurs plus intenses, et sur conseil de votre médecin, la dose totale peut être augmentée jusqu'à 4 g par jour, soit 8 comprimés par jour.
Il faut attendre 6 heures entre deux prises de paracétamol
Mais si une forte fièvre ou des douleurs n'ont pas été soulagées lors de la première prise, il est possible de reprendre du paracétamol au bout de 4 heures. Attention toutefois à ne pas dépasser la dose maximale de 4 grammes par 24 heures chez l'adulte.
Pour plus d'efficacité contre la douleur et la fièvre, peut-on associer un AINS et du paracétamol ou deux AINS ? Non, il n'y a pas lieu d'associer un AINS et du paracétamol. De la même façon, il ne faut jamais associer deux AINS.
Le tramadol est un opioïde utilisé pour soulager l'arthrose. Contrairement à d'autres analgésiques comme les anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS), il ne cause pas de saignements dans l'estomac et les intestins, ni de problèmes rénaux. Il n'affecte pas non plus le cartilage aux extrémités des os.
L'ibuprofène ou le kétoprofène sont des exemples typiques. Ces médicaments possèdent un effet antalgique et analgésique efficace. Ils peuvent être prescrits pour soulager l'arthrose ou, dans le cas présent, une douleur du dos. L'effet de l'ibuprofène est optimal si les prises sont espacées de 6 heures au minimum.
Éviter les confusions. La règle est simple : il ne faut pas dépasser 400 mg de tramadol par jour. Mais, selon la formulation, le rythme des prises va du simple au quadruple.
La réponse de l'expert
Tramadol est un analgésique opioïde (agissant sur les mêmes récepteurs que la morphine) et doliprane contient du paracétamol qui est un analgésique périphérique (agissant sur les terminaisons nerveuses).
En effet le dosage de 325 mg dont vous me parlez me fait penser à l'association tramadol 37,5 mg et paracétamol 325 mg (Ixprim, Zaldiar). Ce médicament est réservé pour les douleurs rebelles ou intenses. On ne peut dépasser 2.6 mg de parcétamol par 24h associé au tramadol dont la dose maximale sera de 300mg par 24 h.