L'Arabie saoudite "a versé ces deux dernières décennies 6 milliards de dollars aux Palestiniens en assistance humanitaire, aide au développement et secours", a d'ailleurs rétorqué lors de son discours l'ambassadeur saoudien, Abdallah Al-Mouallimi.
Les États-Unis et l'Union européenne via l'UNRWA en sont les principaux contributeurs. Depuis les années 2000, l'Union européenne a financé l'UNRWA de 1,6 milliard d'euros. Depuis les années 1990, les États-Unis ont donné en assistance 5 milliards de dollars aux Palestiniens et 5,6 milliards à l'UNRWA depuis 1950.
La Commission européenne est le premier pourvoyeur d'aide financière aux Palestiniens. Depuis 1994, l'Union européenne a ainsi versé plus de 5,6 milliards d'euros d'aide à l'Autorité palestinienne.
L'Égypte et la Jordanie sont les premiers pays arabes à signer un traité de paix avec Israël, respectivement en 1979 et 1993. Les accords d'Abraham, signés le 15 septembre 2020, sont deux traités de paix entre Israël et les Émirats arabes unis d'une part et entre Israël et Bahreïn d'autre part.
1890 : Préoccupé par les pogroms en Russie, le journaliste Theodor Herzl déclare nécessaire la création d'un État juif en Palestine et publie, en 1896, L'État des Juifs. 1897 : Le Congrès de Bâle est considéré comme l'événement fondateur du mouvement sioniste.
En 2020, Israël normalise ses relations diplomatiques avec au moins 5 pays : les Émirats arabes unis et Bahreïn lors des « Accords d'Abraham » (15 septembre), le Soudan (23 octobre), le Maroc (10 décembre) et le Bhoutan (12 décembre).
Sous mandat britannique à partir de 1920, la Palestine est finalement partagée par l'ONU en 1947 avant que David Ben Gourion ne proclame l'indépendance d'Israël en 1948.
Après trois réunions d'urgence sur le conflit israélo-palestinien, le Conseil de sécurité de l'ONU n'est toujours pas parvenu à un accord commun, en raison du blocage d'un pays : les Etats-Unis.
L'histoire des Arabes en Palestine débute avec les premiers pèlerinages Ghassanides en Terre sainte, durant la période byzantine. À la suite de la conquête musulmane, des Arabes s'installent en Palestine.
L'Algérie a longtemps soutenu l'Organisation de libération de la Palestine depuis les années 1970 et les présidents algériens Houari Boumédiène et Chadli Bendjedid ont à la fois organisé et accueilli Yasser Arafat. L'Algérie a également fourni des armes et un entraînement pour les militants palestiniens.
Sénégal, Tunisie, Afrique du Sud : ces pays africains soutiens historiques des Palestiniens. Manifestation pro-palestinienne à Tunis.
Le 29 novembre 2012 , l'État de Palestine est reconnu comme État observateur non-membre de l'ONU. En 2017, l'État de Palestine est reconnu par 136 États (70,5 % des 193 États membres que compte l'Organisation des Nations unies).
L'État d'Israël, indépendant depuis 1948, n'est pas reconnu par 21 États membres de l'ONU (voir Conflit israélo-arabe).
À l'heure actuelle, 32 états membres de l'Organisation des Nations Unies ne reconnaissent pas l'État d'Israël : 18 des 22 membres de la Ligue arabe : l'Algérie, le Bahreïn, les Comores, Djibouti, l'Irak, le Koweït, le Liban, la Libye, le Maroc, Oman, le Qatar, l'Arabie Saoudite, la Somalie, le Soudan, la Syrie, la ...
Malgré les critiques, le gouvernement obtient la confiance de l'assemblée constituante. Après l'accession au pouvoir en 2019 de Kaïs Saïed, les relations entre les deux pays déjà au point mort deviennent inexistantes, ce dernier assimilant la normalisation avec Israël à de la « haute trahison ».
Les deux parties se mettent d'accord sur le principe d'une solution à deux États : « les Palestiniens ont proposé un échange de territoires correspondant à environ 2 % de la superficie de la Cisjordanie. Les Israéliens ont, quant à eux, proposé un échange de l'ordre de 6 %.” [14].
Des motivations religieuses sont à l'origine d'affrontements autour du Kotel ou Mur des Lamentations à Jérusalem en 1929 et amènent à l'aggravation brutale de la situation avec de violentes émeutes antijuives à Hébron, Jérusalem et Safed, qui font près de 150 victimes juives.
Les membres sympathisants du Fatah se trouvant à Gaza sont arrêtés et emprisonnées par le Hamas, tandis qu'en Cisjordanie, le Fatah traque, arrête et emprisonne les membres du Hamas. À Gaza, le gouvernement de facto du Hamas a créé le délit de « coopération avec Ramallah et l'Autorité palestinienne ».
2,8 % du PIB du pays provient de l'activité agricole. Israël importe d'importantes quantités de céréales mais est totalement suffisant pour les autres produits agricoles. De nombreuses variétés d'agrumes (notamment oranges, pamplemousses et citrons) sont développés par les producteurs israéliens.
La colonisation israélienne des territoires palestiniens.
Cette région correspond plus ou moins aujourd'hui aux territoires réunissant l'État d'Israël, la Palestine, l'ouest de la Jordanie, le Liban et l'ouest de la Syrie.
Le gouvernement marocain a accepté la communauté juive sur son territoire même après la création de l'État d'Israël en 1948, facilitant les liens diplomatiques entre les deux États. Certaines villes marocaines possèdent des mellahs (quartiers juifs), notamment celle de Marrakech.
La France officielle ne reconnait pas la Palestine comme état pour la simple raison qu'historiquement parlant le moyen orient a toujours être habitait par les juifs. A cette raison, ajoutez le fait qu'elle sait bien qu'Israël et une puissance nucléaire qu'il ne faut pas contrarier .