La Turquie et l'Égypte, qui consommaient chacune environ 21 millions de tonnes de blé, étaient les deux pays important la plus grande quantité de blé au monde en 2021/2022 avec 13 millions de tonnes pour l'Égypte et 11 millions de tonnes pour la Turquie.
Les principaux États producteurs de blé au monde sont la Chine, l'Inde, la Russie, les États-Unis et le Canada. Les pays ayant les plus faibles productions de blé sont le Qatar, le Koweït, le Cameroun, le Venezuela et le Malawi.
Ukraine et Russie
Les statistiques sur les céréales proposées par l'exécutif européen font également ressortir que la Russie est le principal pays de provenance du blé européen. Au 3 avril 2022, 404 162 tonnes sont entrées dans l'UE depuis la Fédération, ce qui correspond à 20,9 % des importations de blé européennes.
La filière céréalière française exporte près d'une tonne sur deux de céréales chez nos voisins de l'Union européenne et vers les pays tiers (pays du Maghreb, d'Afrique subsaharienne de l'Ouest, du Proche et Moyen-Orient et Chine).
Sur la campagne 2020-21, la France a exporté 13,4 millions de tonnes (Mt) de blé tendre, dont 7,5 Mt vers les pays tiers et le reste au sein de la zone de l'Union européenne (figure 1).
Il y a d'abord celui des aléas climatiques tels que les inondations, les sécheresses ou le gel, qui, depuis plusieurs années, touchent les récoltes, entraînant une baisse importante de la production céréalière.
Notre filière blé vient de loin – la France n'était même pas autosuffisante dans les années soixante – mais a su se moderniser, se concentrer et jouer le jeu de la mondialisation. Je ne dis pas que c'est un modèle à suivre pour l'élevage, dont les impératifs sont très différents.
La France, premier producteur européen de blé tendre, a produit en moyenne 33,4 millions de tonnes de blé sur la période 2017-2021. Elle exporte la moitié de cette production, vers l'Union européenne (50%) et des pays tiers.
Pétrole, gaz, mais aussi blé… La France dépend partiellement de la Russie, mais elle est aussi le premier employeur étranger dans ce pays. Les sanctions infligées à la Russie, après l'invasion de l'Ukraine, pourraient également peser sur les échanges commerciaux.
FranceAgriMer a relevé ses prévisions d'exportations françaises de blé tendre pour la campagne commerciale 2022/23 à 10,6 millions de tonnes (Mt), en hausse de 300 000 tonnes par rapport aux prévisions de décembre et de 1,8 Mt par rapport à 2021/22.
La question mérite d'être posée. La production céréalière de l'Algérie de la saison 2021-2022, en raison du manque de pluie, a baissé de 38 %, provoquant une hausse des importations.
L'Ukraine exporte 18 millions de tonnes de blé et la Russie 34 millions de blé (contre 20 millions de tonnes pour la France), les deux pays représentant 23% des exportations mondiales de blé, soit 7% de la consommation mondiale. De nombreux pays sont fortement dépendants des importations de blé.
Le chef de l'unité Grains et sucre de FranceAgriMer explique cette situation par deux facteurs : « des prévisions de récoltes favorables à une détente générale des prix, et une baisse de l'euro par rapport au dollar, ce qui favorise la compétitivité des blés européens ».
Dès le début du xviii e siècle, l'Ukraine acquière le surnom de grenier à blé de l'Europe en raison de la production de blé qui se développe sur les terres fertiles de sa partie méridionale et des exportations qui en découlent vers la Méditerranée occidentale.
« Le blé français est plébiscité par les acheteurs internationaux tels que l'Égypte, le Maroc, l'Algérie, l'Afrique subsaharienne, ainsi que par des clients moins habituels, confirme Mikaël Juchet, chef de projet Mes marchés à la chambre d'agriculture du Loiret.
La France est le 1er pays producteur de blé tendre de l'Union euro- péenne. À l'échelle mondiale sur la campagne 2018/19, il s'agit du 5e producteur derrière la Chine, l'Inde, la Russie et les États-Unis.
Le ministère de l'agriculture a annoncé jeudi que les prix de certaines céréales applicables à la prochaine récolte étaient fixés. Sont de ce fait connus les " prix indicatifs ", " prix indicatifs dérivés " et " prix d'intervention " du blé, de l'orge et du seigle.
Des importations des marchandises françaises en Ukraine en 9 mois de 2021 se composaient principalement de produits chimiques divers (15,0%), moyens de transports terrestres autres que les chemins de fer (11,9%), produits pharmaceutiques (10,7%), réacteurs nucléaires, chaudières et machines (8,6%), huiles essentielles ...
On dit souvent que l'Ukraine est le grenier à blé de l'Europe, mais c'est en fait la France qui est le plus grand pays producteur de blé du continent européen. Avec pratiquement 36 millions de tonnes produites la France s'impose incontestablement comme l'un des plus grands producteurs de blé du monde.
Le blé, fleuron du marché mondial des céréales
Avec quelque 130 millions de tonnes par an, la Chine est de loin le premier producteur de blé au monde, suivie de l'Inde (90 millions de tonnes), des États-Unis et de la Fédération de Russie, avec plus de 60 millions de tonnes chacun.
Sur la période de 2022 à 2023, l'Union européenne enregistrait une production supérieure à 134,7 millions de tonnes, la plaçant en tête des régions productrice de blé dans le monde. En 2021/2022, la Chine accusait encore un retard de plus d'un million de tonnes de blé par rapport à l'Union européenne.
Elles promeuvent la concurrence des marchés. Il en résulte une régulation des prix favorable au pouvoir d'achat des ménages, à l'emploi et à la compétitivité-prix des producteurs locaux. 3. Rendant les entreprises plus compétitives et innovantes, les importations constituent un puissant moteur d'exportations.
Aujourd'hui, toutefois, l'Hexagone est loin d'être autonome. Grandement exportateur, mais aussi fortement importateur, le pays ne fournit aujourd'hui que 60% des aliments nécessaires pour satisfaire la consommation de ses habitants, explique une étude du think tank Utopies.
Mais si la consommation de blé pose problème en Afrique de l'Ouest, c'est principalement parce que celui-ci n'est pas produit localement. Il est importé notamment d'Europe, là où le blé est produit massivement par les agriculteurs et agricultrices bénéficiant des aides de la PAC (Politique Agricole Commune).