La Chine est le 1er émetteur de gaz à effet de serre, devant les États-Unis, le premier étant un exportateur de CO2 le deuxième un importateur.
Les États-Unis, la Chine, l'Inde, les Philippines, l'Indonésie, le Vietnam, le Japon, le Mexique, le Bangladesh et l'Australie sont les 10 pays les plus touchés par les tempêtes lors de la période 2000-2019 (Nations Unies).
Le principal moteur du changement climatique est l'effet de serre. Certains gaz de l'atmosphère terrestre agissent à la manière des parois d'une serre: ils permettent à l'énergie solaire d'entrer dans l'atmosphère mais l'empêchent de s'en échapper, provoquant le réchauffement climatique.
Le pays chinois émettait 32,9% des émissions mondiales de CO2 en 2021. En deuxième position, on retrouve les États-Unis avec 12,6% des émissions. Et c'est l'Inde qui arrive troisième avec une part de rejet mondial de gaz à effet de serre de 7%. Ses trois pays émettent près de 52,5% des émissions mondiales de CO2 !
Alors que les pays qui polluent beaucoup et depuis longtemps, sont, pour l'instant, moins touchés. C'est le cas des États-Unis, de la Chine ou des pays d'Europe.
Les Tuvalu, menacés par la montée des eaux
Et d'ici 2050 à 2100, si la hausse des températures ne se maintient pas en dessous de 1,5 °C, 95 % du territoire pourrait bien disparaître, précise le Huffington Post. Alors pour éviter de sombrer dans l'oubli, les Tuvalu vont… se numériser !
Du côté du littoral méditerranéen, la Camargue et les villes de Sète, Marseille, Toulon et Nice, subiraient le même sort.
Les trois pays les plus gros émetteurs de CO2 sont donc : La Chine responsable à hauteur de 32.9% des émissions de CO2, en grande partie dues à l'exportation de biens de consommation et à sa forte dépendance au charbon ; Les États-Unis responsables à hauteur de 12.6% ; L'Inde responsable à hauteur de 7.0%.
Le secteur énergétique
La production d'énergie et d'électricité est la championne des secteurs polluants. Elle est à l'origine de 31,5 % des émissions de GES.
Les combustibles fossiles, à savoir le charbon, le pétrole et le gaz, sont de loin les plus grands contributeurs au changement climatique mondial ; ils sont responsables de plus de 75 % des émissions mondiales de gaz à effet de serre et de près de 90 % de toutes les émissions de dioxyde de carbone.
Les courants chauds en France
Ces courants, appelés « alizés », apportent de l'air chaud et humide de l'équateur vers les régions tempérées de l'hémisphère nord. En raison de sa position géographique, la France reçoit une grande quantité de ces courants, ce qui contribue à augmenter la température.
La France s'est engagée à réduire ses émissions de gaz à effet de serre de 40 % entre 1990 et 2030 et, avec la loi Énergie et Climat adoptée en 2019, à atteindre la neutralité carbone en 2050 en divisant les émissions par un facteur supérieur à six par rapport à 1990.
L'Islande arrive en tête, avec une note de 6.45/10. Suivent juste derrière deux autres pays nordiques : le Danemark (6.44) et la Norvège (6.2).
Ce pourrait être le cas, d'ici 2050, de l'Asie du Sud, du golfe Persique (Iran, Oman, Koweït), des pays bordant la mer Rouge (Égypte, Arabie saoudite, Soudan, Éthiopie, Somalie, Yémen). D'ici 2070, l'est de la Chine et une partie du Brésil pourraient aussi dépasser les 35°C.
Les quatre principaux émetteurs sont l'Allemagne (839,7 Mt), la France (454,8 Mt), l'Italie (430,7 Mt) et la Pologne (393,9 Mt). L'Espagne arrive en cinquième position avec 333,6 MtCO2e.
En tête du classement des villes les plus polluées de France, la ville de Paris s'impose plutôt comme la capitale du smog (vous savez, cette espèce de brouillard grisâtre qui, en général, ne présage rien de bon).
Il en ressort que l'Ile-de-France, les Hauts-de-France, l'Alsace, la vallée du Rhône et le littoral méditerranéen se révèlent être les zones les plus polluées de France.
Les Îles Vierges des États-Unis, un ensemble d'îles et d'îlots posés sur la mer des Caraïbes (4,5 µg/m³), et Porto Rico complètent le podium (4,8 µg/m³). Le Cap-Vert et l'île de Saba, un joyau méconnu des Caraïbes qui appartient aux Pays-Bas, suivent juste derrière.
En France, l'industrie représente 20 % des émissions de gaz à effet de serre et à elles seules, les 50 sites reçus à l'Élysée représentent la moitié de ces émissions (10 %). Les secteurs de la métallurgie, de la chimie, du verre et du ciment sont particulièrement ciblés comme étant les plus gros pollueurs.
L'environnement pollué de la Chine est pour l'essentiel un résultat du développement rapide du pays et donc d'une grande augmentation de la consommation d'énergie primaire, qui est principalement fournie par les centrales électriques au charbon.
D'après les projections du site Climadiag de Météo France, le niveau de la mer pourrait monter de 13 à 30 cm à Saint-Malo (Ille-et-Vilaine) en 2050.
Par exemple, en 2050, l'océan Atlantique pourrait avoir grignoté les côtes de l'estuaire de la Gironde. Saint-Nazaire, Nantes et les rives de l'estuaire de la Loire risquent de ne pas être épargnées non plus, et Noirmoutier pourrait être engloutie.
En septembre 2019 , il publie Devant l'effondrement : Essai de collapsologie, dans lequel il annonce que par effets systémiques l'effondrement mondial devrait se produire entre 2020 et 2040, période durant laquelle la population serait décimée par la famine, les maladies, les guerres, jusqu'à être réduite à deux ou ...