CO2). En 2019, le principal pays émetteur était la Chine avec 12 705 Mt d'éq. CO2, soit 26,4 % des émissions mondiales de GES. Depuis 2005, les émissions de la Chine ont augmenté de 74,8 %.
Ainsi, en 2020, la Chine arrive en tête d'un tel classement avec des émissions de CO2 représentant 9 899 millions de tonnes, soit plus de 30 % des émissions mondiales. Les États-Unis sont à la deuxième place avec 4 457 millions de tonnes de CO2 émis (13,8 % du total mondial).
Les principaux pays émetteurs de gaz à effet de serre sont logiquement les plus peuplés et les plus industrialisés. Arrive ainsi en tête la Chine, avec 9,8 milliards de tonnes de CO2 relâchées en 2019, suivie des États-Unis (4,9 milliards), de l'Inde (2,5 milliards) et de la Russie (1,5 milliard).
Avec 9,84 milliards de tonnes de CO2 émises en 2017, la Chine est de loin le premier émetteur de gaz à effet de serregaz à effet de serre, devant les États-Unis et l'Inde.
Le dioxyde de carbone (CO2) est le premier GES émis par l'homme. On mesure d'ailleurs l'effet des autres gaz par rapport à lui en équivalent CO2. Il représente 77 % des émissions.
Ils sont appelés « gaz à effet de serre » (GES) et formés essentiellement de vapeur d'eau, de dioxyde de carbone (CO2 ou gaz carbonique), de méthane (CH4), de protoxyde d'azote (N2O) et d'ozone (O3).
L'utilisation massive d'énergies fossiles (charbon, gaz, pétrole) pour les transports, les bâtiments, l'agriculture, l'industrie produisent de grandes quantités de GES qui se concentrent dans l'atmosphère.
Les villes situées dans l'hémisphère Nord sont celles qui vont connaître les évolutions climatiques les plus spectaculaires au cours des trente prochaines années. Londres, Madrid, Zurich et Paris font partie du lot.
En première position se place le Qatar, dont le taux de dioxyde de carbone émis par habitant s'élève à près de 37 tonnes .
La production d'énergie et d'électricité est la championne des secteurs polluants. Elle est à l'origine de 31,5 % des émissions de GES.
Depuis 2006, la Chine a dépassé les États-Unis pour les émissions de gaz à effet de serre. Les émissions de dioxyde de carbone de la Chine sont de 1,8 milliard de tonnes par année, contre 1,59 milliard de tonnes pour les États-Unis, 432 millions de tonnes pour la Russie et 430 millions de tonnes pour l'Inde.
L'Islande arrive en tête, avec une note de 6.45/10. Suivent juste derrière deux autres pays nordiques : le Danemark (6.44) et la Norvège (6.2). La France figure en très bonne position, à la 4e place.
Les émissions par Etat membre
Les quatre principaux émetteurs sont l'Allemagne (839,7 Mt), la France (454,8 Mt), l'Italie (430,7 Mt) et la Pologne (393,9 Mt). L'Espagne arrive en cinquième position avec 333,6 MtCO2e.
Lahore, Pakistan, la ville la plus polluée du monde
La ville la plus polluée du monde est Lahore, une ville pakistanaise.
Là où les choses se corsent, c'est en ce qui concerne les ferries, qui émettent 267 grammes équivalent CO2 par kilomètre, contre 209 grammes pour un avion long-courrier.
Après avoir analysé les données de 6 475 villes dans 117 pays selon leur taux de concentration en particules fines, il ressort que la Nouvelle-Calédonie est le territoire le moins pollué au monde (3,8 microgrammes de polluants/m³), rapportent les données relayées par Geo.
[NEW DELHI] Le Nigeria et le Niger font partie des pays du monde avec les plus fortes concentrations de PM2,5[1], et le problème s'aggrave, prévient le rapport State of Global Air 2020. Selon le rapport, le Nigéria a une concentration de PM2,5 de 70,4 tandis que celle du Niger est de 80,1.
Selon cette association, les trois secteurs qui polluent le plus sont les transports, les bâtiments (avec la climatisation et le chauffage), l'agriculture et l'exploitation des forêts.
Le meilleur élève est le Portugal, qui a baissé ses émissions de CO2 de 9% en un an. Globalement les états méditerranéens affichent de bons chiffres: -8,1% en Bulgarie, -4,3% en Croatie, -3,6% en Grèce...
Selon les scientifiques, les eaux qui entourent les Pays-Bas pourraient monter de plus d'un mètre d'ici 2100 (1). Cela signifie qu'une proportion importante du territoire néerlandais, dont le tiers se situe sous le niveau de la mer, pourrait disparaître au cours des prochaines décennies.
Les seuls endroits qui pourraient retarder un peu le moment où ça va être compliqué sont la Bretagne et la Normandie, les endroits les plus pluvieux et tempérés avec le front de mer, relève-t-il aussitôt. La partie est bel et bien terminée aujourd'hui ».
En Europe, Londres (Royaume-Uni) ou encore Venise (Italie) ne sont pas en reste. En France, des villes comme Bordeaux et ses alentours, la région de Saint-Nazaire et les villages de la côte montpelliéraine pourraient être les premières à disparaître sous les eaux.
C'est là que par un échange avec l'air tout proche, le sang perd une bonne partie de son dioxyde de carbone que l'on rejette ensuite en expirant (l'air que l'on avait inspiré, lui, n'en contenait presque pas).