Halloween, une fête aux multiples origines Samain (ou Samhain) est une fête celtique célébrée en Irlande et en Ecosse depuis plus de 2500 ans. Elle était à l'origine l'occasion de célébrer la fin de l'année à une date variant entre fin octobre et début novembre.
Cette célébration trouve son origine 2.500 ans en arrière. Les Celtes célébraient la fête de Samain, fin octobre. Ils pensaient qu'au cours de cette nuit, les frontières entre le monde des morts et celui des vivants étaient ouvertes et ils revêtaient des costumes effrayants pour éloigner les mauvais esprits.
Dès les années 50, il y a des traces d'Halloween mais c'était dû à des Américains qui vivaient en France. Ce mouvement que nous connaissons a été marketé pour donner quelque chose à vendre ou une occasion de se réjouir entre la rentrée des classes et Noël.
Si on peut traduire sa signification par « la veille de tous les saints », le sens d'Halloween n'est en aucun cas religieux. Elle est plutôt l'héritage de la fête païenne de la Samain, très populaire en Grande-Bretagne, célébrée historiquement au début de l'automne par les Celtes.
Chaque année, le 31 octobre au soir, la tradition d'Halloween veut que les enfants et adultes déambulent dans les rues vêtus de déguisements parfois terrifiants. Cette fête païenne est célébrée la veille de la Toussaint et ses rituels varient d'un pays à l'autre.
Comme beaucoup de rites et fêtes chrétiens et musulmans, Halloween est à l'origine une fête païenne, en l'occurence, une fête celte.
À la genèse de cette célébration : la fête irlandaise de Samain, ou Samhain, "aux origines celtes, qui célèbre le passage de la saison estivale claire à la sombre saison de l'hiver", explique le site Bretagne.com, précisant qu'elle était "célébrée 3 jours avant le 31 octobre et 3 jours après, du 29 octobre au 4 ...
ce mot ne se trouve pas dans la Bible. Cette fête n'est pas biblique. le mot qui se trouve dans la Bible, et qui est proche de halloween est hallow et hallowed. C'est la première requête dans la prière que le Seigneur Jésus-Christ a enseigné à ses disciples.
Au Mexique, la fête n'est pas célébrée traditionnellement mais les Mexicains fêtent le Jour des morts les 1er et 2 novembre.
Les Chinois suivent un autre calendrier que le nôtre. La fête d'Halloween n'y est donc pas célébrée.
Halloween en France
Si ce sont les Irlandais qui ont amené avec eux la tradition d'Halloween aux Etats-Unis lors des grands mouvements de migration du 19e siècle, c'est France Télécom qui l'a amené en France.
Halloween en lui-même ne veut rien dire en anglais et n'est donc pas traduisible tel quel. Il s'agit de la contraction de l'expression «All Hallows' Even » qu'on peut traduire par « la veille de tous les saints » ou « la veille de la Toussaint ».
La véritable origine d'Halloween remonte à la fête païenne celtique de Samhain. Les Celtes, vivant dans l'actuelle Irlande et au nord de la France, célébraient cette fête pour marquer la fin de l'été et le début de l'hiver, une période souvent associée à la mort dans de nombreuses cultures.
Dans la tradition de Samain, les celtes avaient une peur bleue des fantômes. C'est pourquoi une fois par an, ils se réunissaient vêtus de terrifiants déguisements puis déposaient des gâteaux et des pommes à l'entrée du village. Ces offrandes leurs assuraient une certaine sécurité.
Halloween est fêtée la veille de la Toussaint chrétienne par les Irlandais et les Américains entre autres… Les couleurs du décor de cette fête sont l'orange et le noir. L'orange pour le symbole du feu, le noir pour celui de la nuit.
À l'origine, le symbole de la célèbre fête n'était non pas l'emblématique cucurbitacée orange, mais un navet. C'est une référence à la légende des contes irlandais Jack O'Lantern. L'histoire raconte que le jour de sa mort, le soir d'Halloween, Jack O'Lantern s'est vu refuser l'entrée au paradis mais également en enfer.
La fête de Samain, l'ancêtre d'Halloween
Le Samain est alors une fête païenne qui célèbre la fin de l'année celtique, correspondant au 31 octobre, jour qui acte la fin de la saison des moissons et le début de l'hiver. Cette fête était aussi l'occasion pour les vivants de renouer avec les morts.
Pour certains croyants musulmans ou chrétiens, l'Halloween est une fête païenne. Certains l'associent même au satanisme. En raison de leur conviction, ils s'opposent à ces célébrations et évitent de laisser leurs enfants faire du porte-à-porte. Jessica Caron est de confession catholique.
De manière générale, les chrétiens ne sont pas tenus de s'abstenir de manger du porc en vertu de leur foi, mais ils peuvent choisir de le faire ou de ne pas le faire en fonction de leurs convictions personnelles.
Halloween a été célébrée bien avant que les Satanistes aient quelque chose à voir avec cela. Par conséquent, historiquement, Halloween n'est pas satanique. Aujourd'hui toutefois, il est logique de la considérer comme une fête satanique si on fait référence à sa célébration par de vrais satanistes. »
Les différences entre Samain et Halloween
La fête de tous les saints, « the evening of all Saints'day », devint au fil des siècles « All Hallow's Eve », puis « Hallowe'en ». Samain et Halloween partagent le même moment dans l'année, mais pas avec le même calendrier.
C'est une fête de transition — le passage d'une année à l'autre — et d'ouverture vers l'Autre Monde, celui des dieux et des mânes. Elle est mentionnée dans de nombreux récits épiques irlandais car, par définition, elle est propice aux événements magiques et mythiques.
Et c'est par la même occasion la fête des sorcières. A l'origine, Samain était le moment de célébrer le nouvel an Celte ainsi que les morts. On s'y déguisait en personnage effrayant pour éloigner les esprits et réveillonner ensemble.
Les musulmans du monde entier doivent célébrer, mercredi 28 juin, l'Aïd-el-Kébir, littéralement la « grande fête », également appelée « Aïd el-Adha » (fête du sacrifice) ou « Tabaski », qui correspond aussi au pèlerinage à La Mecque, le hadj.
Dans la religion musulmane, Noël n'existe pas. Dans le Coran, Jésus est né d'une vierge. Il n'est pas reconnu comme fils de Dieu mais comme un prophète.