Pour améliorer les fonctions cognitives, on se tournera vers le ginkgo et le bacopa. Ces plantes favorisent la concentration et luttent contre les troubles de la mémoire. Pour plus d'efficacité, on les associe à une source d'oméga-3 et à de la lécithine de soja.
Voici 4 plantes qui pourront booster vos fonctions cognitives : le ginkgo biloba, la myrtille, le bacopa et la sauge.
La vitamine C des fruits et légumes joue un rôle similaire avec le fer. Or en participant au transport de l'oxygène jusqu'à l'encéphale, via l'hémoglobine, ce dernier agit naturellement sur la santé du cerveau.
Les fruits rouges
Or, dans les bleuets, canneberges, mûres ou framboises, se concentrent de fortes doses d'antioxydants, qui combattent les radicaux libres et boostent notre cerveau.
La vitamine C et la vitamine D protègent le cerveau contre le stress oxydatif et le déclin cognitif. Les vitamines du groupe B favorisent l'absorption du glucose par l'organisme et le transport de l'oxygène, et aident à la fabrication de certains neurotransmetteurs.
Le ginkgo biloba
Ses nombreux principes actifs sont réputés pour agir sur toutes les pertes de mémoire, y compris les troubles plus graves comme la maladie d'Alzheimer. "Il s'utilise aussi bien sous forme d'extraits liquides, en gélules ou simplement en infusion.
Dites non à la routine
Sortir, voir du monde, manger des bons petits plats, avoir un travail stimulant… Profiter de la vie est la clé de la bonne régénération du cerveau. Il n'est nullement question de s'épuiser, juste de ne pas tomber dans la routine.
Les médicaments qui agissent sur le cerveau, comme les anxiolytiques, les antidépresseurs, mais aussi les somnifères. En modifiant la manière dont les neurones communiquent, ils perturbent la mémoire et la concentration. Le stress.
Si le Breton moderne nomme le gui “uhel varr”: “haute branche”, les autres langues celtiques, comme l'Irlandais ou le gaélique d'Écosse ont gardé dans le vocabulaire populaire la tournure “qui guérit tout”. Plante médicinale, le gui a des vertus antispasmodiques et diurétiques.
Le ginkgo biloba fait l'objet de nombreuses recherches. Son principe actif – des molécules au nom de ginkgolides – provoque une dilatation des vaisseaux sanguins qui irriguent le cerveau, microvaisseaux compris, ce qui facilite son oxygénation et son “alimentation”.
Il recommande une consommation accrue de 10 composants sains, parmi lesquels les légumes à feuilles vertes, le poisson, les baies, les noix… et la limitation de 5 composants néfastes comme le fromage, les viandes rouges, les beurre et margarine, les aliments frits, les pâtisseries et sucreries.
Pour conserver une bonne mémoire, il faut manger beaucoup de fruits et légumes et boire du jus d'orange, selon une nouvelle étude publiée dans Neurology.
Il n'existe pas de traitement pour les guérir. Une fois les symptômes déclarés, il est trop tard : le processus de destruction des cellules cérébrales, amorcé des années plus tôt, est bien engagé.
Une récente étude de l'université américaine de Rochester menée par le chercheur Maiken Nedergaard démontre que la position latérale serait la meilleure pour retrouver un cerveau tout neuf au saut du lit puisqu'elle permet une élimination plus efficace des déchets cérébraux.
Ces troubles peuvent survenir à cause d'une maladie affectant la mémoire. Ils peuvent également être d'origine émotionnelle. Stress, fatigue, anxiété peuvent altérer la capacité à mémoriser, de même qu'une alimentation carencée, un problème d'alcoolisme, un excès de médicaments ou une fatigue excessive.
Les effets indésirables du ginkgo sont habituellement limités : maux de tête, troubles digestifs (diarrhées, ballonnements, gaz, etc.), ainsi que des manifestations allergiques.
Les hypermnésiques décrivent leur mémoire comme fonctionnant par associations incontrôlables. Leur mémoire ne garde pas le souvenir de chaque élément de leur vie. Elle est aléatoire et peut parfois retenir des événements perçus comme insignifiants.
Le cerveau est un grand consommateur d'énergie. Son carburant principal est le sucre, précisément le glucose. Quand les cellules du cerveau, les neurones, ont de la difficulté à obtenir ou à utiliser ce précieux carburant, elles fonctionnent moins bien, deviennent affamées et peuvent mourir.
- faire des pauses d'au moins 10 minutes toutes les 90 minutes: un cerveau actif brûle 20-25% du glucose du corps ce qui produit des déchets qu'il a besoin d'éliminer pour permettre aux cellules neuronales de se régénérer.
Un adulte a besoin d'un apport quotidien de 200 g de glucose, dont 130 g pour le cerveau.