Toi qui es bon et qui pardonnes, plein d'amour pour tous ceux qui t'appellent, écoute ma prière, Seigneur, entends ma voix qui te supplie. Prends pitié de moi, Seigneur, toi que j'appelle chaque jour. Je t'appelle au jour de ma détresse, et toi, Seigneur, tu me réponds.
Pour atteindre la paix intérieure, il est essentiel d'apaiser notre esprit. Pour cela l'idéal est de réaliser des exercices de méditation, qui nous aideront à mieux affronter le quotidien, avec l'esprit plus détendu. Vous devriez consacrer une partie de la journée à retrouver la tranquillité par la méditation.
Saint Augustin et saint Jérôme affirmaient que celui qui ce psaume 37 lu avec dévotion offrait la rémission de ses péchés.
D'abord dire comme le psalmiste : « sauve-moi dans ton nom ». Crier à Dieu est très bien et lui demander le salut la meilleure des choses, Dieu n'est pas sourd, et il sauve. Mais plus précisément Dieu peut nous sauver, « dans son nom », c'est une indication très importante.
Le fond de la détresse, c'est justement quand on n'a plus personne, plus de mots pour appeler à l'aide. Ce Psaume 130 est alors d'une aide extraordinaire. Il nous dit que nous ne sommes pas seul, et il nous aide à dire notre détresse.
Le psaume 35 (34 selon la numérotation grecque) est un psaume qui exprime la prière d'une personne persécutée.
Il aurait été écrit par le roi David, qui demandait pardon auprès de Dieu après qu'il eut séduit Bethsabée, la femme d'un de ses officiers, Urie le Hittite, en profitant d'une de ses absences.
Le texte du Psaume 90 a une portée rhétorique. Comme on peut le voir, au v. 13, le même verbe shûb du v. 3, qui sert pour inviter l'homme à revenir auprès de Dieu, est utilisé comme une prière pour demander à Dieu de revenir auprès de son peuple.
Le psaume 67 (66 selon la numérotation grecque) exprime l'universalité de la louange due à Dieu. Il a les mêmes indications que le psaume 68, et on peut le ranger dans le groupe des psaumes 65 à 68, qui sont destinés à la louange et à l'action de grâce, avec les instruments à cordes.
Pour prier ce psaume, on peut suivre plusieurs pistes. Il invite à rejoindre la prière du Christ qui met sa confiance en son Père. Les versets 22-23 résument ce passage de la mort à la vie : 'La pierre rejetée des bâtisseurs est devenue pierre d'angle. C'est là l'œuvre du Seigneur, une merveille à nos yeux'.
Prière du soir tirée du cantique de Siméon (Luc, 29-32) Maintenant, ô Maître souverain, tu peux laisser ton serviteur s'en aller en paix, selon ta parole. Car mes yeux ont vu le salut que tu préparais à la face des peuples : lumière qui se révèle aux nations et donne gloire à ton peuple Israël. »
Matin après matin, le psaume 95 (94) invite à prendre pied sur la communion, l'émerveillement, la confiance et la responsabilisation, et à entrer ainsi dans sa journée par la porte étroite qui conduit à la vie.
Prière de délivrance : Psaume 143
Béni soit le Seigneur, mon rocher ! + Il exerce mes mains pour le combat, * il m'entraîne à la bataille. Il est mon allié, ma forteresse, ma citadelle, celui qui me libère ; il est le bouclier qui m'abrite, il me donne pouvoir sur mon peuple.
La seule façon de faire réellement la paix avec son passé, c'est de l'accueillir. C'est d'accepter qu'il fasse partie de notre histoire. Cette attitude d'ouverture envers ce qu'il nous est arrivé nous permet de poser un regard différent sur notre parcours.
Psaume 91, 1-2
Oui Seigneur, en ce soir, je m'établis en paix sous ta protection. Tu es mon abri Seigneur, mon refuge et mon repos. Je te prie que cela ne soit pas que des mots, mais que réellement je puisse sentir en ce soir que tu m'enveloppes dans ta divine protection.
Puissent mes actions être bien réglées, afin que je garde tes statuts ! Alors je ne rougirai point, à la vue de tous tes commandements. Je te louerai dans la droiture de mon cœur, en apprenant les lois de ta justice. Je veux garder tes statuts : ne m'abandonne pas entièrement !
Le Psaume 91 (90 dans la numérotation grecque), communément référé comme Yoshèv bessètèr en hébreu et Qui habitat en latin, est connu comme le Psaume de la Protection. Il est possible, d'après le rabbin Alfred J. Kolatch, qu'il ait été utilisé par le passé dans le cadre d'exorcismes.
Ce psaume est chanté pour demander de l'aide à celui qui a créé la vie, pour être protégé durant le voyage souvent long, pénible et potentiellement dangereux. 4- Voici ! Il ne sommeille ni ne dort, celui qui garde Israël.
Le psaume 34 est un diptyque : la première partie jusqu'au verset 11 est constituée d'une hymne et d'un développement de l'expérience du psalmiste, tandis que la seconde partie prend un ton sapientiel. Trois thèmes sont abordés : celui de la rétribution, du bonheur, et enfin de la pauvreté spirituelle.
Le psaume 23 (22 dans la numérotation grecque) est un psaume de la Bible hébraïque, donc de l'Ancien Testament, attribué au Roi David, qui décrit Dieu comme le Berger. Il est appelé en latin Dominus pascit, « Le Seigneur est mon berger. »
Ce psaume montre que cet amour fraternel est à la fois ce qui est "bon", c'est le bien par excellence, et aussi, que "c'est là que l'Eternel donne la bénédiction et la Vie éternelle", ce qui n'est pas rien.
Dans le psaume 37, le psalmiste invite plutôt le juste fidèle à mettre sa confiance dans le Seigneur, et il le réconforte en répétant que Dieu aime à faire justice, qu'il accordera le salut aux justes, et que les impies qui s'acharnent contre les justes seront extirpés de la terre.
Le psaume 24 présente ces attributs divins dans un contexte liturgique ou Israël reconnaît la souveraineté divine dans l'acte de la création et dans le combat. Le peuple adore le Seigneur sur sa montagne sainte. Et vers ce lieu saint convergent les pèlerins à la rencontre de Dieu, résidant dans le sanctuaire.