Son fils Cléante partage le même dessein et rêve de convoler avec elle. Il se confie à sa sœur qui elle est amoureuse en secret de Valère. Chacun jouera sa partition allant, grâce à de nombreuses complicités, jusqu'à voler le trésor d'Harpagon.
Cléante explique à sa sœur qu'il est amoureux, mais qu'il ne s'est pas encore engagé. Elise comprend son frère (« et pour comprendre ce qu'elle est, il me suffit que vous l'aimez ».)
Le riche et avare Harpagon a deux enfants : Élise, amoureuse de Valère, un gentilhomme napolitain au service de son père en qualité d'intendant, et Cléante, qui souhaite épouser Mariane, une jeune orpheline sans fortune.
Harpagon est bourgeois, riche et avare. Il a deux enfants : Élise qui est amoureuse de Valère, un fils de noble napolitain au service de son père en qualité d'intendant, et Cléante qui souhaite épouser Mariane, une jeune femme vivant chez sa mère sans fortune.
Lors de l'acte IV, scène 7, Harpagon dit à son argent : « il m'est impossible de vivre sans toi ». Il croit qu'il y a des voleurs partout et il a prévu un plan pour économiser de l'argent en mariant ses enfants à des personnes riches et en organisant son mariage et celui de ses enfants à la même date.
Pas avare de talent
Sa raison de vivre est son or, à tel point que quand il le perd, il en vient à se soupçonner lui-même. Cette pièce est une bonne illustration philosophique de la fin et du moyen. Est ce que l'argent est une fin ou un moyen? Pour arriver à la fin bonheur, il faut le moyen bonheur.
Cléante : c'est l'amoureux d'Angélique. Il fait semblant d'être le maître de musique. Il est marrant parce qu'il fait le Ninja. Thomas : c'est le prétendant d'Angélique.
2) Quels arguments harpagon emploie t il pour amener Cléante à se confier ? Harpagon dit à Cléante que celui-ci semblait intéressé par Mariane puisqu'il avait eu un discours charmant.
préface) Cléante est l'homme de bien que Molière a voulu opposer à Tartuffe, mais il est vrai aussi que dans la pièce, il est le raisonneur, qui veut raisonner Orgon aussi bien que Tartuffe.
Réponse : Bonjour, Pendant sa rencontre avec son amoureuse Marianne, Cléante, offre à cette dernière un diamant de la par d' Harpagon, mais celui-ci ne veut pas car il est avare mais et bien obliger de lui offrir pour bonne figure. Cela marque plus son égoisme.
Dans cette scène, Harpagon est sous le choc. Il vient de se rendre compte que sa chère cassette de dix mille écus d'or a été volée. Juste avant, nous avons appris que La Flèche, le valent de Cléante, a volé le précieux trésor d'Harpagon.
Résumé : Harpagon, riche vieillard, fait subir à toute sa maisonnée sa passion aveugle et tyrannique pour l'argent. Son avarice fait obstacle aux projets amoureux de ses enfants, le pousse à soupçonner ses proches et donne envie à ses serviteurs de le tromper.
L'Avare ou l'école du mensonge de Molière est une pièce fascinante. Elle est déconcertante par la noirceur de son rire. Cette comédie en prose peut se lire de bien des manières et chaque accent d'une interprétation fera apparaître de nouveaux motifs d'enseignements.
Le quiproquo tient au fait qu'Harpagon ignore que Valère est l'amant de sa fille et que Valère ignore le vol de la cassette.
Réponse. 1) Cléante à besoin d'argent car vu qu'il est amoureux de Marianne, et qu'elle et sa mère sont pauvres il veut les aider, faire le bien autour de lui et pour cela il va demander à son père (l'avare) de l'argent, car il veut sortir Marianne de cette situation.
Le Tartuffe de Molière dénonce l'hypocrisie religieuse, les faux dévots, c'est à dire ceux qui détournent la religion pour servir leurs intérêts personnels. Néanmoins, il est difficile de ne pas voir dans cette pièce une critique de la religion également.
Le sujet du premier Tartuffe avait un dénouement qui ne pouvait pas être celui du Tartuffe de 1669. Au départ, un gros homme dévot profite de l'ascendant qu'il exerce sur un homme pour s'opposer au mariage de son fils et pour séduire sa femme. Mais grâce à l'habileté de cette femme, il est démasqué.
Tartuffe symbolise l'hypocrisie religieuse qui sert de masque pour toutes sortes de turpitudes : il s'introduit dans la maison d'un riche bourgeois, Orgon qui, subjugué par la foi affichée du personnage, le recueille, l'héberge, lui accorde toute sa confiance...
"Il faut manger pour vivre, et non pas vivre pour manger", telle est la devise d'Harpagon.
C'est un sombre tableau de l'avarice que nous propose La Fontaine dans sa fable. Le désir de possession gâche l'existence de son personnage qui omet complètement de profiter de la vie. Le fabuliste nous encourage à faire usage de nos biens si nous souhaitons les posséder pleinement.
Harpagon ne pense qu'à protéger sa cassette, sans songer qu'à travers les deux mariages qu'il souhaite arranger pour ses enfants, il cause leur malheur. Égoïste, colérique, violent (il ne lésine jamais sur les coups de bâton), bourru et borné, il est également naïf, dès qu'il est question d'argent.
Mais Angélique aime Cléante, qu'elle a rencontré quelques jours plus tôt. Aidé de la servante Toinette, elle s'oppose à ce mariage. ACTE II : Cléante (l'amant d'Angélique) entre dans la maison du malade imaginaire en se faisant passer pour le remplaçant du professeur de musique d'Angélique pour pouvoir voir celle-ci.
C'est une comédie qui procure un vrai plaisir au spectateur tout en faisant appel à son intelligence et son sens critique.
Toinette se proclame en quête “d'illustres matières à ma capacité ” ; pour le dire autrement, elle cherche des maladies graves qui prouveraient son excellence car elle serait capable de les guérir; L'idée est ici plaisante: la réputation d'un médecin serait liée à sa capacité à guérir les maladies les plus graves et ...