Le son [g] peut être rendu par la graphie gh, que l'on trouve dans certains emprunts, surtout à l'italien, et dans laquelle le h permet de conserver la prononciation dure du g devant les voyelles e et i.
devant H : GH
Le H donne au G un son dur : \ɡ\ : Ghana, ghetto, bobsleigh, amazigh, tamazigh… GH est muet dans le mot suivant, venant de l'anglais : marlborough…
Devant les voyelles e, i et y la lettre g se prononce [ʒ]. Devant les voyelles a, o et u, le g se prononce [g]. On obtient le son [g] en ajoutant un u entre le g et les voyelles e ou i. Devant toutes les consonnes, g se prononce [g], sauf devant le n, le g se prononce [ɲ].
Quii qu'il en soit, poursuivons par examiner si gh est toujours muet. Effectivement, dans les mots tels que eight ou though ou ought, il l'est. Mais dans cough ou laugh, il se prononce comme f. Et dans les mots empruntés à l'italien (par exemple spaghetti ou ghetto), il se prononce comme g.
La lettre g se prononce différemment devant a, o, u et e,i. Devant a, o et u → gu comme dans gare. Devant i et e → je comme dans génial. La lettre c se prononce différemment devant a, o, u et e,i.
Règle. La lettre c se prononce comme un s devant les voyelles e, i, y, mais comme un k devant les voyelles a, o, u. Cas dans lesquels la lettre c se prononce comme un s. Cas dans lesquels la lettre c se prononce comme un k.
Ils proviennent souvent de langues anciennes comme le latin ou le grec ancien. Le mot seconde n'y fait pas exception et vient du mot latin « secundus », qui signifie suivant. Si on prête l'oreille un instant, nous remarquons que le /c/ contenu dans seconde se prononce [g].
Il s'écrit "gh" et se prononce comme le "r" classique (celui de Maroc).
La seule explication vient de l'étymologie. Le « h muet » vient du latin et se retrouve souvent dans les langues d'origine latine. Le « h aspiré » provient de mots empruntés à d'autres langues, comme l'anglais (le hall), l'ancien francique (le haricot), l'arabe (le hasard), le néerlandais (le hareng)...
Prononciation. Le ع (3) se prononce comme un « R grasseyé » (R parisien) faiblement articulé très en arrière de la gorge, au niveau du palais mou (contrairement au غ (R), articulé sur le palais dur).
Les premiers mots illustrés avec photo débutant en G sont : GABA, gabarit, gabbro, gabbro lité, gabelle, gabion. Le dictionnaire compte 645 définitions de termes (mots et expressions) commençant par la lettre G. La lettre G est la 7ème lettre de l'alphabet français et la 5ème consonne.
– avec la lettre « j » devant toutes les voyelles en début ou milieu de mots. – avec la lettre « g » devant les voyelles e (e, é, è, ê), i, y. – avec les lettres « ge » devant les voyelles a, o, u.
Gu suivi de e, é, ê ou i : prononcé [g]
Lorsque les lettres gu sont suivies des voyelles e, é, ê ou i, on les prononce généralement [g], comme la lettre g dans le mot gare.
La lettre <g> est très souvent muette dans le groupe de consonnes <gn> (sign) tandis que les consonnes <gh> ne se prononcent pas dans les terminaisons en <ght> (bought, tonight).
Décomposer 'Hi' en sons: [HY] - dites-le à voix haute et exagérez les sons jusqu'à ce que vous puissiez les produire de manière cohérente. Enregistrez-vous en prononçant 'Hi' dans des phrases complètes, puis écoutez vous. Vous pourrez marquer vos erreurs assez facilement.
Au présent, à la troisième personne du singulier, le verbe être se conjugue il est , et aussi elle est , on est , c'est . Ce verbe se prononce [ ɛ ].
La prononciation du h aspiré On trouve en français deux h : le h muet et le h aspiré. En français moderne, aucun des deux ne correspond à un son, et ce, même si l'on parle de h aspiré (il n'y a pas d'aspiration). Ce qui les distingue est que, dans le cas du h aspiré, on ne peut faire l'élision.
Le H aspiré, contrairement au H muet, il empêche l'élision, c'est-à-dire qu'avec un H aspiré, il n'y a d'élision, donc, on garde le mot, le déterminant complet. On dit “le héros”, on ne dit pas “l'héros” parce qu'il n'y a pas d'élision, on garde le “e” : “le héros” et pas “l'héros”.
On appelle h muet un h écrit qui n'a aucune influence sur la prononciation, et dont on n'entend donc pas du tout la trace en parlant. À l'inverse, un h dit « aspiré », en début de mot, marque l'impossibilité pour ce mot de se lier dans la prononciation au mot qui précède.
Par exemple, le chiffre 7 se dit سَبْعة (sab'ah) et le nombre 17 se dit donc سَبْعةَ عَشَر (sab'ata 'ashar). Comme le veut le sens de lecture arabe droite gauche.
ﺡ appelé le ḥa. Il s'écrit avec un "7". Le "h pointé" se prononce de façon plus prononcée que le simple "h".
G note une consonne chuintante sonore et se prononce comme un j devant les voyelles e, i, y, comme dans geler, agiter, gymnastique. Pour obtenir la même prononciation devant les voyelles a, o, u, on intercale un e entre le g et cette voyelle, comme dans geai, geôle, gageure.
Femme vient du latin femina, qui progressivement s'est prononcé "fème", puis "fame", mais là encore les lexicographes ont tenu à maintenir le lien avec l'origine latine, donc le premier "e"… même s'il se prononce A. C'est toute la différence entre la graphie du français et celle de l'espagnol, par exemple.
Étymologie. (1080) Du latin fēmĭna (« femelle », « femme »). L'étymologie de fēmĭna est obscure : « celle qui enfante, qui donne la vie », participe moyen substantivé de * feo (« produire, enfanter ») qui a donné fetus , fetura , fecundus , fenum , fenus (voir ces mots).