Les chercheurs ont avancé que lire des livres améliore le vocabulaire, le raisonnement, la concentration et la pensée critique, et que la littérature stimule les processus cognitifs comme la perception sociale et l'intelligence émotionnelle* qui peuvent contribuer à prolonger la vie.
La lecture joue un rôle très important dans le développement de l'enfant car elle permet d'éveiller ses sens, de développer son imagination et stimuler son cerveau. Qu'une histoire soit écoutée ou lue, c'est une expérience incroyable qui nous embarque dans un voyage extraordinaire.
C'est un excellent moyen de s'évader.
La lecture nous fait voyager et même si l'histoire qu'on lit ne se passe pas à l'autre bout du monde, elle aide notre esprit à oublier les tracas du quotidien !
La lecture permet de partager les émotions investies dans les livres. D'après Pierre Sève « la lecture reste une activité intime, réellement subjective » mais elle est en même temps une pratique sociale.
Lire permet de lutter contre le vieillissement du cerveau, d'améliorer sa mémoire, son empathie, son imagination mais aussi de prendre une pause. A l'occasion de la Journée mondiale du livre, le consultant santé d'Europe 1, le docteur Jimmy Mohamed décrypte tous les bienfaits de la lecture.
La lecture permet d'apprendre de nouvelles choses et de se former, de développer son vocabulaire et son expression orale. La lecture peut grandement contribuer au développement personnel, dans le sens où vos lectures auront un impact sur votre esprit.
La lecture nous procure un plaisir, permet de nous évader, favorisant ainsi l'oubli des soucis et du stress du quotidien. Les bienfaits de la lecture. La lecture favorise l'apprentissage, elle permet le développement mental et l'expression orale. Elle développe les fonctions cognitives (fonctions intellectuelles).
Pourquoi lit-on? Les réponses des bibliothécaires sont presque unanimes à le souligner : on lit pour se distraire, beaucoup plus qu'avec le souci de s'instruire. Ce besoin de distraction correspond également à un besoin d'évasion.
Les neurosciences ont mis en évidence les moments clés pour favoriser l'apprentissage de la lecture et de l'écriture. Passerelle. L'apprentissage de la lecture crée des connexions entre les aires du cerveau dévolues à la vue et celles du langage oral.
« Lire un bon livre, ça redonne envie de vivre. Ça vous donne envie de partir à la recherche du temps perdu », nous dit l'écrivain Pierre Perret. Mais un autre constat est que la génération présente ne puise que rarement dans ce trésor caché. En d'autres termes lire est devenu synonyme de perte de temps.
l'acte de lire, une situation de communication avant tout
Quelle qu'en soit donc la définition, l'acte de lire se situe toujours dans une situation de communication. Il est clair que lorsque l'enfant lit, il cherche à comprendre la pensée d'autrui à travers un intermédiaire : le langage écrit.
Résumé : La lecture permet d'acquérir la langue pour pouvoir construire du sens. Avec la lecture, l'étudiant imbibe son esprit avec des structures langagières d'une langue ce qui lui permet d'avoir des moyens linguistiques pour construire ses pro- pres phrases et désigner ce qu'il veut dire.
La lecture a bien plus d'effet que l'idée de liberté, ou encore le fait de prôner l'asservissement humain, elle peut juste servir pour passer le temps, se distraire ou encore se cultiver. La lecture peut cultiver l'être humain. Elle offre aux lecteurs la possibilité de s'enrichir intellectuellement et d'étudier.
« Trop » lire n'est jamais nocif. « Il ne faut pas enlever la lecture à ceux qui vivent le nez dans les bouquins, prévient Anne Gatecel. C'est pour eux un moyen de survie.
La non-lecture a donc pour conséquence le contraire de l'essor, de liberté de conscience. beaucoup plus dangereuses. « 1° Cette facilité de communiquer ses pensées tend évidemment à dissiper l'ignorance, qui est la gardienne et la sauvegarde des États bien policés ».
Dès que commence l'adolescence, l'enfant n'a plus envie de lire. Jusqu'au lycée, les professeurs de français imposent la lecture, souvent des ouvrages qui ne traitent pas de leurs différents centres d'intérêts, ce qui décourage l'ado à ouvrir un livre.
Conclure (utilisé surtout pour la conclusion d'une production écrite) : au total, tout compte fait, tout bien considéré, en somme, en conclusion, finalement, somme toute, en peu de mots, à tout prendre, en définitive, après tout, en dernière analyse, en dernier lieu, à la fin, au terme de l'analyse, au fond, pour ...
Une conclusion comprend généralement : un retour sur la problématique énoncée en introduction ; une analyse des résultats mentionnés dans le développement et une réponse à la problématique en fonction de ceux-ci ; une perspective d'ouverture sur le sujet.
Un livre est un document écrit formant unité et conçu comme tel, composé de pages reliées les unes aux autres. Il a pour fonction d'être un support de l'écriture, permettant la diffusion et la conservation de textes de nature variée.