Une dimension de conscience n'est pas un lieu ou un but à atteindre, mais un état de conscience. D'abord, lorsque nous parlons de dimensions, ce ne sont pas des numéros qui se suivent (la première, la deuxième, etc.) mais simplement le nombre de directions que parvient à percevoir la conscience de l'observateur.
la largeur (gauche/droite) d'axe x, ou abscisse ; la profondeur (avant/arrière) d'axe y, ou ordonnée ; la hauteur (haut/bas) d'axe z, ou cote. A ces dimensions s'ajoute une quatrième, "T", celle de l'espace-temps qui nous fait dire que nous vivons dans un univers à 4 dimensions spatio-temporelles.
La 5D est donc un état de conscience supérieur, c'est un nouveau monde rempli de joie et d'amour qui mettra l'accent sur des valeurs humaines essentielles telles que l'altruisme, le partage, l'amour, l'honnêteté, la fraternité et l'empathie.
La Conscience est capable de relativiser, d'évaluer autrement, de reporter, de renoncer, de tourner la page. Elle n'est donc pas égocentrée, elle est ouverte. Si elle se développe fortement, elle finit par distinguer le Moi, égocentrique, du Soi grandiose.
La notion de conscience recouvre trois cas de figures différents : la conscience de soi désigne la capacité de réflexion qui caractérise la subjectivité ; la conscience d'objet signifie la faculté du sujet à se représenter les choses extérieures ; la conscience morale enfin désigne une capacité non plus théorétique ...
Il est en tous cas possible de lui distinguer deux grands sens : La conscience psychologique : c'est la capacité de chaque individu à se représenter ses actes et ses pensées. La conscience morale : c'est cette sorte de « juge intérieur » à chaque être humain qui lui permet de statuer sur le bien ou le mal.
La troisième dimension est tout simplement le monde dans lequel nous vivons, un espace x,y,z comme disent les mathématiciens.
La 5e dimension serait une dimension enroulée en cercle. Cette nouvelle dimension est invisible à nos yeux, sa taille vaut la longueur de Planck, c'est-à-dire 10-33 cm. Il nous est impossible de nous mouvoir en elle, vu notre taille énorme en comparaison.
la dimension physique (le corps) la dimension affective (les 5 sens, les émotions et sentiments) la dimension intellectuelle (la faculté de compréhension, la mémoire, le raisonnement, la volonté et la capacité de faire des choix etc.)
Les 11 dimensions dont tu parles, c'est un modèle physique et mathématique qui permet de résoudre certaines "singularités" que la physique actuelle n'explique pas. De là à en conclure quoi que ce soit à notre niveau d'humains mortels, je crois qu'il y a un abîme.
Elle concerne le désir de l'être humain de trouver du sens à son existence, d'approfondir sa capacité à aimer, à vivre des relations en vérité et s'il est est croyant, de vivre selon la tradition qui lui est propre.
L'Homme est composé de quatre dimensions : physique, psychique, intellectuelle, spirituelle. Peut-on mieux les définir ?
La distance géométrique, calculée par le modèle standard de la cosmologie, est de 46,5 milliards d'années-lumière. C'est ce qu'on appelle l'Horizon cosmologique. L'Univers observable est en fait une sphère de 93 milliards d'années-lumière de diamètre.
La quatrième dimension est l'espace-temps : trois dimensions d'espace et une de temps. Un physicien allemand découvre un jour que la vitesse de la lumière est toujours la même pour n'importe qui regarde (300 000 Km/s). C'est Albert Einstein qui tenta de résoudre cette question grâce a la relativité générale.
Le deuxième dimension. La seconde dimension ou 2D, désigne toute image conçue sur un plan et tout objet ne comportant que les dimensions de la longueur et de la largeur. Un objet en deux dimensions n'a pas de volume. En mathématique, on parle de géométrie plane.
Le continuum espace-temps comporte quatre dimensions : trois dimensions pour l'espace, « x », « y », et « z », et une pour le temps, « t ».
L'esprit se trouve dans notre cerveau, cela est nos pensées, nos réflexions, nos décisions, notre conscience.
Pour lui, la conscience est la possibilité pour tout homme de reconnaître le vrai, et surtout dans les domaines déterminants de son existence que sont la foi et la morale.
Sans Descartes, il n'y aurait donc pas eu en philosophie d'invention de la « conscience » (et avant elle de la « consciousness »), mais celle-ci n'est pas tant le fait de Descartes lui-même que le résultat des problèmes posés par l'interprétation de sa doctrine.
La conscience est « cette capacité de nous rapporter subjectivement nos propres états mentaux » ; Au sens moral, elle désigne la « capacité mentale à porter des jugements de valeur moraux […] sur des actes accomplis par soi ou par autrui ».
Cette conscience de soi l'homme l'acquiert de deux manières : Primo théoriquement, parce qu'il doit se pencher sur lui-même pour prendre conscience de tous les mouvements, replis, penchants du coeur humain et d'une manière générale se contempler, se représenter ce que la pensée peut lui assigner comme essence, enfin se ...