Dans un contexte au futur, l'emploi du futur antérieur est obligatoire après l'expression de temps « une fois que » : - Le joueur reprendra ses activités sportives une fois qu'il se sera remis de ses blessures.
On peut utiliser des outils subordonnants suivants : quand, lorsque, après que, dès que, une fois que, aussitôt que, sitôt que. En général, on emploie l'indicatif. Si le verbe de la principale est à un temps simple, celui de la subordonnée, marquant en fait une antériorité, est au temps composé correspondant.
À la différence de « avant que », et quoi que l'on pense souvent, « après que » doit être suivi d'un verbe à l'indicatif et non au subjonctif : Il fait toujours une sieste après qu'il a mangé. Mon grand-père faisait toujours une sieste après qu'il avait mangé.
Cependant, après les expressions de temps avec que (après que, pendant que, alors que, tandis que, etc), on utilise l'indicatif. Elle a téléphoné pendant que j'étais sortie.
"Que" introduit une subordonnée COD ou COI. Son verbe se met : - à l' indicatif: si le verbe de la principale exprime une opinion, une déclaration, une perception et quand le fait est considéré dans sa réalité (J'affirme qu'une hirondelle ne fait pas le printemps. Je crois que tu ne dors pas.
Lorsque le participe passé est encadré par deux "que", il est invariable si le premier "que", le pronom relatif (le second est une conjonction), est objet direct du verbe qui vient après le participe. L'air que j'ai entendu que vous chantiez. J'ai entendu quoi? que vous chantiez "que" = l'air.
Il faut écrire : Le garçon a rapidement ramassé la monnaie que j'avais laissée sur la table. Le complément d'objet direct (« que », mis pour « la monnaie ») est placé avant le participe passé : il faut en tenir compte et mettre ce dernier au féminin singulier.
Emploi du subjonctif après “que” : erreurs fréquentes
Il est vrai que le subjonctif est un mode généralement utilisé dans les subordonnées introduites par que. D'ailleurs, la structure la plus courante d'une phrase avec du subjonctif est la suivante : sujet + verbe introducteur + que + sujet + verbe au subjonctif.
Le subjonctif permet d'exprimer des faits qui ne sont pas certains. On l'emploie dans certaines propositions subordonnées. Alors que l'indicatif est le mode du réel, le subjonctif, lui, est le mode de l'éventuel, du possible.
De manière générale, le subjonctif présent se forme sur le radical de l'indicatif présent auquel il faut ajouter les terminaisons suivantes : -e, -es, -e, -ions, -iez, -ent. Par exemple, pour le verbe aimer : que j'aime, que tu aimes, qu'il/elle/on aime, que nous aimions, que vous aimiez, qu'ils/elles/eux aiment.
À la différence de avant que, qui implique une notion d'éventualité, après que, marquant que l'on considère le fait comme accompli, introduit une subordonnée dont le verbe doit être mis à l'indicatif. Je rentrerai après que la nuit sera tombée. Il est parti après que nous l'avons tous salué.
"Avant que" est toujours suivi du subjonctif. C'est logique puisque l'action qu'il annonce ne s'est pas encore déroulée quand se passe l'action de la principale. À l'écrit, on peut utiliser la négation "ne" même si elle n'est pas obligatoire : "Avant qu'il ne soit trop tard".
En dehors du plus-que-parfait, les grammaires enregistrent communément deux temps verbaux exprimant l'antériorité dans le passé : le passé antérieur et le passé surcomposé, qui sont toutefois d'un emploi beaucoup plus restreint que le plus-que-parfait.
Conjonctions de subordination qui marquent le temps : Quand, lorsque, alors que, pendant que, après que, tandis que, depuis que, aussitôt que, sitôt que, comme, dès que, tant que seront suivies de l'indicatif.
Pour une action antérieure à l'action principale, on utilise le plus-que-parfait. Pour une action postérieure à l'action principale, on utilise le conditionnel présent.
Le subjonctif est utilisé quand l'action est supposée, douteuse, désirée ou dépend d'un sentiment, d'un ordre aussi. Remarquons la conjonction que qui introduit le subjonctif dans les 3 phrases. Le conditionnel est utilisé quand l'action est soumise à une condition, à une hypothèse.
Il sert à exprimer une action incertaine, non réalisée au moment de l'énonciation. Le subjonctif imparfait a la même valeur que le subjonctif présent, mais il est employé dans un texte écrit au passé.
Il permet d'exprimer une hypothèse, un fait incertain, un souhait, une action envisagée, une envie, une émotion ou toute forme d'incertitude. Ex : J'aimerais que tu viennes (souhait). Pour peu qu'il soit malade, il ne viendra pas (hypothèse).
Il existe quatre temps du subjonctif : présent, passé, imparfait et plus-que-parfait.
Le subjonctif présent (ou le présent du subjonctif) est un temps de verbe simple qui fait partie du mode subjonctif. Il sert à exprimer une action incertaine, non réalisée au moment de l'énonciation.
On écrit "les pommes que j'ai mangées", mais on n'orthographie pas "les heures que j'ai passées". On note plutôt "les heures que j'ai passé" et on rédige aussi "le chat qui a mangé la souris".
L'accord du participe passé avec l'auxiliaire « être » L'accord du participe passé avec l'auxiliaire « avoir » L'accord du participe passé avec les verbes pronominaux. L'accord du participe passé avec un infinitif.
Quand le pronom relatif n'a pas d'antécédent, la relative est sujet (d) ou complément (e) du verbe de la principale. Le pronom relatif, contrairement à la conjonction de subordination, a toujours une fonction dans la relative.
«Employé avec l'auxiliaire avoir, le participe passé s'accorde en genre et en nombre avec le complément d'objet direct quand celui-ci le précède (les crêpes que j'ai mangées). Mais si le complément suit le participe, il reste invariable (j'ai mangé les crêpes).»