- Pour la robe, employer du satin lourd ou du velours, pour la platine, choisir un tissu plus riche : broché, damassé, brodé (voir dans les tissus d'ameublement). La fourrure doit imiter celle de petits animaux : renard, martre, hermine etc...
A retenir : au Moyen Age, les tissus étaient unis et colorés plutôt en lin ou en laine ; bannir les gros motifs et les trames contemporaines. Prévoir environ 3m de tissus en 1.5 m de large pour réaliser un costume simple, et jusqu'à 5 m pour une robe à grandes manches et à soufflets par exemple.
La robe traditionnelle s'appelle la coule. Par dessus, les frères portaient une longue tunique. Une pièce rectangulaire noire, serrée par une ceinture, servait également de tablier de travail. On l'appelait le scapulaire.
Pour coudre une robe fluide, privilégiez un tissu fin et fluide comme la mousseline ou la viscose. Pour coudre une robe droite, privilégiez un tissu de poids moyen avec de la tenue comme une popeline de coton, un denim ou encore une gabardine.
Les tissus qui contiennent de la viscose comme la popeline ou le twill par exemple seront parfaitement adaptés à vos envies. Toutes les formes de tissus crêpe sont également une bonne option. Pour un look remarquable et élégant, le satin léger ou la soie seront vos meilleurs alliés.
Très tendance, le tulle est un voile transparent, mat et très volumineux. Remis au goût du jour par les créateurs, il est souvent utilisé pour des robes princesse ou pour les crinolines. Il permet une sensation de légèreté et un style vaporeux sublime.
Les femmes portaient une robe. Ce mot désignait l'ensemble du vêtement féminin. Les femmes du peuple portaient une cotte sans manches ou à manches courtes (rallongées en hiver par laçage ou épinglage) sur leur chemise.
Vers le XIIe siècle, les femmes nobles, portent des robes près du corps avec de larges manches, parées d'une ceinture large et longue marquant la taille, se croisant dans le dos pour se nouer devant.
Le corps de jupe et le bas de jupe sont toujours de couleurs claires et à motifs alors que la robe (par-dessus la jupe) est noire. Celle-ci possède des mancherons fendus et noués au coude sur la manche du corps. La robe s'ouvre sur la jupe ou cotte. Cette dernière est parfois relevée sur la cotte de dessous.
Sur une feuille cartonnée noire dessinez à main levée une forme de bouclier, légèrement arrondi sur le dessus, le bas se termine en triangle arrondi et les côtés plutôt droits. Découpez votre bouclier, puis coupez 2 bandes dans une feuille cartonnée de couleur et collez-les en forme de croix sur le bouclier.
Chaque jour, le paysan enfile ses braies : culotte des hommes du Moyen Age, sa tunique, puis passe une cape de laine ou de lin. Pendant la saison froide, il ne sort jamais sans son chaperon : sorte de cagoule, et ses houseaux : longues chaussures souples, lacées, qui protègent les jambes de la boue et de la pluie.
Ces draps semblent n'avoir été, jusqu'au XIVe siècle, qu'une pièce d'étoffe recouvrant les parties latérales de la châsse ou bière ; plus tard, ils furent composés de pièces cousues et enveloppant la bière tout entière comme une housse, ainsi que le fait voir la fig.
Tout commence à la préhistoire – 10 000ans avant J-C en Asie Mineure. Le mouton est utilisé pour la nourriture, le vêtement et l'abri. Avant l'invention des cisailles – probablement pendant l'âge du fer – la laine est arrachée à la main ou par des peignes en bronze. En 2 500 av.
Les chaussures au Moyen-âge sont très raffinées pour les nobles et sont confectionnées en cuir très souple. La poulaine est, au XVème, la chaussure de préférence pour les classes supérieures. De forme allongée et pointue, elles pouvaient mesurer jusqu'à 50 cm, selon la classe sociale.
Les chevaliers portaient l'armure, un haubert, une cotte de mailles (une sorte de tunique faite d'une multitude de petits anneaux de fer). Les paysans fabriquent leur vêtements eux-même avec du lin, de la laine ou du chanvre. Les nobles et les riches s'abillaient avec des tissus de meilleure qualité.
La chappe est la cape ou manteau de couronnement dont était revêtu le futur monarque au cours du sacre des rois de France. Un nouveau manteau était créé à l'occasion de chaque couronnement.
Aujourd'hui, la plupart des femmes ont adopté le pantalon comme une base fiable et sécurisante de leur tenue. Porter une robe est donc une manière de s'affirmer, de se mettre en valeur et d'être pleinement féminine.
Les nobles s'habillaient avec des collants, des tuniques et des vêtements qui étaient plus coûteux, comme de la fourrure (par exemple de la fourrure d'hermine) ou de la soie, et des teintures chères.
La coule, aussi appelée cuculle (du latin cucullus), est un vêtement à capuchon porté par les moines.
Le jupon
Comment s'assurer que le volume de sa jupe princesse ne va pas s'affaisser au cours de la journée ? Grâce à un jupon bien sûr ! À l'image des robes d'autrefois les créateurs ont encore aujourd'hui recours à l'astuce d'un jupon ou crinoline que l'on vient glisser sous la robe pour en faire gonfler la jupe.
Vous utiliser des vêtements que vous avez déjà : robe, jupe, pantalon bouffant, tunique, paréo, tutu de danse… Associez-les pour créer un ensemble coloré et cohérent. Précisez-leur qu'une princesse peut porter les teintes de son choix et qu'elle n'est pas cantonnée au rose.
Ajoutez un ruban.
Découpez un ruban en satin de 8 m de longueur et 2 cm de largeur. Pliez-le autour du bord inférieur de la bande de tulle de 8 m et épinglez-le en place. Cousez-le au tissu en cousant aussi près que possible du bord. Faites des points droits et utilisez du fil assorti au ruban.
La popeline est plus robuste et plus durable que le coton à courtepointe. Elle ne se déformera pas et ne boulochera pas au fil du temps. Facile d'entretien, vous pourrez laver ce tissu et le sécher en machines. La popeline froisse moins que le coton à courtepointe au lavage, mais il vous faudra malgré tout la repasser.