Le risque de cancer du sein augmente avec chaque unité d'alcool consommée par jour.
Des études de référence attribuent 17% des cancers du sein à la consommation d'alcool régulière, même modérée.
En moyenne, le corps élimine de 0,1 à 0,15‰ par heure. L'alcool est éliminé en majeure partie par le foie. Jusqu'à 10% environ de l'alcool peut être éliminé par les poumons, les reins et la peau. L'élimination de l'alcool par le foie se fait grâce à différentes enzymes.
Saviez-vous? La consommation d'alcool augmente votre risque de cancer de la tête ou du cou, du sein, du côlon ou du rectum, de l'œsophage, du foie, de l'estomac et du pancréas.
Le foie est la cible principale des effets toxiques de l'alcool. Plusieurs maladies hépatiques peuvent être provoquées par la consommation excessive d'alcool : stéatose (accumulation de lipides dans le foie), hépatite alcoolique, cirrhose.
Alcool et ADN
Cette substance endommage les chromosomes et détériore les brins d'ADN, ce qui peut provoquer des lésions cancéreuses sur plusieurs zones du corps humain, comme le sein. Ce type de perturbations peut advenir même en présence d'une consommation modérée d'alcool.
Premier signal d'alarme : la peau qui tire, est sèche et/ou gonflée avec des rougeurs. Chez certaines personnes, la réaction cutanée est encore plus forte et peut prendre la forme d'un eczéma et de couperose.
Selon un rapport de l'OCDE, la consommation excessive d'alcool fait perdre 1 an d'espérance de vie en moyenne, en raison des maladies et accidents qu'elle cause.
Symptômes de l'intolérance à l'alcool
Douleurs abdominales, diarrhées. Flush au visage (rougeur subite), bouffées de chaleur, sueurs, sensations thermiques perturbées. Urticaire et démangeaisons des extrémités (mains, pieds, oreilles), du torse, des fesses et des cuisses.
Après 20 minutes, l'alcool atteint le foie par l'intermédiaire de sang. Le foie commence à l'assimiler. C'est le foie qui traite en majorité l'alcool, à savoir à 95 %. Les 5 % restants finissent dans les urines, la sueur et l'haleine.
Les dimensions de personnalité les plus souvent associées à l'alcoolodépendance sont la recherche de sensations, la personnalité antisociale et la recherche de nouveautés. La recherche de sensations apparaît comme un déterminant particulièrement important.
Le tabagisme, la consommation d'alcool, une mauvaise alimentation, un manque d'activité physique et la pollution de l'air sont autant de facteurs de risque de cancer (et d'autres maladies non transmissibles).
La perte de collagène entraîne immédiatement une augmentation des rides, un relâchement de la peau et un vieillissement général. Inutile d'insister sur le fait que l'effet de l'alcool sur le processus de vieillissement est très profond.
Symptômes supplémentaires : transpiration importante, accélération du pouls, parfois hyperventilation et hypertension. La personne peut également présenter une forte agitation, de l'irritabilité, avoir des troubles du sommeil, des cauchemars, des angoisses et présenter une humeur dépressive.
Heureusement, il y a de bonnes nouvelles. Chez les personnes souffrant de stéatose hépatique, après seulement deux à trois semaines d'arrêt de consommation d'alcool, le foie peut guérir et semble fonctionner aussi bien que s'il était tout neuf.
Faire une cure à jeun chaque jour, avec un mélange d'huile d'olive et de citron, à raison du jus d'un quart de citron pour une cuillère d'huile d'olive. Attendre 30 minutes puis boire un verre d'eau tiède. Prendre le petit-déjeuner ensuite. A renouveler pendant 3 semaines.
La carence en vitamine B6 peut également favoriser les convulsions en période de sevrage. La prise des vitamines B1 B6 permet de combler ces carences, de prévenir le risque de convulsions et de soutenir le fonctionnement du foie.
On distingue : Les facteurs de risque lié à l'âge. En effet, près de 80% des cancers du sein se développent après 50 ans. Les facteurs de risque liés à nos modes de vie tels que la consommation d'alcool et de tabac, un surpoids ou encore pas ou peu d'activité physique peuvent favoriser l'apparition d'un cancer du sein.
La génétique
L'histoire familiale de cancer du sein représente un facteur de risque important. L'augmentation du risque associée aux antécédents familiaux peut être le fait de facteurs génétiques héréditaires mais également lié au partage d'un même mode de vie et facteurs environnementaux.
Ils ont découvert qu'une consommation modérée de vin blanc faisait augmenter le risque de cancer de la prostate de 26%. Quant à la consommation modérée de vin rouge, elle n'est pas apparue comme un facteur significatif d'augmentation du risque.