En tant que vin non-sucré, le vin blanc sec est également peu calorique. Il contient « seulement » 86 kcal pour 100 ml, ce qui fait environ 107 kcal dans un verre au format standard (12,5 cl). Parmi les vins blancs secs, on compte des vins comme le Riesling, le Chablis ou encore le Muscadet.
N°1 du vin blanc moelleux – LE SAUTERNES
Il relève d'un assemblage de plusieurs cépages : Sauvignon Blanc, Muscadelle et le Sémillon. Sa typicité repose sur un gentil champignon connu sous le nom de 'pourriture noble' ou 'botrytis', qui lui confère de la douceur. C'est pour cela qu'il plait tant.
Le vin rouge ne possède pas de sucre en tant que tel. En revanche, l'alcool présent a un effet calorique.
Selon une nouvelle étude de l'Université Ben Gourion du Néguev (Israël), un verre de vin chaque soir serait bénéfique au cholestérol et au cœur des personnes souffrant de diabète de type 2. Une bonne nouvelle n'arrivant jamais seule, le rouge mais aussi le blanc, seraient tout aussi bons pour réguler votre glycémie.
Le vin rouge a des vertus santé que le blanc ou le rosé n'ont pas. On parle souvent des antioxydants qui contribuent à la prévention de certaines maladies cardio-vasculaires.
Un vin moelleux se dit d'un vin dont la teneur en sucre est de 10 à 45 grammes par litre. En-dessous de cette proportion, on parle alors d'un vin sec (soit non sucré) ou demi-sec (légèrement sucré). Et au-delà des 45 grammes, le vin rentre dans la catégorie des vins liquoreux.
Le pastis. Roi de la pétanque et du soleil, c'est aussi et surtout le roi du sucre. Avec 274 calories pour 100 ml, il se situe en haut du classement des alcools les plus caloriques.
Le Chardonnay sec, ou même doux, est un vin largement apprécié. Lorsqu'il atteint un taux d'alcool élevé, il peut avoir un goût légèrement sucré, mais c'est sa variante sèche qui reste la plus populaire.
Le vin rosé contient légèrement plus de calories que le vin blanc et le vin rouge. En moyenne, un verre de vin rosé sec représente 90 calories. Si vous choisissez un vin rosé doux alors ce chiffre augmente encore.
L'alcool peut aussi faire baisser le taux de sucre (hypoglycémie), parce qu'il empêche le foie de produire du sucre quand les aliments n'en fournissent pas suffisamment. Ce phénomène risque de se produire si l'alcool est consommé seul, en apéritif par exemple.
0,2 g de sucres pour un vin rouge, 0,6 g pour un vin blanc sec, 2,5 g pour un vin rosé, 5,9 g pour un vin blanc doux.
Choisissez alors un vin jeune et suave aux notes de fruits rouges : un gamay, un cabernet ou un cabernet sauvignon. Nous vous conseillons de tester l'alliance avec un Maury (vin doux natruel, muté, du vignoble du Languedoc-Roussillon), par exemple le Maury vintage 2008 du Mas Amiel.
Il faut également distinguer la teneur en sucre selon le type de vin : de 0 à 4 g pour un litre de vin sec ; de 4,1 à 12 g par litre d'un demi-sec ; de 12,1 à 50 g pour un litre de vin demi-doux et plus de 50 g/l pour le vin doux.
Les mots du gewurztraminer
En bouche, le gewurztraminer est habituellement sec (avec peu de sucres résiduels : moins de 5 grammes par litre), demi-sec (avec un peu plus de résiduel : jusqu'à 12 grammes par litre), très fruité, généreux et corsé.
Celle qui cumule le plus de mauvais points est sans aucun doute la bière qui possède un fort index glycémique. Or, le sucre est stocké sous forme de graisses dans l'organisme, d'où l'expression « ventre à bière ». En outre, la bière contient du dioxyde de carbone qui provoque des gaz et des ballonnements.
Comme toutes les boissons alcoolisées, le vin blanc est calorique et fait donc grossir s'il n'est pas consommé de manière raisonnable et occasionnelle. Il est de notoriété publique cependant que l'alcool qui ferait le moins grossir serait le cidre.
Les plus grandes différences entre Sauvignon Blanc et Chardonnay sont dans le verre. Les arômes et les arômes sont très différents. Bien que fruité, Sauvignon Blanc a plus de notes d'agrumes et Chardonnay a plus de caractéristiques de fruits d'arbre.
Sucré (vin sucré) vinification : vin sucré désigne ce qu'on appelle les demi-sec, les moelleux, les doux ou liquoreux, en fonction de la concentration de chaque vin en sucre résiduel.
Chez le diabétique, une consommation modérée, au cours d'un repas, de vin rouge ou blanc sec n'a pas d'impact négatif, à court terme, sur l'équilibre glycémique : ni sur la glycémie post-prandiale, ni basale1.
Le vin s'est avéré moins délétère pour le foie que la bière et les alcools forts. Ainsi, chez les hommes qui buvaient principalement du vin, le risque de cirrhose était 1,2 fois supérieur pour une consommation de 14 à 28 boissons par semaine par rapport à une consommation de moins de 14 boissons par semaine.