Une alimentation riche en soja réduirait le taux de PSA de 14% (10). Le soja contient des polyphénols (génistéine, famille des isoflavones) qui ont un rôle antioxydant et oestrogénisant. Le tofu, les boissons et yaourts au soja en sont riches.
Les hommes devraient manger des tomates le plus souvent possible. Elles contiennent beaucoup de lycopène, une substance qui protège les cellules prostatiques. La pastèque, les poivrons, les piments, églantiers, papayes et abricots sont de bonnes sources de lycopène également.
Choisissez bien votre apport en protéine
Les protéines maigres contenues dans le poulet, le poisson et le soja sont, dans un premier temps, bénéfiques pour le système cardiovasculaire car elles protègent contre les maladies cardiaques, mais aussi pour la santé de la prostate en diminuant le taux de PSA.
Les plus utilisés sont le prunier d'Afrique (Pygeum africanum), le palmier de Floride ( Serenoa repens), les pépins de courge (Cucurbita Pepo) ou les extraits d'ortie (urtica dioica).
Le taux d'APS varie selon l'âge. Si vous avez une prostate, votre taux d'APS augmente naturellement alors que vous vieillissez. Mais le taux peut monter ou baisser pour de nombreuses raisons. La plupart des laboratoires considèrent qu'un taux normal d'APS est d'environ 4 ng/ml.
Pour cause, de nombreuses pathologies peuvent provoquer une augmentation du taux de PSA (par exemple une rétention d'urine ou une infection urinaire), ce qui induit la survenue de nombreux faux positifs. Il n'est donc pas considéré comme un outil de dépistage fiable.
Vivre avec / après une hyperplasie bénigne de la prostate
Il est recommandé de boire (environ 1,5 litres à 2 litres par jour) pour éviter la formation de caillots dans la vessie.
Manger plus de légumes peut aider à réduire votre risque d'hypertrophie de la prostate. Les bons choix alimentaires pour la santé de la prostate incluent: les graines de sésame, le saumon, le tofu, les poivrons, les tomates, les avocats, les légumes verts, les oignons et l'ail.
En effet, s'il est important de boire en quantité suffisante pour éviter les infections de la prostate, il faut éviter les boissons comme le thé, le café et le vin blanc, qui ont des effets diurétiques et qui poussent donc à uriner davantage.
PSA compris entre 4 et 10
Si le PSA est entre 4 et 10 ng /ml : c'est dans cette tranche là que l'on dépiste les maladies que l'on peut guérir.
Une alimentation riche en soja réduirait le taux de PSA de 14% (10). Le soja contient des polyphénols (génistéine, famille des isoflavones) qui ont un rôle antioxydant et oestrogénisant. Le tofu, les boissons et yaourts au soja en sont riches.
Chez l'homme de moins de 60 ans, un taux de PSA inférieur à 4 ng/mL est considéré comme normal. Au-delà de cet âge, et chaque année, le taux de PSA augmente de 0,04 ng/mL. Après 70 ans, un taux de PSA de moins de 6,5 ng/mL est considéré comme normal.
La consommation quotidienne de noix permet notamment de limiter les risques de cancer de la prostate et du sein. En effet, certaines études montrent que les noix réduisent de 30% à 40% la croissance du cancer de la prostate et de 50% les risques de cancer du sein.
Autre légume vert populaire, la tomate, qui elle permettrait de réduire le risque de développer un cancer de la prostate et réduirait par la même occasion le grossissement de la prostate lorsqu'elle est atteinte d'HBP (d'hypertrophie de la prostate).
Le citron, riche en flavonoïdes, favorise le bien-être de la prostate. Grâce à ses effets anti-inflammatoires, cet agrume ralentit la production de cellules cancéreuses au niveau de la prostate et permet de prévenir le cancer éponyme. Évidemment, le citron n'est pas un traitement en soi.
Par exemple, le cyclisme est une excellente forme d'exercice, mais passer plusieurs heures assis sur un siège dur peut aggraver une prostate déjà douloureuse. Un siège de vélo adapté aux problèmes de prostate ou un vélo à position allongée peut aider à corriger ce problème.
Le chocolat est-il bon pour la prostate ? La réponse est non. Le chocolat aggrave les symptômes de l'adénome de la prostate. Il faut savoir que les fèves de cacao présentent une teneur élevée de théobromine, un composé alcaloïde à l'effet stimulant à l'instar de la caféine.
Derrière cet acronyme, l'oxyde de triméthylamine, un composé produit par le foie à partir notamment de la choline, une molécule présente dans le jaune d'œuf. Tout sauf anodin, il serait impliqué dans l'apparition de maladies cardiovasculaires et de cancers, notamment ceux de la prostate et du côlon.
Pratiquer une activité physique régulière
L'exercice physique régulier est bénéfique pour la santé de la prostate. Des études ont montré que l'activité physique peut aider à réduire le risque de développer une HBP. Des exercices tels que la marche, la natation et le vélo peuvent être particulièrement bénéfiques.
Des vertus incroyables
Une consommation régulière permettrait selon plusieurs études de prévenir les risques de cancer de la vésicule biliaire, de la prostate et du sein.
L'épilobe est une plante naturelle également idéale pour combattre l'adénome de la prostate en limitant la fréquence des mictions et en augmentant le débit urinaire. Il s'agit d'un excellent anti-inflammatoire contribuant au bon fonctionnement du système urinaire et de la prostate.
Du riz et des légumes pour diminuer le risque de cancer
Certaines études ont montré effectivement que le sélénium, par exemple, qu'on retrouve dans le riz ou le blé complet peut améliorer – enfin, en tout cas diminuer – le risque de cancer de prostate. Mais encore une fois, c'est à prendre avec précaution.
Le cancer de la prostate ne provoque pas de symptômes au début de son évolution. Des troubles urinaires peuvent ensuite apparaître. Deux examens permettent de suspecter un cancer de la prostate : le toucher rectal et le dosage des PSA dans le sang.
En fait, le sucre ne favorise pas seulement le cancer de la prostate. Il participe au développement de la plupart des cellules cancéreuses en leur apportant leur énergie. Quand on ingère du sucre raffiné, dont l'index glycémique est élevé, l'organisme répond en produisant de l'insuline pour l'assimiler.
Par exemple, un PSA à 4 ng se situe à la limite de normalité pour la tranche d'âge 60-65 ans, mais ce même taux chez un patient de 50 ans doit faire discuter une biopsie.