Bleu foncé, bleu clair, bleu ciel, bleu marine ou autre, les nuances ne manquent pas. Le gris reste une option intéressante d'ailleurs. Cette couleur est tout simplement synonyme d'élégance et de sobriété.
La première se réfère à la couleur verte des moisissures qui pouvaient attaquer les bois des voiliers, donc très dangereuses pour leur décomposition et, par conséquent, le naufrage du navire.
Le sujet fait globalement l'unanimité sur les forums, le blanc serait la couleur la moins salissante sur l'eau. Cette affirmation peut s'entendre pour les auréoles de sel résultant d'une navigation en mer mais semble plus étonnante pour les autres sources de salissure.
Le vent debout, vent qui souffle directement sur l'étrave n'est pas une allure dans la mesure où le voilier ne peut pas progresser. Cet angle dans lequel le voilier est face au vent mesure entre 30° et 45° (30° pour les voiliers de course les plus performants et 45° pour les voiliers de croisière).
La plupart des voiliers sont blancs parce que les bateaux peuvent devenir chauds à l'intérieur, et le blanc permet de garder les voiliers plus frais que la plupart des autres couleurs.
Étant le meilleur réflecteur et le pire absorbeur dans le spectre de couleurs, les extérieurs de couleur blanche empêchent le navire de chauffer, réduisant ainsi la charge sur les systèmes de climatisation. Les bateaux de croisière et les yachts naviguent principalement dans des climats tropicaux comme les Caraïbes.
Conseillé pour : bateaux à moteurs ou tous types de bateaux stationnés dans du courant ou dans des ports à échouage. Couleurs : blanc, gris, vert lagon, vert janneau, bleu roi, bleu, marine, rouge, noir. Nombre de couches recommandées : une couche lors de l'entretien annuel.
Pour freiner, à l'inverse, il ne faut pas que les voiles soient gonflées. Deux solutions : Vous êtes sur une allure de près vous pouvez ouvrir (choquer) les voiles en grand. Elles vont faseyer et ne porteront plus ce qui arrêtera le bateau.
La solution consiste à choquer l'écoute et le hale-bas de grand-voile en grand et à « pomper » sur la barre pour abattre. Lorsque le bateau repart, veillez à vite compenser à la barre et à l'écoute sous peine de finir à l'abattée dans le mouvement inverse.
C'est pour cette raison que la mode est aux doubles barres à roue (une à tribord et une à bâbord). Elles permettent de libérer l'accès à la mer et facilitent la circulation du cockpit (en étant renvoyées vers l'arrière) .
L'oxyde de cuivre a une teinte rougeâtre, donnant ainsi à la peinture sa couleur rouge très célèbre. C'est pourquoi les navires sont peints en rouge sous la coque.
Remplissez un spray d'eau et mouillez toute la section et le disque de ponçage aussi. Commencez à poncer avec un disque de ponçage et un papier abrasif à l'eau fin de 800. Utilisez ensuite un papier 1200 et terminez avec un papier fin 2000.
Entretien d'un gelcoat encore brillant
Rien de compliqué, un simple nettoyage avec un produit au savon de Marseille ou au savon noir suffit. Cela permet de dégraisser et nettoyer la coque pour lui redonner son éclat.
Les bananes portent malheur sur un bateau de pêche
C'est d'ailleurs le cas de cette croyance qui soutient qu'avoir une banane à bord de votre embarcation pourrait nuire à vos succès de pêche. Ce qui est encore plus frappant avec ce mythe, c'est qu'il fait presque l'unanimité auprès des pêcheurs.
Sur un bateau, on ne dit jamais, les mots "corde" et "lapin". Pour "corde", dites plutôt “bout” (en prononçant le "t"). Vous pouvez aussi dire “écoute”, "filin", manœuvres… C'est plus précis que “cordes” car, de fait, des cordes, on en trouve vite beaucoup sur un voilier.
Pour ceux qui cet été vont monter sur un bateau pendant les vacances, il est commun que dire le mot “lapin” à bord d'un bateau porte malheur, mais pourquoi ?
L'objectif de l'empannage est d'optimiser le réglage des voiles, au grand largue, en modifiant son cap. Pour cela, l'équipage fait passer la bôme d'un bord à l'autre. Cela permettra de conserver un vent bien établi dans les voiles, tout en conservant sa route. mais attention, un empannage peut être dangereux.
Un voilier en route a une tendance naturelle, lorsque sa vitesse augmente, à partir « au lof » ou « à l'auloffée », c'est-à-dire de remonter vers le vent. On dit alors qu'il est « ardent ».
Choquer revient à laisser filer doucement une manœuvre qui permet le réglage des voiles (les écoutes). "Choque le foc" revient laisser un peu de mou dans l'écoute de foc. Quand on choque, on donne du mou. Attention, à ne pas confondre avec "larguer" qui lui signifie qu'on lâche toute la tension d'un coup.
- Le grand largue : l'axe entre le bateau et le vent est approximativement compris entre 120 et 170 degrés. C'est l'allure la plus rapide car la force du vent s'exerce au maximum dans l'axe du bateau.
Les voiliers peuvent se renverser, bien que ce soit rare parmi les quillards. Les dériveurs peuvent se renverser facilement, selon l'expérience et les conditions.
La plupart des voiliers naviguent à une vitesse de 4 à 6 nœuds (4,5 à 7 mph), avec une vitesse maximale de 7 nœuds (8 mph ou 13 km/h).
Une housse de protection de coque pour éviter l'antifouling et le carénage. La housse de coque K-Ren est la nouvelle solution pour éviter le carénage. Après chaque nouvelle installation, le film gras est enlevé, il n'y a pas de micro-organismes sur la coque. Les antifoulings, si polluants, ne sont plus nécessaires.
Antifouling à matrice érodable
Ce type d'antifouling est extrêmement efficace laissant une carène parfaitement lisse. Idéals pour les voiliers de régate ou amateur de sensation de glisse lors de la navigation.
L'Antifouling autopolissant – le choix durable
Ce produit est destiné aux bateaux restant en mer toute l'année ou ceux à moteur allant jusqu'à 40 nœuds. Il est fortement conseillé d'appliquer une couche épaisse si vous souhaitez conserver votre antifouling jusqu'à 2 ans, ou plus en conditions normales.