La désomorphine ou drogue "crocodile" : ce produit de synthèse qui abîme la peau. La drogue "crocodile" (ou "krokodil") est considérée comme "la drogue la plus dangereuse au monde" : elle réduit l'espérance de vie de ses consommateurs à trois ans.
Une fois fixées sur la glande sébacée, ces drogues peuvent augmenter excessivement la production du sébum (graisse de la peau), responsable en partie de l'acné. De la même manière les kératinocytes qui constituent notre barrière cutanée vont être modifiés, ce qui peut contribuer à la formation des fameux points noirs.
La prise de MDMA peut avoir pour effet notamment d'entraîner une crispation de votre mâchoire qui peut faire apparaître ce qui ressemble à des boules et éventuellement déformer légèrement votre bouche. Il y a peut-être eu aussi de votre part un "grossissement" du phénomène.
Cependant, certains témoignages ont fait le lien entre la consommation à long terme d'amphétamines et un amaigrissement, un affaiblissement, une décalcification des os, une acné majeure, etc.…
11 L'utilisation prolongée de cocaïne peut développer un prurit particulier assez caractéristique de la substance, donnant l'impression que «des fourmis marchent sous la peau». Si le patient cocaïnomane présente, en plus de son addiction, une psychose, les hallucinations cénesthésiques peuvent être plus graves.
D'autre part, des usures au collet des dents peuvent découler de la consommation de cocaïne et particulièrement de crack soit par son application au contact des dents, soit par les brossages intempestifs très vigoureux décrits lors des situations de manque ou lors des hallucinations sensorielles de type fourmillement.
- Les amphétamines sont des psychostimulants et des anorexigènes (coupe l'appétit) puissants. Très toxiques et entraînant une forte dépendance psychique, ils se présentent généralement sous la forme de poudre à sniffer ou de comprimés à avaler.
Les effets recherchés lors de la consommation d'une drogue ou d'un médicament psychotrope varient en fonction de chacun, mais sont notamment d'ordre anxiolytique (euphorie, bien-être, apaisement…), stimulant (toute-puissance, disparition de la fatigue, indifférence à la douleur…), ou encore hallucinatoires ( ...
La consommation de MDMA est souvent associée un effort physique prolongé comme la danse dans les milieux festifs. C'est pourquoi il est très important de bien penser à s'hydrater régulièrement en buvant de l'eau et en gardant une bouteille avec soi, même si la sensation de soif n'est pas présente.
Le classement final (méfaits cumulés) est : 1) alcool ; 2) héroïne et 3) cocaïne crack. Le tabac se trouve à la sixième place, le cannabis à la huitième.
difficultés de concentration. troubles du sommeil. anxiété importante avec parfois des attaques de panique. maux de tête, des vertiges.
Injecter, fumer, sniffer, inhaler ou ingérer sont autant de manières de consommer les drogues. Chacun de ces modes de consommation présente des risques spécifiques : risques de surdose, risques d'infection, de transmission de virus (VIH, hépatite C), de blessures ou coupures, de maladies respiratoires…
Le THC (tétrahydrocannabinol) présent dans la plante baisse la tension artérielle, provoquant une dilatation des vaisseaux sanguins et une augmentation de la circulation sanguine. Les vaisseaux sanguins du corps et des yeux gonflent alors et la rougeur apparaît.
Les drogues peuvent être injectées dans une veine (voie intraveineuse), un muscle (voie intramusculaire) ou sous la peau (voie sous-cutanée).
Un sevrage ambulatoire ou hospitalier peut être mis en place mais aussi une réflexion sur la place que la drogue a pris dans votre vie et les raisons ayant entrainé cette consommation. Une prise en charge globale est essentielle, la consommation de drogue n'étant jamais un problème isolé dans la vie d'une personne.
Sur le plan pharmacologique, il existe des traitements de substitution, qui aident au sevrage de différentes substances psychoactives : cigarette électronique ; substituts nicotiniques ; médicaments dits « addictolytiques » tels que le baclofène, utilisé pour réduire la consommation d'alcool.
L'objectif peut être de s'échapper de la réalité. La drogue est utilisée comme un anesthésiant des pensées, des sentiments, des émotions, de la souffrance. Les usagers disent souvent qu'ils utilisent la drogue pour « oublier » ou pour « décompresser ».
Le GHB est un dépresseur du système nerveux central qui cause la somnolence et réduit le rythme cardiaque. Il sert à traiter les troubles du sommeil, mais peut être dangereux en cas d'abus.
Habituellement, ils sont censés envoyer un message de faim au cerveau quand l'organisme est en manque. Autrement dit, ce sont ces cellules nerveuses qui contrôlent notre appétit. Mais avec le cannabis, les neurones POMC sont troublés. Avec la marijuana, ils envoient un message de faim, même quand l'organisme est repu.
Ayant été prouvé comme étant bien plus qu'une légende urbaine, la bouche pâteuse est le résultat de l'action des cannabinoïdes du cannabis sur le système nerveux de l'organisme. Connue sous le nom de «xérostomie» chez les scientifiques, la bouche sèche est principalement causée par l'anandamide, un cannabinoïde.
On dit de quelqu'un qu'il est dépendant lorsqu'il consomme de la cocaïne entre 3 à 5 fois par semaine avec 2 à 3 jours de break entre les prises. Kelly: Pourquoi devient-on accro à la cocaïne dès la première prise?
Dépendance psychologique
Excepté les opiacés, famille de drogues dont fait partie l'héroïne, le sevrage de drogues est plus difficile sur le plan psychologique, puisque c'est à ce niveau que l'addiction se crée.
Les signes de manque apparaissent le plus souvent dès l'arrêt, leur intensité est maximale pendant les trois premiers jours, ils diminuent ensuite pendant trois semaines en moyenne et disparaissent généralement après 6 à 8 semaines en fonction de l'importance de votre dépendance.