Utilisez char quand les tailles des entrées de données de la colonne sont cohérentes. Utilisez varchar quand les tailles des entrées de données de la colonne varient considérablement.
VARCHAR et VARCHAR2 se comportent exactement de la même façon pour le moment (comme le type standard VARCHAR ) ; mais Oracle prévoit éventuellement d'utiliser différemment VARCHAR dans le futur.
La prise en charge des colonnes de longueur variable (VARCHAR ou VARGRAPHIC) permet de définir un nombre quelconque de colonnes dans une table en tant que longueur variable. Si vous utilisez la prise en charge de VARCHAR ou VARGRAPHIC, la taille d'une table peut généralement être réduite.
Le varchar (issu de l'anglais variable character field) est un type de données utilisé par les systèmes de gestion de base de données (SGBD) pour allouer de l'espace mémoire dynamiquement aux chaînes de caractères stockées, c'est-à-dire sans allouer une quantité immuable de mémoire.
Exemple d'utilisation : char chaine[10] = « salut » ; On peut se contenter d'écrire : char chaine[] = « salut » ; Le compilateur réservera un espace de 6 octets (1 char = 1 octet) pour stocker la chaîne (6, et non pas 5 ! Pensez au ”\0' de fin œ que le compilateur n'oublie pas.)
Les types smallint, integer et bigint stockent des nombres entiers, c'est-à-dire sans décimale, de différentes étendues. Toute tentative d'y stocker une valeur en dehors de l'échelle produit une erreur.
MySQL DATETIME : cette option enregistre la date et l'heure au format « AAAA-MM-JJ HH:MI:SS », avec des valeurs pouvant aller de « 1000-01-01 00:00:00 » à « 9999-12-31 23:59:59 ».
Il existe principalement deux méthodes d'ajout des enregistrements à une table. La première consiste à ajouter un enregistrement à la fois ; la deuxième consiste à ajouter plusieurs enregistrements à la fois. Dans les deux cas, vous utilisez l'instruction SQL INSERT INTO pour exécuter la tâche.
Le format littéral de chaîne par défaut, utilisé pour les clients de bas niveau, respecte le format standard SQL, défini comme yyyy-MM-dd . Ce format est le même que la définition ISO 8601 pour DATE . Pour Informatica, la plage se limite à 1582-10-15 (15 octobre 1582 CE) à 9999-12-31 (31 décembre 9999 CE).
SQL MIN() La fonction d'agrégation MIN() de SQL permet de retourner la plus petite valeur d'une colonne sélectionnée.
Sous SQL Server, la donction DATEDIFF s'utilise un peu différemment. La fonction doit respecter la syntaxe suivante : SELECT DATEDIFF( type_limite, date1, date2 ); Le paramètre “type_limite” permet de spécifier si le résultat doit être exprimé en jour, semaine, mois, année …
Pour modifier le type de données ou la taille d'un champ, utilisez la clause ALTER COLUMN en indiquant le nom du champ, le type de données souhaité et la taille voulue du type de données, le cas échéant. Si vous souhaitez modifier le nom d'un champ, vous devez supprimer le champ, puis le recréer.
Mais à l'intérieur de ces colonnes, il peut y avoir des lignes en double. Pour éviter cela, vous devez ajouter DISTINCT à la requête SELECT. Ce faisant, toutes les redondances sont éliminées. Vous pouvez utiliser cette commande sur une seule colonne ou sur un ensemble de colonnes liées.
La commande UNION de SQL permet de mettre bout-à-bout les résultats de plusieurs requêtes utilisant elles-même la commande SELECT. C'est donc une commande qui permet de concaténer les résultats de 2 requêtes ou plus.
Dans l'onglet Conception du groupe Requête, cliquez sur Union. Access masque la fenêtre de création de requête et affiche l'onglet Mode SQL de l'objet. À ce stade, l'onglet Mode SQL de l'objet est vide. Cliquez sur l'onglet de la première requête Sélection à combiner à la requête Union.
Pour comparer deux tables en utilisant un champ en tant que critère, vous devez créer une requête Sélection qui inclut les deux tables. Vous devez ensuite inclure les champs que vous souhaitez afficher, plus le champ qui correspond au champ que vous voulez utiliser en tant que critère.
La commande SQL BETWEEN
En SQL, lorsque l'on souhaite sélectionner un ensemble de données compris dans un intervalle, on utilise l'opérateur BETWEEN en combinaison avec la clause WHERE. Les données dans l'intervalle peuvent être des dates, des nombres ou des chaînes de caractères.
La commande UPDATE permet de modifier la valeur d'un ou plusieurs champs dans une table.
Le mot clé DISTINCT dans la clause SELECT est utilisé pour éliminer les lignes en double et afficher une liste unique de valeurs. En d'autres termes, le mot clé DISTINCT permet de récupérer des valeurs uniques dans une table.
La fonction SUM() additionne toutes les valeurs de la colonne quantity et renvoie le total comme résultat de la fonction. Le nom de la nouvelle colonne de résultat (c'est-à-dire l'alias) est sum_quantity . Comme vous le voyez, la somme des valeurs de la colonne quantity du tableau est de 7. product est 7.
La commande WHERE en SQL est utilisée dans les requêtes afin de filtrer les données qui respectent une condition précise. Cela permet d'extraire uniquement les lignes désirées d'une table dans une base de données.
L'opérateur BETWEEN est utilisé dans une requête SQL pour sélectionner un intervalle de données dans une requête utilisant WHERE.
Sur le nœud SQL Server, cliquez sur Propriétés. Dans le champ Nom de la référence, saisissez un nom qui identifie votre source SQL Server. Dans le champ Base de données, saisissez le nom de la base de données à laquelle vous connecter. Dans le champ Importer une requête, saisissez la requête à exécuter.