Epître, lettre. Missive qu'on envoie à quelqu'un. Lettre est le terme général ; épître au contraire est plus particulièrement appliqué aux lettres des anciens auteurs (les épîtres de Cicéron) ou aux lettres en vers qu'on adresse à quelqu'un.
Par extension, l'épître est le côté droit de l'autel, vu par les fidèles, où se trouve placé le livre contenant l'épître à lire durant la célébration. Le côté gauche est appelé l'évangile.
Les épîtres de Paul ou épîtres pauliniennes sont un ensemble de treize lettres attribuées à l'apôtre Paul de Tarse et adressées à différentes communautés chrétiennes du I er siècle. Une quatorzième lettre, l'épître aux Hébreux, œuvre d'un auteur anonyme, leur est parfois ajoutée.
l'Épître aux Hébreux ; d'autres épîtres, dites « catholiques » (au sens de « universelles »), attribuées à différents disciples : Simon-Pierre, Jacques le Juste, Jean de Zébédée, Jude ; l'Apocalypse.
Il concerne le christianisme. Le mot « épître » veut dire « lettre ». Une relation épistolaire est une relation qui s'appuie sur l'échange de lettres. Les Épîtres sont des livres du Nouveau Testament, qui suivent les quatre évangiles et les Actes des Apôtres.
Chant liturgique de la religion d'Israël passé dans le culte chrétien et constitué d'une suite variable de versets.
Qui a écrit cette épître ? La plupart des saints des derniers jours attribuent à Paul la rédaction d'Hébreux (voir Guide des Écritures, « Épîtres de Paul »).
[JOHANNA LEGUERRE - AFP] Au XVe siècle, lorsque Gutenberg imprime la Bible, les autorités religieuses affirment que c'est Dieu lui-même qui a dicté les textes à des prophètes, à commencer par Moïse pour le Pentateuque, soit les cinq premiers rouleaux de l'Ancien Testament qui correspond à la Torah juive.
Psaume 119 (118)
L'Ancien Testament, aussi appelé Premier Testament ou Bible hébraïque (Tanakh), est, dans le christianisme, la partie de la Bible antérieure à Jésus-Christ. Pour les chrétiens, il forme la première partie de la Bible, la seconde partie étant le Nouveau Testament.
ÉPÎTRE, subst. fém. A. − Lettre missive, en prose, écrite par un auteur ancien.
L'épître aux Romains est la plus longue que Paul ait écrite et elle est considérée par beaucoup de personnes comme étant la meilleure.
Juif et citoyen romain de naissance, il persécute les disciples de Jésus de Nazareth avant de se revendiquer apôtre de ce dernier, bien qu'il n'appartienne pas au cercle des Douze.
Exactement comme la Bible était le Livre par excellence, l'Évangile apportait aux hommes la Bonne Nouvelle par excellence. L'enseignement de Jésus-Christ annonçait que le Messie était venu, que le salut était proche pour Israël et que les justes étaient appelés à régner avec Dieu.
Paul. Note : La Tradition a retenu 14 Épîtres de saint Paul : aux Romains, aux Corinthiens (I et II), aux Galates, aux Éphésiens, aux Philippiens, aux Colossiens, aux Thessaloniciens (I et II), à Timothée (I et II), à Tite, à Philémon et aux Hébreux.
Personne qui se met au service d'une cause, d'une idée, d'une doctrine : Une apôtre du pacifisme.
Luc 10 :19 « Voici, je vous ai donné le pouvoir de marcher sur les serpents et les scorpions, et sur toute la puissance de l'ennemi ; et rien ne pourra vous nuire. » Esaïe 49:25-26 : «Oui dit l'Eternel la capture du puissant lui sera enlevée. Et le butin du tyran lui échappera.
Matin après matin, le psaume 95 (94) invite à prendre pied sur la communion, l'émerveillement, la confiance et la responsabilisation, et à entrer ainsi dans sa journée par la porte étroite qui conduit à la vie.
Qui sont "l'homme fort" et "le plus fort" ? Selon la majorité des exégètes, l'homme fort serait Satan, et le plus fort, qui le dompte, lui enlève ses armes et pille sa maison serait Dieu, ou le Christ qui, par ses exorcismes, renverse le pouvoir des démons.
Histoire. Le plus vieux texte religieux connu est l'hymne au temple de Kesh (en), tablette d'argile sumérienne qui date de 2600 av. J.C. Le Rig-Véda, collection d'hymnes de l'Inde antique composés en sanskrit védique entre 1500 et 900 av.
(Date à préciser) Du latin deus , de l'indo-européen commun * di- (« briller, soleil, jour, dieu »). Apparenté au grec ancien Ζεύς , Zeús (« Zeus »).
Ses thèmes principaux portent sur la dialectique des deux alliances, sur l'espérance du croyant et sur la personne de Jésus en tant que médiateur, Fils de Dieu, et, pour la première fois dans la littérature chrétienne, grand prêtre à l'image de Melchisédech.
Étymologie. « Hébreu », en hébreu עברי (ʽivri) peut venir de la racine du verbe עבר (avar), qui signifie passer. Selon cette étymologie, les Hébreux seraient « ceux qui passent », les errants, ou de « ceux par-delà le fleuve », venant d'un district au-delà du Jourdain ou de l'Euphrate.
Qui a rédigé ce livre ? C'est « Pierre, apôtre de Jésus-Christ » qui est l'auteur de cette épître (1 Pierre 1:1).