Certes Jésus, comme Jean annoncera le pardon, mais il fera plus que cela, il indiquera le chemin à suivre. Le baptême de Jean est une bonne nouvelle, mais il est statique, il n'envoie pas en avant, il ne dit pas ce que l'on peut ou doit faire de cette libération, après cette annonce du pardon. Là est le rôle du Christ.
Dans les traditions luthérienne et réformée, le baptême peut se faire soit par effusion (en versant de l'eau sur la tête du croyant), soit par aspersion (quelques gouttes d'eau versées sur la tête du baptisé de manière symbolique), soit, beaucoup plus rarement, par immersion.
Le baptême du Christ est un des épisodes de la vie de Jésus-Christ : son baptême dans le Jourdain par Jean le Baptiste. Il est relaté dans les trois Évangiles synoptiques. Il s'inscrit dans les trois épiphanies du Messie de Dieu avec l'Adoration des mages et les Noces de Cana.
Pour les églises pentecôtistes, le baptême du Saint-Esprit est une deuxième expérience qui doit être recherchée après la nouvelle naissance, précédant ou suivant le baptême d'eau. Il a lieu par la prière ou l'imposition des mains. Il s'accompagne de la glossolalie et permet une expérimentation des dons du Saint-Esprit.
Signification du Baptême : « Plongée » dans la vie de Dieu
On appelle donc ce sacrement par son rite central : la plongée dans l'eau, signe d'un changement de vie radical. Comme Jésus à Pâques, et avec lui, le baptisé plonge dans la mort pour renaître à une vie nouvelle, la vie de Dieu.
Les chrétiens n'ont pas inventé le baptême. Des rites similaires existaient déjà dans le judaïsme. Le mikvé était un bain rituel utilisé pour l'ablution nécessaire aux rites de pureté. L'immersion totale du corps dans l'eau du mikvé faisait partie du processus de conversion au judaïsme.
Pourquoi se faire baptiser
Le baptême étant un sacrement, il est le premier engagement pris par les hommes qui souhaitent suivre la voie du Seigneur. Sans le baptême, il n'est pas possible de pouvoir accéder à certains rites religieux. C'est le cas notamment du mariage.
Le baptême de feu est un baptême pratiqué par plusieurs mouvements chrétiens, le plus souvent évangéliques. Il fait référence au baptême de Jésus par Jean le Baptiste, qui annonça par la même occasion qu'un baptême du Saint-Esprit serait donné par quelqu'un de plus puissant que lui.
Jésus-Christ a enseigné que tout le monde doit être baptisé d'eau et du Saint-Esprit pour obtenir la rémission ou le pardon des péchés Grâce au baptême effectué par quelqu'un qui détient l'autorité de la prêtrise et grâce à la réception du Saint-Esprit, vous allez renaître spirituellement.
Il s'agit d'être baptisé dans le nom de Jésus Christ et baptisé dans le saint Esprit. Il faut donc passer du fait d'être plongé dans le Christ à être plongé dans la puissance vitale de Dieu. Parce que voilà, le saint Esprit, c'est Dieu lui-même, Dieu lui-même en tant que souffle de vie, en tant que puissance créatrice.
Il donna l'ordre d'arrêter le char ; tous deux descendirent dans l'eau, Philippe et l'eunuque, et Philippe le baptisa. Lorsqu'ils remontèrent de l'eau... » (Act 8, 36-39).
Un jour, il rencontre Jésus de Nazareth qui lui demande tour à être baptisé. Jean proclame alors l'arrivée du Messie et le présente comme l'agneau de Dieu. C'est en partie de cet épisode de la Bible que découle la tradition de l'agneau pascal ! Jean devient alors Jean-Baptiste ou Jean le Baptiste : celui qui baptise.
Mention dans l'Évangile de Luc
Or, il y avait à Jérusalem un homme appelé Syméon. C'était un homme juste et religieux, qui attendait la Consolation d'Israël, et l'Esprit Saint était sur lui.
L'un d'entre vous est baptisé
Que la personne non chrétienne soit athée ou appartienne à une autre religion n'est pas un frein à un mariage catholique.
Le baptême est une ordonnance essentielle à notre salut. Nous, les saints des derniers jours, croyons que l'on doit être baptisé par immersion pour la rémission des péchés, selon le témoignage des disciples de Jésus et les révélations que le Seigneur a données en ces derniers jours.
Toute personne baptisée ou même non baptisée (en général, la sage-femme ou la matrone) peut en baptiser une autre à condition de disposer d'un peu d'eau, de réciter la formule liturgique et d'avoir l'intention de « faire ce que fait l'Eglise ».
Les sept donsdu Saint-Esprit sont la sagesse, l'intelligence, le conseil, la force, la science, la piété et la crainte de Dieu.
Pour les adeptes du spiritisme, ce phénomène de « parler en langues » prouverait que les paroles prononcées par le médium proviennent d'une intelligence extérieure au médium. Les spirites utilisent peu le terme « glossolalie » et utilisent plutôt le terme « psychophonie » pour désigner le même phénomène.
Dans le christianisme évangélique, le Saint-Esprit est considéré comme étant pleinement Dieu. Il s'agit de la manifestation éternelle de Dieu dans la dimension humaine. C'est la présence de l'Esprit que Jésus a promise dans l'Évangile à ceux qui se convertiraient, attestée par les premiers témoins du Christ (Ac 2).
À l'aérodrome de Meaux, tout près de Paris, montez dans un ULM Autogire, pendulaire ou Multiaxes. Ce club d'ULM en Seine-et-Marne est très habitué aux baptêmes de l'air et garantit sécurité et convivialité. Survolez Paris ou la région parisienne en hélicoptère !
L'expression "du feu de Dieu" vient de la Bible : la foudre est le feu du ciel, envoyé par Dieu. Cette théophanie est ambivalente (Job 1,16) et peut signifier soit l'agrément par Dieu [Cf. David, Salomon (2Ch 7,1)], soit au contraire la colère divine (1R 18,38 ; 2R 1,10 ; Si 48,3).
Baptême catholique
Trouvant son origine dans le mot grec « baptizein », baptême signifie « plonger » et, à l'origine, le fait d'être submergé dans l'eau permettait en effet de purifier l'âme et de supprimer les péchés.
Bénédiction. De l'air ou du feu.
Le baptême a le plus souvent lieu dans les premiers mois de la vie, mais ce n'est pas obligatoire.
Le quatrième évangile rapporte toutefois que Jésus baptisait quand il était en Judée (Jn 3,22). Le succès qu'il rencontre trouble les disciples du Baptiste, d'où la mise au point de ce dernier en faveur du véritable Époux (Jn 3,27-36).