Le paludisme (ou malaria) est une maladie causée par un parasite du genre Plasmodium, essentiellement transmis à l'humain par la piqûre d'un moustique, l'anophèle femelle.
Les premiers symptômes – fièvre, maux de tête et frissons – apparaissent généralement 10 à 15 jours après la piqûre infectieuse et peuvent être légers et difficiles à reconnaître. En l'absence d'un traitement, le paludisme à P. falciparum peut évoluer vers une affection grave voire mortelle dans les 24 heures.
Transmission. Le paludisme est transmis à l'homme par la piqûre d'un moustique femelle, du genre Anopheles, lui-même infecté après avoir piqué un homme impaludé : la femelle, en prenant le repas de sang nécessaire à sa ponte, injecte le parasite à son hôte.
Le paludisme (ou malaria) est une maladie qui peut être mortelle, due à des parasites. Les parasites du genre Plasmodium sont transmis par des moustiques de type Anopheles infectés, qui piquent habituellement la nuit. La maladie est présente principalement dans les régions tropicales d'Afrique et d'Asie du sud-est.
Le paludisme (ou malaria) est une maladie causée par un parasite du genre Plasmodium, essentiellement transmis à l'humain par la piqûre d'un moustique, l'anophèle femelle.
Doxycycline. La doxycycline est un antimicrobien qui inhibe la synthèse des protéines par le parasite. La doxycycline est efficace pour la prévention et le traitement du paludisme à P. falciparum résistant à la chloroquine.
Désinfectant naturel, l'ail possède des propriétés antiseptiques. Il permet ainsi de soigner des plaies superficielles et d'éviter qu'elles ne s'infectent. Il suffit de frotter une gousse d'ail directement sur la plaie. L'effet piquant est de courte durée.
Le paludisme est une maladie causée par un parasite dont cinq espèces infectent les humains. La fièvre jaune est une maladie causée par un virus. Bien que l'infection de l'une ou l'autre maladie puisse être fatale, les taux de mortalité dus au paludisme sont nettement plus élevés.
En plus de cette anémie, la malaria de type Plasmodium falciparum modifie la paroi des globules rouges et cause des « bouchons », et trouble la microcirculation de certains organes - comme le cerveau, les poumons ou les reins - ce qui augmente le risque de mortalité.
Si les médicaments utilisés sont ceux qui conviennent, les personnes infectées par le paludisme peuvent être guéries et tous les germes du paludisme détruits dans leur organisme. Cependant, la maladie peut continuer si elle n'est pas traitée ou si elle est traitée avec le mauvais médicament.
La plupart des outils utilisés aujourd'hui pour lutter contre le paludisme – moustiquaires imprégnées d'insecticide, insecticide à effet rémanent pour pulvérisation à l'intérieur des habitations, tests de diagnostic rapide et médicaments à base d'artémisinine – ont été mis au point au cours du siècle dernier, voire ...
Près de 400 espèces de la plante poussent maintenant à travers le monde, parmi lesquels l'Artemisia annua (armoise annuelle). C'est de cette espèce qu'est extraite l'artémisinine, principe actif contenu dans les principaux traitements antipaludiques utilisés pour traiter la maladie aujourd'hui.
Les associations artéméther-luméfantrine ou arténimol-pipéraquine sont les traitements de référence de 1re intention. L'atovaquone-proguanil est une alternative de 2e intention, la quinine étant recommandée seulement en 3e intention.
- La chimioprophylaxie : c'est la prise de médicaments antipaludiques à visée préventive. Plusieurs médicaments peuvent être utilisés : chloroquine, atovaquone + proguanil, méfloquine, doxycycline. Tous sont à prescription médicale et aucun n'est remboursé dans ce cadre.
Les TDR utilisent des anticorps pour détecter des antigènes du paludisme dans le sang du patient. Une goutte de sang est placée sur la bandelette de test, où les anticorps et les antigènes se combinent pour créer une ligne distincte indiquant un test positif.
La maladie existe dans de nombreux pays d'Afrique et d'Amérique du sud. Le nombre de cas de FJ dans ces pays a augmenté durant ces 20 dernières années. Le vaccin, qui est constitué d'un virus vivant atténué, est la seule protection efficace. Il est disponible en Europe sous le nom de Stamaril®.
Le paludisme grave est principalement dû à une infestation par Plasmodium falciparum, bien que P. vivax et P. knowlesi2,3 peuvent aussi provoquer des accès sévères. Le risque est accru en cas de traitement tardif d'un épisode palustre simple dû à ces espèces.
Plusieurs espèces de Plasmodium sont à l'origine du le plus répandu et le plus dangereux étant le Plasmodium falciparum, les autres étant moins fréquents et responsables d'infections moins sévères. Le Plasmodium est transmis à l'Homme par la piqûre d'un moustique femelle, l'Anophèle.
Si le Breton moderne nomme le gui “uhel varr”: “haute branche”, les autres langues celtiques, comme l'Irlandais ou le gaélique d'Écosse ont gardé dans le vocabulaire populaire la tournure “qui guérit tout”. Plante médicinale, le gui a des vertus antispasmodiques et diurétiques.
Elles sont reconnues depuis l'Antiquité pour lutter contre les infections. Par ailleurs, manger de l'ail le soir ne fait pas dormir en soi, mais ses composés sulfureux auraient un effet calmant et apaisant. L'ail contribuerait donc à améliorer la qualité du sommeil.
Pour un voyage dans une zone à risque de paludisme, le médecin dispose pour la chimioprophylaxie des substances suivantes : : l'association atovaquone-proguanil, la doxycycline ou la méfloquine. Ce sont désormais les principaux antipaludiques. Ils ont une efficacité comparable.
La doxycycline :
Doxypalu® (monohydrate) comprimés à 50 ou 100 mg, Granudoxy ® Gé (monohydrate) comprimés sécables à 100 mg, Doxy® 100 Gé et Doxy® 50 Gé (hyclate) : 100 mg/jour chez les sujets de plus de 40 kg, 50 mg/j pour les sujets de poids < 40 kg.
La méfloquine (Lariam*) peut ainsi être cause de maux de tête, d'anxiété, de dépression, d'insomnies, de cauchemarts, de démangeaisons, de fatigue, de troubles visuels, de troubles cardiaques, diarrhées, vomissements.