Les différences entre les hommes et les femmes sont le produit de la société, de la culture, d'habitus et de stéréotypes. Le genre permet donc d'analyser les situations sociales, les comportements et les rôles de chacun.
Les inégalités entre les femmes et les hommes se sont réduites au cours des dernières décennies, que ce soit en matière d'éducation, de participation à la vie professionnelle ou en politique. Mais l'égalité est loin d'être atteinte, en termes de salaire ou de partage du travail domestique notamment.
La femme a un taux plus élevé d'œstrogène, une hormone produite par les ovaires qui sont les gonades femelles. L'homme a un taux plus élevé d'androgènes (testostérone) produites par les cellules de Leydig dans les testicules. Des hormones contribuent au dimorphisme sexuel et à d'autres différences sexuelles.
Plafond de verre et inégalités de salaires entre hommes et femmes se cumulent : en France, selon l'INSEE, les 10 % des femmes les moins bien rémunérées ont un salaire inférieur de 7 % à celui des hommes. Au niveau médian, les femmes gagnent un salaire inférieur de 13% à celui des hommes.
Les tâches de la femme et de l'homme se rapportent aux rôles différents qu'ils jouent pour de la subsistance de la famille. En plus de son rôle de mère et d'épouse, la femme joue un rôle important dans la production agricole.
Selon les dernières données disponibles (Insee 2021), toujours en équivalent temps plein, les 10 % des femmes les moins bien rémunérées ont un salaire maximum inférieur de 5 % à celui des hommes (1 336 euros contre 1 400 euros).
La participation pleine et équitable des femmes dans tous les éléments constitutifs de la société est un droit humain fondamental. Pourtant, à l'échelle mondiale, que ce soit en politique, dans les divertissements ou sur le lieu de travail, les femmes et les filles sont largement sous-représentées.
Ces inégalités s'expliquent principalement par la place des femmes dans le marché de l'emploi : les femmes sont concentrées dans 12 familles professionnelles, dévalorisées financièrement et socialement, où les qualifications et la pénibilité ne sont pas reconnues.
Les inégalités de genre sous-tendent de nombreux problèmes qui touchent de manière disproportionnée les femmes et les filles, comme les violences domestiques et sexuelles, les rémunérations plus faibles, le manque d'accès à l'éducation et les soins de santé insuffisants.
À ces écarts de salaires, s'ajoutent les inégalités de volume de travail (les femmes sont plus souvent à temps partiel, notamment). Selon le tableau de bord de l'Insee sur l'égalité femmes-hommes, en 2022, 26,5% des femmes sont en temps partiel contre 8,4% des hommes.
Un homme revient à dire un Monsieur, ex: un homme brun de 30 ans. Avec la femme (et les LGBT+, s'il faut être inclusifs), ils composent l'humain. L'Homme (avec un H majuscule, même en milieu de phrase) revient à dire l'humanité, l'espèce humaine, l'humain… L'Homme et l'humain sont synonymes.
À la naissance, nos organes génitaux déterminent notre genre « féminin » ou « masculin ». Mais l'identité de genre, c'est autre chose. Il s'agit du sentiment profond de qui on est. Et ce sentiment ne correspond pas toujours au sexe biologique.
Pourquoi Les filles restent les premières victimes d'inégalités ? Déscolarisation, excision, exploitation, mariage forcé et grossesse précoce… Les filles sont encore aujourd'hui victimes d'inégalités, d'exclusion, de discriminations et d'abus qui entravent leurs droits.
Une multitude de facteurs – stagnation des salaires et baisse de la part des revenus du travail, déclin progressif de l'État-providence dans les pays développés, protection sociale insuffisante dans les pays en développement, changements dans la fiscalité, déréglementation des marchés financiers, évolutions ...
La dimension commerciale de l'égalité entre les hommes et les femmes peut également comporter des avantages non financiers tels qu'une meilleure gouvernance, la cohésion et la créativité stimulée par la diversité sur le lieu de travail.
Quels sont les difficultés que rencontrent les femmes ? Egalité salariale, conciliation famille-travail, fertilité, rivalité homme-femme, chômage et temps partiel, pauvreté, solitude : que la tâche de la femme est complexe et que ces chemins sont semés d'embûche !
Malheureusement, la réalité n'est pas toujours conforme au droit et même en Europe, les femmes continuent d'être victimes de multiples discriminations. Le premier problème que rencontrent les femmes est la difficulté d'accès au marché de l'emploi. Le deuxième problème est celui de la disparité salariale.
S'agissant de la possibilité de trouver du travail, la situation des femmes est perçue comme moins bonne que celle des hommes par 58 % des Français, soit 6 points de moins qu'en 2003. Là encore, on note un écart important entre l'inégalité perçue par les femmes et par les hommes (67 % contre 49 %).
Les femmes sont rassembleuses et collaboratives. Elles soudent les équipes et favorisent l'entraide. Bonnes communicatrices, elles facilitent la résolution des conflits. Bref, elles améliorent le fonctionnement d'une l'entreprise au quotidien.
Question d'origine : Quelle est La différence entre la femme d'hier et d'aujourd'hui? S'il ne devait y avoir qu'une seule différence, ce serait qu'aujourd'hui, il n'y a plus la Femme avec un grand F, avec tout ce que le terme porte d'impératifs uniques et universels.
Les inégalités qu'elles soient qualitatives ou quantitatives, prennent des formes variées : inégalités de revenu ou de patrimoine, inégalités scolaires, culturelles, générationnelles, genrées, politiques, etc.