Parce que c'est le texte le plus détaché du récit, la préface lui succède, et le prologue suit. Le prologue, faisant pour ainsi dire partie de la narration est placé dans la plupart des cas juste avant le roman ou la pièce.
Texte placé en tête d'un ouvrage pour le présenter et le recommander au lecteur, en préciser éventuellement les intentions ou développer des idées plus générales. Synon. introduction. Préface générale; belle, bonne, magnifique, merveilleuse, nouvelle, première préface; grande, longue préface (synon.
Le prologue est une narration séparée du texte principal qui permet de le replacer dans son contexte. Le prologue correspond, pour faire court, au « Il était une fois… » des contes. Par ailleurs, il a nécessairement un pendant : c'est-à- dire un épilogue, qu'on trouve tout à la fin.
La préface d'un livre se situe automatiquement avant le corps principal du texte. C'est logique, car ce mot a pour racine étymologique la locution latine « pré » qui signifie « avant ». La préface n'est pas obligatoire, mais elle est appréciée par les auteurs car elle permet de faire un avant-propos très utile.
A quoi sert un prologue ? Dans un roman de science-fiction ou de fantasy par exemple, un prologue peut permettre de fournir aux lecteurs des éléments de base pour comprendre le décor et la culture d'un univers particulier avant que l'histoire ne commence.
La vocation d'une préface est de dire en quoi le texte qui suit est remarquable. En général, c'est soit parce que l'auteur est lui-même remarquable. Soit parce que le contenu du texte à venir est admirable, pour telle ou telle raison. Il va sans dire que, pour atteindre son but, la préface doit être crédible.
La préface se place au début de l'ouvrage; son objet est de présenter au lecteur l'auteur du livre ou l'œuvre qu'il va consulter. Un auteur ne préface pas, d'ordinaire, son propre ouvrage. On compose la préface dans un caractère différent du corps de l'ouvrage, généralement en italique et, éventuellement, plus grand.
La première de couverture est la première page extérieure d'un livre. Elle est aussi appelée « plat de devant » dans le cas des livres cartonnés. Elle n'est pas numérotée et accueille généralement le titre et le nom de l'auteur de l'ouvrage. Il ne faut pas la confondre avec la 4e de couverture.
Le terme ''incipit '' vient du verbe latin incipire= commencer. L'incipit sert à désigner le début d'un roman. On peut dégager plusieurs fonctions : Fonction n°1 : il a une valeur d'annonce et programme la suite du texte.
L'incipit d'une œuvre romanesque constitue un enjeu majeur du pacte de lecture : il a pour fonction de programmer la suite du texte, en définissant le genre, le point de vue adopté par le narrateur, les personnages, etc. , mais surtout, il doit donner envie de lire la suite.
La préface, placée au début du livre, est un court texte introductif à un ouvrage écrit par un tiers : il peut par exemple s'agir d'un auteur qui traite du même domaine que vous, ou d'une célébrité, d'un membre de votre famille, etc.
Pour information, on appellera début in ultima res, un récit commençant par la fin de l'histoire. Un début in medias voire ultima res est généralement suivi d'un retour en arrière (on dit également analepse ou encore flash-back). Ce retour a souvent valeur explicative.
La quatrième de couverture (désignée aussi occasionnellement par le terme technique lodiciquarte, qui est un latinisme) est la dernière page extérieure d'un livre. Elle est aussi appelée « plat verso » dans le cas des livres cartonnés.
Le prologue, qui pouvait mettre directement l'auteur dramatique en rapport avec le public, servait parfois à présenter une réfutation des critiques que la pièce précédente avait provoquées, ou encore sollicitait l'indulgence pour l'œuvre nouvelle.
Réponse du Guichet
Elle est aussi appelée « plat verso » dans le cas des livres cartonnés. Elle n'est pas numérotée et accueille généralement un résumé de l'ouvrage, un extrait représentatif du contenu ou une présentation de l'auteur.
Souvent placé en début du mémoire, le préambule de mémoire est un texte écrit qui expose les motifs qui poussent l'étudiant à choisir son sujet de mémoire, à s'intéresser à une réflexion.
C'était tantôt un des personnages de la pièce qui venait en indiquer d'avance ou même en détailler le sujet, tantôt le poète qui introduisait sur la scène, pour l'instruction du peuple, un Dieu ou un personnage fantastique, dont l'apparition se faisait à l'aide d'une machine.
Définition. L'épigraphe est généralement placée en tête d'un livre ou d'une partie de ce livre.
L'épilogue (du grec "ἐπίλογος", lui-même étant issu des mots ἐπί (epi) : sur, au-dessus et λόγος (logos) : discours) est la dernière partie, la conclusion d'une œuvre (discours, roman, film, pièce théâtrale, etc.). Il désigne plus particulièrement au théâtre classique un discours récapitulatif à la fin de la pièce.
Si, en France, on ne peut "souiller" le livre, objet sacré, avec des slogans publicitaires sur la couverture - d'où le recours au fameux bandeau -, aux Etats-Unis, les blurbs sont directement imprimés sur les volumes, le plus souvent en quatrième de couverture.
– La page 2 :
Verso (le dos) de la page 1, elle est aussi vierge. C'est une page de gauche.
Couverture. Elément du livre qui protège l'ensemble des pages et comporte généralement le nom de l'auteur, le titre et l'éditeur.
La conclusion doit comporter deux moments : une reprise du parcours thématique enrichie de tout ce qui a été démontré. C'est donc un exercice de concision.
Le préambule est un éclaircissement préliminaire plus ou moins utile, il donne un avant-goût de l'ouvrage, en marque le caractère et la portée, ou résume les événements accomplis antérieurement au récit. Le préambule doit être court et net.
Dernière partie, conclusion d'un discours, d'un poème, d'un ouvrage dramatique ou romanesque, contenant par exemple la récapitulation des principaux points d'une argumentation ou le récit des événements postérieurs à l'action principale. Anton. prologue.