La conjonction de subordination n'a aucune fonction dans la proposition subordonnée conjonctive, de même que le mot interrogatif dans la proposition subordonnée interrogatif. En revanche, le pronom relatif occupe une fonction variable dans la proposition subordonnée relative.
Voyons un exemple de relative...
« que tu vois là-bas » est une proposition subordonnée relative. 1/ C'est une proposition : un ensemble de mots organisés autour du verbe conjugué « vois ». 2/ C'est une proposition subordonnée : cet ensemble de mots dépend d'un élément de la phrase. Il ne peut pas exister seul.
Une proposition subordonnée relative est introduite par un pronom relatif simple : qui, que, quoi, dont, où, ou composé : lequel, auquel, duquel… Le chat [que l'on m'a donné] est un bon chasseur de souris. Elle complète un nom ou un pronom appelé antécédent et dont elle est une expansion.
La principale différence entre la conjonction de subordination que et le pronom relatif que est qu'une conjonction de subordination n'a aucune fonction syntaxique et ne reprend rien dans la phrase, alors qu'un pronom relatif reprend un autre mot que l'on appelle antécédent et occupe une fonction syntaxique.
La subordonnée relative est une phrase enchâssée à la suite d'un nom ou d'un pronom.
Il existe trois sortes de propositions subordonnées : – les propositions subordonnées complétives ; – les propositions subordonnées circonstancielles ; – les propositions subordonnées relatives.
La subordonnée introduite par un mot interrogatif « quand, où, pourquoi, combien, comment, qui, si, quel » est dite interrogative indirecte. Elle sert de complément d'objet au verbe de la principale. Pour son anniversaire, je lui demanderai ce qu'elle aimerait recevoir.
Adam et Ornicar
Mais où est donc Ornicar ? Classique interrogation pour retenir la liste des conjonctions de coordination : Mais, ou (sans l'accent), et, donc, or, ni, car. Mais connaissez-vous Adam ? Adam part pour Anvers avec cent sous, entre derrière chez Decontre.
Le pronom relatif a une fonction, contrairement aux autres mots qui introduisent une proposition subordonnée. La proposition subordonnée conjonctive est introduite par une conjonction de subordination (que, lorsque, puisque, quoique, comme, si et quand) ou par une locution conjonctive (parce que, bien que…).
Il existe deux catégories de subordonnées relatives : la proposition subordonnée relative adjective (a un antécédent) ; la proposition subordonnée relative substantive (n'a pas d'antécédent).
comme, parce que, sous prétexte que, en raison de, etc. ainsi que, autant que, bien plus que, comme, de même que, davantage que, etc. bien que, même si, quand bien même, quoique, etc. à condition que, à moins que, dans la mesure où, pourvu que, pour autant que, si, etc.
Définition. Une proposition subordonnée relative est introduite par un pronom relatif (qui, que, quoi, dont, où et les formes composées : lequel, auquel, duquel, etc.). Le plus souvent, elle complète un nom ou un pronom (= son antécédent), sur lequel elle apporte des précisions.
Une proposition subordonnée peut être complément du nom (ou du pronom) antécédent. C'est la fonction la plus fréquente de la proposition subordonnée relative. Ex. : Nous n'avons pas encore mangé le gâteau [que tu as confectionné]. → que tu as confectionné est complément de l'antécédent gâteau.
Une conjonction de coordination est un mot (ou groupe de mots), invariable, qui relie deux mots, propositions ou phrases. Un adverbe de liaison est un mot (ou groupe de mots), invariable, qui relie deux mots, propositions ou phrases.
L'adverbe est un mot invariable qui précise ou change le sens d'un verbe, d'un adjectif, ou d'un autre adverbe. - Elle court rapidement. -> ("rapidement" précise le sens du verbe "courir"). - Il n'est pas très grand.
Les adverbes de liaison et de relation logique
Liste d'adverbes de liaison et de relation logique : par conséquent, donc, ensuite, en revanche, encore, même, par ailleurs, en revanche, cependant, néanmoins, certes, enfin, tout de même, pourtant, toutefois, par contre, seulement, ainsi, alors, puis…
chef. grade d'autorité (chef de gare, chef d'orchestre...)
Une proposition subordonnée est une proposition qui dépend d'une proposition principale. Elle se rattache à la proposition principale pour apporter une précision en lien avec celle-ci.
Quand deux propositions sont subordonnées, elles sont liées par un mot subordonnant: -pronom relatif: qui, que, quoi, dont, où, etc. -conjonction de subordination : que, quand, lorsque, si, puisque, parce que, tandis que, etc. exemple : Il mangeait parce que c'était l'heure du dîner.
Il faut d'autres éléments pour que la phrase soit comprise. La proposition subordonné est donc une proposition rattachée à une proposition principale. Il s'agit alors d'une proposition qui dépend d'une autre. Le terme « subordonné » rappelle le fait que l'une des propositions est dépendante de l'autre.
Une proposition subordonnée relative est une proposition dépendante d'une proposition principale, et elle est toujours introduite par un pronom relatif (qui, que, quoi, dont, où, etc.) une locution pronominale (ce que, ce dont, etc.) ou un relatif indéfini complexe (qui que, quoi que, etc.).
La proposition relative est une subordonnée introduite par un pronom relatif (qui, que, quoi, dont, où, lequel, quiconque). a) C'est le bureau dans lequel il a toujours travaillé. b) Vous compléterez le dossier que vous avez reçu. c) Je l'aperçois qui arrive en toute hâte.