La couche d'ozone est la partie de l'atmosphère située entre vingt et cinquante kilomètres d'altitude (stratosphère).
La ligne de Kármán, à 100 km , est considérée comme la frontière entre l'atmosphère et l'espace par la Fédération aéronautique internationale. L'altitude de 120 km marque la limite où les effets atmosphériques deviennent notables durant la rentrée atmosphérique de tout objet solide.
Environ 90 % de l'ensemble de l'ozone est produit naturellement dans la stratosphère. L'ozone est présent dans toute l'atmosphère, mais sa concentration est maximale à environ 25 km d'altitude. Cette région de l'atmosphère riche en ozone est appelée la « couche d'ozone ».
Dans la stratosphère, ce gaz forme une couche autour de 20 km d'altitude, que l'on appelle la couche d'ozone. Attention !! Il ne faut pas confondre l'ozone présent dans la stratosphère, qui forme la couche d'ozone, et l'ozone au niveau du sol, pollution nocive pour l'homme induite par les activités humaines.
L'épaisseur de l'atmosphère est fluctuante, entre 350 et 800 km ; elle dépend en particulier de l'activité solaire ; l'épaisseur moyenne est d'environ 600 km.
La ligne de Kármán définit la limite entre l'atmosphère terrestre et l'espace, pour la Fédération aéronautique internationale.
La structure interne de la Terre désigne la répartition de l'intérieur de la Terre en enveloppes emboîtées : principalement la croûte terrestre, le manteau et le noyau, selon le modèle géologique actuel, qui s'efforce de décrire leurs propriétés et leurs comportements au cours des temps géologiques.
Les activités humaines sont le principal facteur responsable de la perturbation de cet équilibre naturel, principalement à cause des émissions dans l'atmosphère de produits chimiques de synthèse connus sous le nom de substances appauvrissant la couche d'ozone (SACO).
Le trou de la couche d'ozone, qui apparaît au printemps et en hiver chaque année au-dessus de l'antarctique, est causé en partie par les températures basses qui règnent dans la stratosphère, mais aussi en raison de la présence de gaz nocifs pour l'ozone.
Aujourd'hui, en se fondant sur les variations de température, on divise l'atmosphère en quatre couches distinctes : la troposphère, la stratosphère, la mésosphère et la thermosphère.
En voie de guérison
Le trou dans la couche d'ozone de l'Antarctique devrait se refermer d'ici les années 2060, tandis que d'autres régions retrouveront les valeurs d'avant 1980 encore plus tôt. Chaque année, on estime que deux millions de personnes sont épargnées par le cancer de la peau.
En Antarctique, le « trou d'ozone », qui correspond à la destruction, au printemps, de plus de la moitié du contenu total en ozone au-dessus du pôle Sud, est un phénomène récurrent dû aux températures hivernales extrêmement basses de la stratosphère.
Le « trou dans la couche d'ozone » est-il en voie de guérison ? Il semble que oui. Des satellites surveillent les fluctuations de ce gaz dans la haute atmosphère, sous l'influence du Soleil et des activités humaines… Depuis les années 1980, la couche d'ozone stratosphérique est surveillée de près.
Mais aujourd'hui, l'Agence américaine d'observation océanique et atmosphérique (NOAA) a fixé la ligne de Kármán a une « frontière imaginaire » qui se trouve à environ 100 km d'altitude.
100 km (328 084 pieds) - Ligne de Kármán, qui définit la limite de l'Espace selon la Fédération aéronautique internationale. Les surfaces aérodynamiques ne fonctionnent plus par l'absence de pression atmosphérique.
L'altitude qui marque la frontière entre l'atmosphère et le début de l'espace prête à discussion. Pour les Etats-Unis, c'est 80 kilomètres; pour les autres, c'est 100.
De façon naturelle, l'ozone se détruit à haute altitude ; un équilibre entre formation et destruction se forme alors. Cependant, l'utilisation des CFC et HCFC perturbe cet équilibre. Ces gaz détruisent la couche d'ozone et diminue son épaisseur jusqu'à former des trous.
La couche d'ozone se reconstitue lentement
Ainsi, la concentration d'ozone augmente dans la haute stratosphère (vers 40 km d'altitude) depuis le début du XXIe siècle. Les modèles indiquent que ceci est largement dû à la diminution de concentration des SAO.
Un aérosol pour réparer la couche d'ozone. Ça semble un oxymore, alors que d'habitude, les aérosols sont incriminés dans la disparition de ce gaz qui protège la Terre et les êtres vivants des rayons nocifs du Soleil. Des chercheurs de Harvard ont pourtant mis au point une suspension qui aide à régénérer l'ozone.
C'est la combustion du gaz, du charbon, du pétrole qui entraîne l'augmentation de la température. Ces gaz, comme le CO2 issu des fumées des voitures, captent l'énergie du Soleil. Cette énergie se transforme en chaleur qui réchauffe l'atmosphère, puis l'atmosphère réchauffe les océans.
Un phénomène saisonnier.
Ce trou se forme du fait de la présence d'un vortex atmosphérique au-dessus du pôle Sud, qui provoque une accumulation de gaz halogènes dans cette zone.
Le trou dans la couche d'ozone s'est agrandi à cause des incendies géants australiens. Selon une étude de la revue « Scientific Reports », les feux de brousses subis par l'Australie entre fin 2019 et 2020 auraient agrandi le trou de la couche d'ozone.
Il ya deux causes principales à la chaleur du noyau que tu mentionnes correctement : la radioactivité naturelle, et la sédimentation des éléments lourds dans le manteau, qui "tombent" vers le centre et chauffent en libérant l'énergie gravitationnelle.
À ce jour, les plus anciennes traces de vie sur Terre remonteraient à 3,8 milliards d'années, comme semblent l'indiquer des restes fossilisés retrouvés dans les roches sédimentaires.
Les poussières qui étaient dans le nuage se sont agglomérées pour former des « grains de sable », puis de gros rochers, et, attirés par la force de gravité, ces rochers se sont assemblés lors de violentes collisions qui ont fait fondre la roche ! Boum ! Un peu comme une boule de neige qui amasse tout sur son passage.