Instrument folklorique, à vent, de la famille des bois. Le bagpipe écossais et le biniou breton sont les membres les plus connus de ce groupe, répandu depuis des siècles, sous diverses formes, dans l'Europe entière.
On suppose que la cornemuse prend ses origines en Égypte antique car de nombreuses représentations de chalumeaux doubles, tant chez les Grecs (aulos bicalame, de calamus = roseau en latin) que chez les Égyptiens montrent l'importance de cet instrument.
Le joueur de cornemuse est appelé sonneur en France, mais aussi talabarder ou biniaouer en Bretagne.
La cornemuse écossaise comporte 5 tuyaux : le blowpipe, tuyau dans lequel on souffle, le chanter, tuyau mélodique et 3 bourdons qui produisent un seul son continu et font office d'accompagnement. Le binioù comporte 3 tuyaux : le sutell, tuyau dans lequel on souffle, le levriad, tuyau mélodique et 1 bourdon unique.
Par conséquent, "le biniou est tout simplement la cornemuse bretonne", résume Vincent.
La bombarde est l'instrument traditionnel breton, celui par lequel tout breton affirme son identité. L'accordéon diatonique, toujours accordé, toujours prêt à jouer. La guitare, accordée en DADGAD ou pas, qui apporte la rythmique nécessaire pour accompagner les danseurs..
Comme les autres langues celtiques actuelles, le breton provient historiquement des îles britanniques. Il est également apparenté au gaulois, langue aujourd'hui éteinte qui se parlait au début de notre ère dans une bonne partie de l'Europe occidentale (Belgique, France, Suisse, Nord de l'Italie).
Elle prend soin de quatre petits « enfants-animaux » âgés de quatre ans, issus de quatre familles d'espèces différentes. Ce sont Tibor le tigre, Kounga la kangourou, Rafi la petite ratonne et Bagou le singe.
Il y en a pour tous les budgets, à partir de 750 € pour une cornemuse en « Polypenco » (plastique) ou 1 150€ pour une cornemuse en « African Blackwood » (Grenadille d'Afrique ou Ébène du Mozambique) jusqu'aux modèles les plus sophistiqués décorés de bagues en argent ciselé.
Dans les îles britanniques, les historiens attestent les premières preuves d'existence de la cornemuse en Angleterre au Moyen Age. Instrument populaire, c'est à partir du XIe siècle que l'instrument se développe tel que nous le connaissons aujourd'hui. Il se compose alors de bourdons, d'une poche et d'un chalumeau.
La Bodèga ou Craba (chèvre en occitan) est la plus grosse des cornemuses occitanes. La peau provient d'une chèvre entière et l'instrument ainsi constitué donne une impression de démesure. Démesure sonore grâce à ce son grave et profond qui nous donne une idée des cornemuses du Moyen Âge.
... on entend le bêlement du troupeau, le tintement de la cloche de la brebis, le bourdonnement de l'abeille; la cornemuse fait retentir les rochers, et se mêle au bruit sourd de l'Océan lointain qui bat ses rivages.
chant, bombarde, biniou kozh, violon, accordéon, clarinette, cornemuse, harpe celtique...
La chanson la plus souvent jouée lors des funérailles est “Amazing Grace” qui est traditionnellement jouée à la fin du service par un seul joueur de cornemuse qui marche lentement pendant qu'il joue.
Uilleann pipes est le nom contemporain donné à la cornemuse irlandaise (píb uilleann en gaélique, pib-ilin en breton).
Le mot « bombarde » provient du latin bombus, signifiant « bourdonnement » ou « bruit sourd ». Il s'agit d'une variante de hautbois populaire spécifique à la Bretagne. En breton l'instrument s'appelle ar vombard (mutation de bombard) ou an talabard.
Qui se rapporte à la culture, à la langue ou aux traditions des Celtes, un groupe de différents peuples du Nord-ouest européen.
La harpe est l'un des symboles de l'Irlande, elle est représentée sur les pièces en euros. Le tin whistle: petite flûte en métal à six trous, très populaire car peu onéreuse. Instrument diatonique, c'est à dire qu'on ne peut jouer qu'une seule tonalité (la plus courante étant en ré) par instrument.
Les Canidés (Canidae) forment une famille basale des mammifères caniformes appartenant à l'ordre des Carnivora, et comprenant les loups, les chiens, les chacals et les renards.
Connu dès l'Antiquité des Grecs et des Romains (tibia utricularis), il s'est par la suite répandu à travers toute l'Europe du Moyen Âge. La présence de cornemuses en Bretagne est attestée depuis au moins le XV e siècle, et le binioù kozh sous sa forme actuelle est pour sa part attesté dès la fin du XVIII e siècle.
En fait, l'hérédité est un facteur de prédisposition des pikoù panez. Plus on est roux et plus on peut présenter des pikoù panez. Les Celtes sont les peuples les plus roux sur terre. Ainsi 13% des Écossais sont roux et 40% portent le gène récessif porteur de la rousseur.
Comment dire bonjour en breton ? « Demat », « mont a ra » ou encore « salud ».