La fonction d'une proposition subordonnée. Une proposition subordonnée peut être sujet du verbe principal. Ex. : [ Qui veut] peut. Remarque : les propositions subordonnées sujets peuvent avoir des natures différentes : relative (comme ci-dessus) ou, dans de rares cas, conjonctive.
La proposition principale se trouve généralement avant la subordonnée : Je vous recontacterai (principale) dès que la décision sera prise (subordonnée). Mais elle peut se placer après la subordonnée : Dès que la décision sera prise (subordonnée), je vous recontacterai (principale).
La proposition indépendante est celle qui ne dépend d'aucune autre et qui n'en détient aucune sous sa dépendance ; elle se suffit à elle-même car elle a une signification complète.
La juxtaposition consiste à lier deux phrases de même niveau syntaxique. Elle fonctionne exactement comme la coordination, mais la juxtaposition n'implique pas l'utilisation d'un coordonnant. C'est le signe de ponctuation (la virgule, le point-virgule ou le deux-points) qui le remplace.
La fonction d'une proposition participiale est toujours celle d'un compément circonstanciel de temps, de cause, de condition ou d'opposition.
la proposition coordonnée ; la proposition subordonnée ; la proposition relative. On l'appelle également la principale.
- La proposition subordonnée dépend toujours d'une autre proposition dont elle complète le sens. - J'ai retrouvé les clés que tu avais égarées. - La proposition principale commande une proposition subordonnée qui complète le sens de cette principale.
Proposition indépendante : Elle ne dépend d'aucune autre proposition et aucune ne dépend d'elle. Proposition principale : Une autre proposition dépend d'elle. Ex : Je mange parce que j'ai faim. Propositionsubordonnée : Elle dépend d'une autre proposition.
La subordination consiste à joindre deux phrases par l'enchâssement de l'une (la phrase subordonnée) dans l'autre (la phrase principale) pour former la phrase matrice. La phrase enchâssée (la subordonnée) dépend syntaxiquement de la phrase enchâssante (la principale).
Elles peuvent être conjonctives (introduites par que), interrogatives indirectes (introduites par un mot interrogatif) ou infinitives (sans mot subordonnant et avec un verbe à l'infinitif). Les propositions subordonnées circonstancielles sont compléments circonstanciels de la proposition principale.
Lorsqu'une proposition peut être employée seule, c'est qu'elle ne dépend d'aucune autre. On dit que c'est une proposition indépendante. Le chien dort. Une phrase peut contenir plusieurs propositions indépendantes reliées entre elles par une conjonction de coordination ou séparées par un signe de ponctuation.
La proposition subordonnée conjonctive est introduite par une conjonction de subordination (que, lorsque, puisque, quoique, comme, si, quand) ou par une locution conjonctive (parce que, bien que…). Ils donneront une réponse quand ils auront étudié la question.
Définition de la proposition subordonnée
Une proposition subordonnée est une proposition qui dépend d'une proposition principale. Elle se rattache à la proposition principale pour apporter une précision en lien avec celle-ci.
La phrase contient une ou plusieurs propositions. On distingue trois sortes de propositions: La proposition indépendante comme son nom l'indique, ne dépend de rien, et rien ne dépend d'elle; elle se suffit à elle-même.
Une proposition est un groupe de mots qui s'organisent autour d'un verbe conjugué. Dans une phrase, il y a autant de propositions que de verbes conjugués. On peut s'aider de la ponctuation et des conjonctions pour délimiter les différentes propositions de la phrase complexe.
La proposition infinitive sert de complément d'objet aux verbes perceptifs comme « voir, entendre, écouter, sentir, regarder, etc. ». Voici venir les beaux jours. Les verbes « laisser - envoyer » et les présentatifs « voici - voilà » peuvent avoir une proposition infinitive comme complément d'objet.
La proposition subordonnée conjonctive circonstancielle apporte des précisions sur les circonstances dans lesquelles a lieu la proposition principale. Elle joue le rôle de complément circonstanciel. Elle est introduite par une conjonction de subordination (quand, si, comme, etc.)
La subordonnée infinitive est une proposition subordonnée complétive ; c'est à dire que la subordonnée est complément d'objet direct du verbe de la principale. La subordonnée infinitive correspond à des critères précis : Elle a son sujet propre.
La subordonnée introduite par un mot interrogatif « quand, où, pourquoi, combien, comment, qui, si, quel » est dite interrogative indirecte. Elle sert de complément d'objet au verbe de la principale. Pour son anniversaire, je lui demanderai ce qu'elle aimerait recevoir.
Quand deux propositions sont reliées par un signe de ponctuation, elles sont juxtaposées. Quand elles sont reliées par un mot coordonnant, elles sont coordonnées.
1 LA SUBORDONNÉE CIRCONSTANCIELLE DE CAUSE
Subordonnants : comme, du moment que, d'autant plus que, parce que, puisque, sous pré- texte que, etc. Comme il est malade, il ne s'est pas présenté à l'examen. L'élève est absent parce qu'il aurait la grippe.