En eau peu profonde, la puissance des vagues par unité de longueur de littoral est donc réduite à environ 12 kW/m.
L'amplitude se calcule en divisant la hauteur de la vague (mesurée entre la crête et le creux) par deux. La période représente l'intervalle de temps en secondes s'écoulant entre le passage de deux crêtes de vagues. La célérité (ou vitesse de déplacement d'une vague) est le rapport de la longueur d'onde par la période.
VITESSE : célérité de la houle au large. Pour la houle courte, elle est de 28 à 39 km/h. Pour info, une fois que la houle se rapproche de la côte, elle touche le fond, se transforme en vague et déferle aux alentours de 15-20 km/h plus ou moins.
La vague, pour sa part, est le déferlement de la houle quand celle-ci rencontre un obstacle (fond, rocher…). Ce déferlement sera d'autant plus violent que la remontée des fonds est brutale, d'où le fait que les plus grosses vagues se produisent généralement sur des rochers plutôt que sur des plages.
Mais, c'est là que réside le plus grand danger puisque de forts courants sous-marins peuvent piéger les nageurs peu expérimentés ou fragiles (personnes âgées et enfants) qui ne mesurent pas toujours la difficulté qu'ils auront à regagner la plage dans ces moments-là et qui s'épuisent face aux éléments.
C'est depuis les profondeurs de l'océan que les fonds marins viennent mettre leur petit grain de sable. Le long de son voyage, la houle va frotter sur les fonds marins. Ce frottement va ralentir sa vitesse d'ondulation tout en amplifiant verticalement la houle pour former des vagues en se rapprochant de la côte.
Les ondes de tsunami se propagent en pleine mer à des vitesses de plusieurs centaines de km/h (180 km/h pour le tsunami du 2 septembre 1992 au Nicaragua, 800-900 km/h pour le tsunami du 26 décembre 2004 dans l'Océan Indien).
Généralement, une vague se brise quand la profondeur de l'eau atteint une fois et demie sa hauteur. De l'air est emprisonné lorsque la vague éclate et le brassage qui en résulte permet à l'eau de se réoxygéner.
CLAPOTIS, subst. masc. Bruit léger, répété et prolongé que provoque soit l'agitation de la surface de l'eau soulevée par des ondes de vagues courtes qui s'entrechoquent, soit l'eau calme qui se heurte régulièrement à un obstacle (bateau) ou aux bords (jetée, port).
Un tsunami n'est pas constitué d'une seule vague mais de plusieurs, qui peuvent traverser l'océan à une vitesse de plus de 800 km/h. Au large, plusieurs centaines de kilomètres peuvent séparer deux vagues géantes.
Un courant d'arrachement, courant de retour, flot de retour, courant de déchirure ou encore courant sagittal, est un fort courant de retour qui entraîne en direction du large les eaux apportées par les grosses vagues qui se brisent sur les plages.
Une vague () est une déformation de la surface d'une masse d'eau le plus souvent sous l'effet du vent. À l'interface des deux fluides principaux de la Terre, le vent crée des vagues sur les océans, mers et lacs.
On appelle cela l'écume de mer.
Elle apparaît quand le vent est particulièrement fort et que la mer est très agitée. Cette mousse est provoquée par la présence d'une algue microscopique appelée Phaeocystis. Parfois, cette algue est très abondante, et elle forme une fine couche d'une sorte de gélatine.
Les différentes vagues : déferlante, rouleau et ressac
Elles s'élèvent jusqu'à un point critique puis se brisent et basculent vers l'avant. On parle alors de déferlantes ; Aux abords de la côte, l'onde est perturbée par la faiblesse de la hauteur de l'eau.
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La fonction principale de l'atténuateur de vagues est de casser la hauteur et de disséminer l'énergie des vagues. Il permet qu'elles atteignent un niveau acceptable avant de rentrer dans le port. Le brise-lames joue un rôle protecteur pour les navires en cas de forte houle, de tempête ou de grandes marées.
Pour faire court, un surfeur ou une surfeuse préfèrera généralement, une vague de 50 cm rapide et creuse plutôt qu'une vague de 1 m 50 molle et détériorée par le vent. Mais bon, les goûts et les couleurs… Si vous débutez, évitez les vagues de plus d'un mètre.
Une vague est une déformation de la surface d'une masse d'eau le plus souvent provoquée par un autre fluide : le vent. À l'interface, le vent crée des vagues sur les océans, mers et lacs.
Le tsunami de Lituya
En 1958, un méga tsunami d'une hauteur de 523 mètres de haut (plus que deux fois l'empire state building), le record mondial, est survenu dans la baie de Lituya en Alaska.
La dernière alerte tsunami en France remonte en avril 2021. Dans la nuit 17 au 18 avril, une alerte a été enclenchée en Méditerranée suite à un séisme de magnitude 6 au large de l'Algérie. Il s'agissait d'une vigilance de type «jaune» au tsunami, soit le niveau plus bas.
Le mégatsunami de la baie Lituya est un tsunami s'étant produit le 9 juillet 1958 , dans cette baie située en Alaska, à la suite de la formation d'un glissement de terrain provoqué par un séisme.
Les vagues générées par le nouveau vent croisent celles de l'ancien et créent un motif mouvant potentiellement dangereux. Le phénomène se poursuit jusqu'à ce que les vieilles vagues se dispersent ou se dissipent.
La houle se forme au milieu de l'océan ou de la mer ( cela paraît logique... ) ; il faut pour cela un conflit de masses d'air ( cela arrive très souvent au milieu de l'océan ) pour qu'il y ait formation d'une dépression et donc générant des rafales de vent au niveau de l'eau : la houle est formée .
Les mouvements des eaux qui en résultent sont toujours modifiés par la force de Coriolis, issue de la rotation de la Terre et qui provoque une déviation du courant par rapport à la direction du vent vers la droite dans l'hémisphère Nord et vers la gauche dans l'hémisphère Sud (fig. 1).